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L’Héroïne du jour

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Keren Feldman maîtrise l'émeutier.

Alors qu’un émeutier arabe venait d’asperger de gaz lacrymogènes un membre des forces de sécurité dans la vieille ville, Keren Feldman, la combattante de la police des frontières, n’a pas hésité à le neutraliser et a procéder à son arrestation.

 

12047192_923059844408871_5100026893172517553_nLe ministre Gilad Arden a dit : » j’ai rencontré la combattante de MAGAV,qui a arrêté l’émeutier arabe. Je la félicite pour son courage et la maîtrise de la situation. C’est comme ça qu’il faut se comporter. Keren je te salue ! »

Quand on lui a demandé si elle n’avait pas eu peur de se jeter sur lui elle a répondu « Pas du tout, c’est à eux d’avoir peur et pas à nous »

Photo Yoni Rykner

Le Rabbin Jonathan Sacks explique : « Pourquoi je suis Juif »

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La question la plus profonde chacun de nous peut se poser est :

Qui suis-je ?

Pour y répondre , nous devons aller plus loin que , Où puis-je vivre ? ou Qu’est-ce que je fais?

Le moment le plus fatidique est venu dans ma vie quand je me suis posé cette question et je savais que la réponse devait être : Je suis Juif . voilà pourquoi. »

Dans cette nouvelle animation sur tableau blanc , le rabbin Sacks explique pourquoi il est fier d’être un Juif et ce qui rend ​​le judaïsme si unique. Cet appel passionné appelle les Juifs à travers le monde , de tout le spectre politique et religieux , à se connecter à leur peuple , son patrimoine et sa foi .


This video was produced by whiteanimation.com / silueta.co.il for The Office of Rabbi Sacks. Learn more about Rabbi Sacks’ work at www.rabbisacks.org / @RabbiSacks.

Le coin détente :

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Max admet auprès du rabbin qu’il avait oublié de dire sa prière avant son repas.
– Pour vous dire la vérité, rabbi, j’ai aussi oublié de me laver les mains avant de manger.
– Oye vaye ! Mais comment un juif peut-il s’asseoir à table avant de s’être lavé les mains ?
– En fait, rabbi, il n’y avait pas d’endroit pour se laver les mains, explique Max. Et la nourriture n’était pas casher !
– Quoi ! s’exclame le rabbin, misérable apostat !
– Mais, rabbi, vous ne comprenez pas, il n’y as pas de nourriture kasher dans un restaurant goy….
– Qu’un gouffre s’ouvre sous mes pieds et me fasse disparaître, pleure le rabbin, quand je pense que D.ieu m’a fait vivre ce jour !
Le rabbin cache son visage sous ses mains pendant un moment, puis regarde Max et lui demande :
– Mais pourquoi tu n’es pas allé dans un restaurant casher ?
– Mais, rabbi, vous êtes marrant, où trouver un restaurant casher ouvert le jour de Kippour ?

Source : Paul Mandine

Obama n’est pas musulman, mais voyez comment il a cherché à embarrasser le Pape

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Si vous organisiez une réception en l’honneur d’un groupe d’alcooliques en cure de désintoxication, vous n’installeriez pas un bar avec de l’alcool en libre service, n’est ce pas ?

Et si vous étiez président des Etats Unis et que vous invitiez le Pape à la Maison blanche, vous n’inviteriez pas, pour l’accueillir, des trans-sexuels, un évêque homosexuel marié à un homme, des militants pour l’avortement, des christianophobes, des défenseurs de l’euthanasie ou des activistes homosexuels pour le mariage gay, n’est-ce pas ?

Et bien c’est exactement ce que Barack Obama a fait.

Pour la première visite du Pape François aux Etats Unis, et la cérémonie d’ouverture, le Président Obama a réuni des personnalités ouvertement défiantes des préceptes catholiques.

Le Pape François est connu pour sa tolérance. Il a demandé aux catholiques de s’abstenir de condamner – pas de soutenir – les homosexuels et ceux qui défendent l’avortement, mais Obama a poussé le bouchon un peu loin : il s’est placé en position de donner des leçons de théologie au Pape, lui qui décrit l’appel du muezzin à la prière comme « l’un des plus beaux sons au monde ».

  • Obama a invité la sœur Simone Campbell, une activiste directrice du lobby Network à Washington, a qui le Vatican a reproché en 2010 de n’avoir pas défendu les enseignements catholiques concernant l’avortement et l’euthanasie, et d’avoir signé une pétition en faveur d’Obamacare qui inclut le remboursement des frais d’avortement.
  • L’évêque Gene Robinson, un autre invité à la cérémonie d’accueil du Pape, est l’ancien évêque du New Hampshire et le premier évêque épiscopal ouvertement gay aux Etats Unis. Il a également été marié (maintenant divorcé) à un autre homme.
  • Un autre invité, Mateo Williamson, trans-sexuel, est l’ancien directeur de Dignity USA, une organisation de trans-sexuels qui milite pour les LGBT catholiques.
  • Mateo Williamson a lui-même été invité par Vivian Taylor, une femme trans-sexuelle qui a été invitée par la Maison Blanche, et a occupé le poste de directeur de l’association Integrity USA, un groupe militant pour les LGBT dans l’Eglise épiscopale.

La présence de ces personnalités est d’autant plus irritante, ont déclaré des officiels du Vatican, qu’ils ne savent même pas si Obama a invité des militants des mouvements contre l’avortement, qui est la cause prioritaire de l’Eglise.

Je ne suis pas étonné des choix faits par Obama.

Il n’a jamais cessé de critiquer la chrétienté et d’encenser l’islam. Il a constamment refusé d’admettre les liens entre le terrorisme et l’islam radical, ce qui fit faire au professeur Guy Millière cette juste remarque : « Obama n’est pas un musulman mais un président pro-islam, ce qui revient au même ».

Dire que je suis surpris par l’attitude d’Obama reviendrait à oublier que je considère ce président comme un radical d’extrême gauche à la sauce noire américaine.

Je pense que le Vatican est légitimement en position d’exiger que ces personnalités inutilement polémiques soient désinvitées.

Pope Francis waving for the people after the mass in Bethlehem.

En revanche je suis réservé sur ce commentaire d’un officiel du Vatican, qui affirme que « le Saint Siège est inquiet que des photos du Pape avec ces invités à la cérémonie de bienvenue à la Maison Blanche pourraient être interprétées comme un soutien à ces activités ».

En parfaite équité, il m’est impossible d’oublier que le Vatican n’a pas protesté contre la séance photo du Pape organisée à Bethlehem pour faire croire au monde que la barrière anti-terroristes qui sauve des vies humaines est un mur d’Apartheid.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

Shmuel Trigano: Les Syriens arrivent, les Juifs s’en vont et le boycott d’Israël s’installe

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L’Europe nous offre ces jours ci un spectacle de fin des temps.

Elle est la scène d’un bouleversement historique comme l’histoire de l’humanité en a rarement connus. Au plus près des faits – et donc très loin de l’habillage sémantique des médias – c’est d’un transfert de populations qu’il s’agit, du Moyen Orient vers l’Europe.
« Migration » relève du jugement sociologique, mais, en termes politiques et donc militaires, lorsque des masses considérables de population forcent les frontières, s’imposent à des Etats qui n’ont pas été sollicités et n’ont pas donné leur accord, et de surcroît avec des exigences en matière de droits, on aura parlé, en d’autres temps, d’ »invasion».
Les populations en question en effet ne sont pas, dans leur majorité, constituées de réfugiés loqueteux mais de gens capables de payer jusqu’à 3000 euros à des passeurs et leurs places de train, détenteurs de Iphones etc.
Du flot d’images qui apparaissent sur les écrans, se dégage la figure d’une population de jeunes hommes dans la force de l’âge et plus rarement de femmes (la plupart voilées) et d’enfants.
Il est très clair que leurs deux points d’entrées sont la Libye et, surtout ces derniers temps, la Turquie. On sait ce qu’il en est de la Libye, par contre la responsabilité de la Turquie dans cet exode de masse reste un tabou malgré le déluge médiatique.
Or, il ne fait pas de doute qu’en laissant partir ces populations par la mer, tant par les moyens qu’elle leur fournit (vente de canots, etc) que par sa tolérance du trafic des passeurs et l’absence de surveillance de ses frontières, la Turquie porte un coup à l’Union Européenne qu’une Europe anémique est incapable de fustiger. Ce coup violent prend une ampleur stratégique quand on le replace dans la perspective du soutien de facto des Turcs à l’Etat islamique, en matière d’approvisionnement en toutes ressources, de commercialisation du pétrole, d’absence d’attaque réelle de ses troupes, conjuguée aux frappes contre les ennemis kurdes de l’Etat islamique, et, last but not least, la facilitation du passage des djihadistes du monde entier vers la Syrie. Les « réfugiés » actuels ne viennent pas de Syrie mais de Turquie où les rejoignent sans doute les Érythréens qui se trouvent parmi eux.

Dans l’ère des Etats-nations et dans l’ère post-moderniste: c’est selon…
La terminologie privilégiée par les médias – en accord sans doute avec les élites politiques – fait écran à la réalité. Les deux pouvoirs fonctionnent objectivement de concert dans toute l’Union Européenne et donnent le ton de l’interprétation des événements. Nous avons constaté, ces dernières vingt années, l’importance croissante des officines de communication politique qui sont devenues les instruments clefs du pouvoir qu’elles fournissent en dispositifs sémantiques, « éléments de langage » comme on dit aujourd’hui (ce qu’on appelait hier « discours idéologiques »), mots-valises capables d’ »habiller » un événement pour en détourner le sens afin de favoriser une ligne politique. Il y a en effet des mots qui font écran à la compréhension des choses qu’ils désignent.
Ils faussent profondément le débat public, ce qui contribue à obscurcir encore plus la réalité au point qu’on ne comprenne plus rien. Nous avons été quelques uns, depuis 15 ans, à identifier cette nouvelle forme de pouvoir avec le traitement d’Israël et du « nouvel antisémitisme » et c’est vrai de la politique de tous les pays démocratiques[1] : la façon dont les médias construisent les faits et dont il les habille de mots s’inscrit dans la « gouvernance » politique et interdit toute vision critique de la réalité: tout réalisme.
Ces opérations de langage ne sont pas en fait purement manipulatoires, elles s’adossent à une conception idéologique, celle du « post-modernisme »[2]. Dans ses présupposés, ce dernier implique, entre autres choses, le déni radical de la réalité de la nation (qui, cependant, ne cesse pas d’exister car les peuples sont un fondement ineffaçable de l’humanité), le déni de la légitimité de l’identité nationale et des droits du citoyen face aux « droits de l’homme ». Un autre de ses présupposés est la culpabilité de principe de l’Occident et l’innocence des non-Occidentaux, avec une préférence pour le monde arabo-musulman et noir. Pour intimer la censure sur toute autre perspective il instrumentalise la morale et le savoir académique.

Empaquetage victimaire et compassionnel

Quand on pense dans ces termes-là, effectivement, il n’y a pas d’ »invasion » puisqu’il n’y a pas de nations mais uniquement des individus et puisqu’il n’y a pas d’Etat, pas de pouvoir et donc pas de frontières. Quant aux « migrants », ils ne sont pas considérés dans leur identité puisqu’on ne se soucie que des « droits de l’homme », de l’homme en général et pas des droits des citoyens qui sont toujours citoyens d’un Etat particulier, identifié, etc.
L’empaquetage victimaire et compassionnel des faits devient possible et crédible, en puisant dans le meilleur des sentiments humains. Ainsi ce qui se passe ne constitue pas une crise politique et militaire mais humanitaire. Le martyre de la traversée en mer efface le risque pris par les immigrants et la culpabilité des passeurs mais aussi des pays qui les laissent accomplir leurs forfaits.
Le moment clef de cet empaquetage fut sans nul doute l’exploitation médiatique de la photo de l’enfant mort sur une plage. Elle fut l’occasion d’un coup émotionnel répercuté à outrance par les médias qui ressemble beaucoup à la mort supposée de l’enfant Al Dura sous les balles de l’armée israélienne à Gaza, devenue par la grâce de France 2 l’emblème du nouvel antisémitisme.
Le Wall Street Journal (4 septembre) nous a appris, cependant, les dessous prosaïques et moins glorieux de l’histoire à l’instar de ce qui se passa pour l’affaire Al Dura: la famille de ce malheureux enfant, originaire de Kobané, ne fuyait pas la guerre en catastrophe. Elle vivait en Turquie depuis 3 ans où le père travaillait. Alors qu’elle devait partir pour le Canada où la sœur du père habite, ce dernier, sur les conseils de son père, décida d’utiliser l’argent qu’elle lui envoyait, pour passer par l’Europe afin de se refaire une dentition gratuitement. Durant le naufrage, il était le seul de sa famille à porter un gilet de sauvetage… L’enfant fut enterré à Kobané, ce qui nécessitait un retour au point de départ, ce que des fuyards hagards jamais n’auraient pu se permettre. Et pourquoi cet enfant uniquement, alors qu’il y a des milliers de morts atroces au même moment? En sélectionnant les images qu’ils répercutent, les médias induisent une compassion « à tempéraments », dans une seule direction.

Redresser la faiblesse démographique de l’Europe
Si l’essentiel de ces populations ne sont pas des immigrants loqueteux qui quémandent un havre, qui sont-elles alors? Pourquoi se sont-elles dirigées vers Europe et pas ailleurs? Et surtout pas vers le reste du monde arabe? Il y a là l’aveu silencieux d’une immense défiance envers leur propre monde, leurs « frères » (pourtant si riches, si solidaires depuis des lustres avec la cause palestinienne) et, peut être leur religion. Quoique…
Mais ils viennent parce que l’Union Européenne les a appelés. Il n’y a pas que la confondante invitation allemande à rejoindre l’Allemagne par millions qui l’illustre. Les connaisseurs des affaires européennes savent que l’insufflation de populations immigrées s’inscrit dans le projet, très pensé depuis des lustres, de redresser la faiblesse démographique de l’Europe par l’immigration « qui va payer nos retraites », entend-t-on pathétiquement comme argument. Le chaos identitaire que l’Union Européenne en position de Diafoirus est en train de programmer s’avérera terrible. S’il conforte le pouvoir central sans identité de l’Union, il recèle une explosion atomique dans l’ordre du symbolique et du politique pour les ex-Etats européens, auxquels ces populations poseront demain un grave défi quant à leur continuité culturelle et identitaire. Le mépris que les économistes et technocrates européens témoignent pour la dimension symbolique et identitaire se retournera contre leurs constructions technocratiques décollées de la réalité. A Bruxelles comme à Strasbourg on a perdu le sens du réel, et le réel se vengera.

Le sens des événements
Si l’on regarde de loin et de haut ce qui se passe, avec la mémoire des 60 dernières années, l’événement auquel nous assistons, sidérés, n’est qu’une phase d’un mouvement historique de grande ampleur que la vulgate de notre époque empêche de voir. La décolonisation fut l’occasion d’un nettoyage ethnique objectif qui chassa les populations européennes d’Afrique et du Moyen Orient, notamment. Une répartition ethnico-religieuse des populations s’est alors réalisée. Il n’était pas prévu (ni pensable) que les ex-colonisés devenus indépendants, plutôt que d’assumer la responsabilité de leur nouvelle condition, suivent les ex-colonisateurs en repli, de façon continue et soutenue. C’est ce qu’on appela alors « l’immigration ». Le repli consécutif à la décolonisation ouvrit donc la voie à un tel développement.
Ce mouvement de populations concerna presqu’exclusivement des populations musulmanes. De ce côté là, aussi, s’est produite une évolution inattendue. Les nationalistes arabes auquel les puissances coloniales avaient remis « les clefs » des pays abandonnés se sont vus submergés par la levée en masse de l’islamisme. Il balaya les Etats nations de bric et de broc que la décolonisation avait mis en place, au nom de la Oumma universelle. L’adoption par les Etats-Unis d’Obama et l’Union Européenne de la cause des Frères musulmans lors de cet effondrement que l’empaquetage médiatique nomma « printemps arabes », acheva d’installer le chaos dans cet univers.
Ce qui arrive à l’Europe aujourd’hui est aussi le produit direct de la politique de puissance de l’Union européenne qui s’est imaginée qu’elle n’avait pas de frontières et qu’elle incarnait désormais la conscience des droits de l’homme et de la démocratie, ce qui l’autorisait à s’étendre sans fin: Turquie? Maroc? Moldavie? On ne sait pas où doit finir l’Europe et jusqu’où son autorité doit porter. Cette ambition enivrante (le projet d’un pouvoir moral et universel) l’a conduite à intervenir militairement en Lybie pour installer la « démocratie », diplomatiquement en Egypte, et (à peine) en Syrie-Irak, ne parlons pas de son obsession de la cause palestinienne, sans doute due à sa culpabilité passée envers les Juifs, qui l’a conduit à un activisme délirant au regard de l’importance des Palestiniens.
Le flou des frontières est le propre des régimes impériaux, ce qui confirme en retour l’orientation anti-démocratique du pouvoir de l’Union Européenne. Il ne faut pas oublier dans ce tableau européen l’ambition, portée notamment par le Quai d’Orsay, d’une Europe méditerranéenne qui fasse que « le Sud », c’est à dire le monde arabe, devienne un allié très proche de l’UE et que des circulations de populations s’y fassent (mais uniquement dans un sens!). De leur côté, les Américains, déjà avec les néo-conservateurs, se sont crus autorisés à installer par tous les moyens la « démocratie » sur toute la planète. Leurs interventions catastrophiques en Afghanistan et en Irak, en Libye ont achevé de faire de ces pays des champs de ruines. Elles ont fait de la Russie une ennemie.
L’afflux actuel des populations musulmanes de ces pays vers l’Europe s’inscrit ainsi dans l’ordre des choses, une fois la griserie des sommets à l’européenne évanouie. Le bilan européen est à la hauteur de son projet utopique. L’Union européenne n’a objectivement pas de frontières, ce que prouve l’irruption violente de très grandes populations, elle a affaibli les Etats, pulvérisé les nations, et été incapable de forger une entente entre ses membres sur des enjeux vitaux. On comprend qu’Israël, un Etat nation florissant, puisse tourmenter la conscience européenne et lui renvoyer l’image de sa démission mégalomane. Les Juifs ont su en premier que la corne de brume retentissait avec l’installation à demeure du « nouvel antisémitisme », du fait de la complaisance européenne, mais ils ne furent pas entendus.

L’Allemagne syro-turque?
La division des Etats européens sur la question des « migrants » est aussi pleine d’enseignements. Les peuples à la conscience et à l’identité les plus fortes s’opposent avec force aux pays « fatigués » comme l’Allemagne. Les pays d’Europe centrale, terres d’anciennes guerres de religion, ont en effet affirmé à travers l’histoire leur identité contre les empires qui les dévoraient (Allemagne, Autriche Hongrie, Russie et Turquie ottomane) en la cristallisant autour de la religion, saint des saints de leur continuité. Ce sont des populations qui savent quelque chose du réalisme des identités. Les Etats latins se situent à mi chemin des Etats nordiques, dont l’affaissement identitaire est bien connu depuis fort longtemps.
Mais le cas le plus fascinant est celui de l’Allemagne qui s’est dite prête à accueillir un afflux massif de populations musulmanes. L’histoire retiendra la démarche politiquement irresponsable de la chancelière qui a lancé une invitation à immigrer, susceptible de soulever une masse de populations dans le monde et d’amplifier de façon inédite la vague d’immigration. On parle déjà de 800 000 personnes, d’un million de personnes. Le fait est incommensurable: Merkel programme un changement de population qui changera la face de son pays, comme elle l’a dit elle même. On n’a jamais vu cela. C’est un fait unique dans les annales. D’autant plus inquiétant et terrifiant: nous nous retrouverons face à une Allemagne turco- syrienne. Un cauchemar au regard de l’état de ces peuples aujourd’hui. N’oublions pas, pour notre part, que ces populations viennent de pays et de cultures où la haine d’Israël et des Juifs est universelle. La Syrie fut un des pays les plus hostiles à Israël. Sa population a baigné dans cette hostilité au moins depuis 70 ans. Elle la transportera en Europe.
Comment cela est-il possible? On évoque à ce propos la terrible faiblesse démographique allemande qui devait voir le peuple allemand réduit à la portion congrue dans les 20 années à venir, la faiblesse des naissances ne permettant pas à la population actuelle de se maintenir en nombre: un peuple en voie de disparition. La démographie reflète aussi l’état des peuples. On peut penser que ce jugement porté sur soi, que révèle le refus de faire des enfants, est en rapport avec la culpabilité découlant du passé nazi. Et c’est sans doute cette même culpabilité envers les Juifs qui motive l’accueil chaleureux des Syriens. C’est profondément pathétique et poignant quand on compare avec la façon dont les réfugiés juifs ont été refoulés de toute parts en Europe et au Moyen Orient britannique pour échapper au nazisme avec les applaudissements qui saluent les Syriens, qui ne se comptent pas parmi les amis des Juifs, arrivant dans les gares allemandes et autrichiennes.

A ce portrait de l’Union Européenne, s’ajoute la touche la plus terrible : récemment Mogherini, sa « ministre » des affaires étrangères, a appelé avec 16 ministres des affaires étrangères européens à mettre en pratique le boycott des produits israéliens étiquetés originaires des Territoires mais qui, en fait, s’avère être un boycott pur et simple d’Israël, lui infligeant un traitement discriminatoire qu’elle n’inflige à aucun autre Etat du monde, dans des situations bien plus graves et parmi ses plus proches amis: l’occupation turque de Chypre, l’occupation marocaine du Sahara occidental. Et quid des décapitations saoudiennes et du financement du terrorisme international par le Qatar? « La France des droits de l’homme », bien au contraire, leur vend des armes agressives!
Pendant ce temps-là, dans ce concert médiatique, conduit au nom de la mémoire de la Shoah, le mouvement de départ des Juifs continue. On entend dire maintenant que c’est le judaïsme britannique qui se prépare à immigrer en Israël. Avant Rosh Hashana un sondage mené dans 179 communautés juives d’Europe montrait que 85% des Juifs ne voulaient envoyer pas leurs enfants à la synagogue pour les fêtes par crainte pour leur sécurité. D’un côté on accueille les Syriens avec des fleurs, de l’autre les Juifs cachent leur identité dans la rue pour se protéger de l’insécurité.
Le chaos européen que je viens de décrire annonce quelque chose d’inquiétant et de monstrueux. Nous sommes les témoins de la fin d’une civilisation et d’un ordre du monde.
Gmar Hatima Tova !
*À partir d’une chronique sur Radio J le vendredi 18 septembre 2015.

[1] En France, « tensions intercommunautaires », « conflit importé » furent dans cette affaire le modèle du genre. Le chef d’œuvre du genre en Israël fu la « hitnatkout » (l’ »auto-coupure ») pour « emballer » le retrait de Gaza.
[2] Cf. Shmuel Trigano, La nouvelle idéologie dominante. Le postmodernisme, Éditions Hermann-Philosophie (2013).

source :
http://www.actuj.com/2015-09/moyen-orient/2358-shmuel-trigano-les-syriens-arrivent-les-juifs-s-en-vont-et-le-boycott-d-israel-s-installe

 

Apres Tel aviv sur Seine Hidalgo organise le Mahmoud Abbas sur scene

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A l’occasion de la journée internationale de la paix

Anne Hidalgo

Maire de Paris

Prie de bien vouloir assister à la réception officielle

qui sera donnée à l’Hôtel de Ville

Le lundi 21 septembre 2015 à 16h45

En l’honneur de

Son excellence Monsieur Mahmoud Abbas

Président de la Palestine

Pour lui faciliter la tâche nous le reproduisons sa dernière allocution.
 Anne, ma sœur Anne ne vois-tu rien venir ?
Le Président de l’Autorité palestinienne parle de « paix » : « Nous vous bénissons, nous bénissons les Mourabitoun (hommes) et les Mourabitat (femmes). Nous saluons toutes gouttes de sang versées à Jérusalem. C’est du sang pur, du sang propre, du sang qui mène à Dieu. Avec l’aide de Dieu, chaque djihadiste (shaheed) sera au paradis, et chaque blessé sera récompensé.
Nous ne leur permettrons aucune avancée. Dans toutes ses divisions, Al-Aqsa est à nous et l’église du Saint Sépulcre est notre, tout est à nous. Ils n’ont pas le droit de les profaner avec leurs pieds sales, et on ne leur permettra pas non plus. »

C’était la journée internationale de la paix ….

Apres Tel aviv sur Seine Hidalgo organise le Mahmoud Abbas sur scene

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A l’occasion de la journée internationale de la paix

Anne Hidalgo

Maire de Paris

Prie de bien vouloir assister à la réception officielle

qui sera donnée à l’Hôtel de Ville

Le lundi 21 septembre 2015 à 16h45

En l’honneur de

Son excellence Monsieur Mahmoud Abbas

Président de la Palestine

JE SUIS ISRAEL

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JE SUIS ISRAEL

Réalité : les réfugiés musulmans et la fête de la bière mettent Munich en état d’alerte

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La 182e fête de la bière, Oktoberfest, avec son alcool, ses saucisses de porc et les décolletés généreux est une provocation pour l’islam qui peut dégénérer en raison des milliers de réfugiés musulmans. Pour éviter les violences, la police bavaroise a décidé de séparer les 6 millions de visiteurs des réfugiés, afin d’éviter les dérapages “des réfugiés de pays musulmans qui  n’ont pas l’habitude de croiser des gens très ivres en public.”

Munich est le premier point d’arrivée en Europe de l’ouest des dizaines de milliers de réfugiés et migrants qui arrivent de Hongrie par le train. 60 000 en une semaine, début septembre selon Reuters.

Joachim Herrmann, le ministre de l’intérieur CSU (Chrétien démocrate) de Bavière, a dévoilé son plan pour déployer “des puissantes forces de sécurité” dans la ville durant la fête annuelle de la bière et de la saucisse (60,000 Schweinshaxen et 7.5 millions de litres de bière y sont consommés), car il craint les confrontations entre les migrants musulmans, et les Allemands qui célèbrent leur héritage culturel.

« Des réfugiés venant de pays musulmans ne sont probablement pas habitués à voir des gens extrêmement ivres dans les lieux publics, » explique Herrmann.

La station centrale de Munich est le point d’arrivée principal des dizaines de milliers de réfugiés qui viennent de Budapest en passant par l’Autriche. En une seule journée, la semaine dernière, 1,500 personnes sont arrivées, espérant s’installer en Allemagne ou continuer leur migration plus loin en Europe.

Parmi les réfugiés, “on ne peut pas voir qui est islamiste”

Interviewé par le quotidien local Münchner Merkur, Herrmann a admis que concernant les réfugiés, “on ne peut pas voir qui est islamiste” parmi les milliers qui arrivent en ville, et qu’il est difficile d’identifier exactement qui sont les vrais réfugiés du fait que beaucoup ont de faux papiers – ou pas de papiers du tout.

Herrmann: « On ne peut pas automatiquement accepter dans notre pays tous ceux qui disent ‘je suis syrien’ et les considérer comme des réfugiés légitimes. On doit vérifier. C’est un pays qui vit une guerre dramatique, mais où se trouvent des islamistes radicaux. Même ceux qui partent d’Europe et vont [en Syrie] prendre part à des tueries, et reviennent, certains avec des passeports allemands. »

Herrmann: “On ne peut pas ignorer notre propre sécurité … comme par exemple les islamistes qui sont déjà dans le pays. Et il y a aussi des Allemands, qui se sont convertis à l’islam, et qui sont radicalisés, et représentent un danger considérable. Sans parler de ceux qui sont déjà revenus de la guerre en Syrie.

[Et] nous ne pouvons pas savoir comment les nombreuses personnes saoules de l’Oktoberfest vont se comporter”.

TheLocal.de indique que le ministre a mobilisé plusieurs milliers de policiers que le gouvernement fédéral lui a accordé.

Horst Seehofer, président du CSU et Ministre-Président de Bavière, et supérieur hiérarchique de Joachim Herrmann va encore plus loin. Il dit qu’il avait clairement l’Oktoberfest à l’esprit lorsqu’il a demandé à la chancelière Angela Merkel d’imposer des restrictions aux réfugiés, pour que l’Oktoberfest se passe sans accrocs. Ce qu’elle a fait.

Avec la réduction importante d’arrivée de réfugiés, Wilfried Blume-Beyerle, chargé de l’Oktoberfest, a réorganisé la gare centrale : les visiteurs de la Fête de la bière sortiront par le sud de la gare, près du Wiesn, et les réfugiés par le nord, où ils seront immédiatement pris en charge avec de la nourriture, des boissons et d’autres produits de première nécessité, afin d’éviter tout mélange.

Des trains de réfugiés vont également emprunter des voies de contour de Munich.

Enfin, abandonnant toute posture politiquement correcte et idéaliste parce que la dure réalité s’impose toujours, des renforts de police escorteront les réfugiés dès leur arrivée à Munich loin de la fête.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

Canada : les musulmans radicaux veulent imposer leur loi

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La montée de l’islamisme au Canada et l’établissement d’une importante communauté musulmane pose désormais un défi pour le Canada, un pays très généreux envers l’accueil des immigrants et l’octroi de la citoyenneté.

Nombreux sont les Canadiens qui s’inquiètent de l’avancée de l’Islam dans leur pays, des modifications du paysage canadiens par exemple, de ces espaces familiers où nous côtoyons des barbus, des silhouettes de femmes vêtues de noir, comme le faisait remarquer récemment une politologue au Journal de Montréal.

Le gouvernement des Conservateurs a d’ailleurs demandé cette semaine la suspension de la décision de la Cour Fédérale d’appel, concernant les cérémonies de citoyenneté à visage couvert.

Le Premier ministre canadien Mr Stephen Harper a annoncé par communiqué que le procureur général du pays demandait la suspension de la décision qui a donné raison à la Pakistanaise Zunera Ishaq, qui voulait porter son niqab lors de la prestation de serment de citoyenneté.

Ottawa souhaite cette suspension tant que l’appel du gouvernement Fédéral ne sera pas entendu devant la Cour suprême du Canada.

Lorsque quelqu’un rejoint la grande famille canadienne, il doit se dévoiler

En conférence de presse, Mr Stephen Harper a justifié cette décision en soutenant que lorsque quelqu’un rejoint la grande famille canadienne, il doit se dévoiler.

Il a rappelé aussi que si les Conservateurs étaient reportés au pouvoir durant les prochaines élections, le 19 octobre prochain, son bureau déposerait un nouveau projet de loi pour exiger que les nouveaux citoyens prêtent serment à visage découvert. Il a avancé qu’une majorité de Canadiens partage son avis.

D’ailleurs ce n’est pas la première fois que les tribunaux au Canada s’inclinent devant les caprices des radicaux (voir notre article). Dans un jugement biaisé, en 2013, la Cour Suprême du Canada avait autorisé, si le contexte le justifie, le témoignage devant la Cour d’une femme masquée par son niqab.

Jamais aucune autre vague d’immigration n’a représenté un tel danger pour l’identité des Canadiens autant que l’immigration musulmane de ces dernières décennies.

Malgré les signaux au rouge, les défenseurs d’une immigration sauvage persistent à dire que l’immigration musulmane est une chance pour le Canada, que le danger de l’Islam est un mythe, et le remplacement de la population locale par des gens fanatiques venus d’ailleurs une crainte saugrenue.

Parmi eux, Justin Trudeau, le chef du Parti libéral du Canada, qui est le candidat favori des lobbyistes musulmans, soutient cette nouvelle immigrante pakistanaise dans son combat pour se présenter à la cérémonie d’assermentation pour la citoyenneté avec son voile intégral.

Zunera Ishaq a consacré beaucoup d’énergie à contester le gouvernement canadien, mais elle n’a pas mis autant d’énergie dans son pays pour dénoncer la violence endémique contre les femmes

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Cette musulmane, qui se voit offrir la chance incroyable de fuir un pays où les conditions de vie sont difficiles, a consacré beaucoup d’énergie dans ses démarches judiciaires à contester le gouvernement canadien, mais elle n’a pas mis autant d’énergie dans son pays pour dénoncer la violence endémique contre les femmes.

Toutefois le parti des Conservateurs au Canada n’a aucune intention de laisser les radicaux musulmans gagner la bataille et prévoit de légiférer (après les élections du mois prochain) contre le port de la burqa, et en même temps refuser la citoyenneté à quelqu’un qui la porte ou l’impose à sa conjointe.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Souhail Ftouh pour Dreuz.info.

La menace pour les Juifs français a probablement augmenté depuis l’attentat de l’ Hypercacher

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Le délégué interministériel de la France pour la lutte contre l’antisémitisme et le racisme, Gilles Clavreul, dit au Algemeiner jeudi.

La France mène  un combat à long terme contre l’antisémitisme , et la menace d’une attaque terroriste contre les Juifs du pays demeure aussi élevée qu’elle l’était après les attentats horribles de Janvier dernier à Paris, sinon plus.

Dans le cadre des efforts du gouvernement pour protéger les quelques 717 sites juifs dans le pays, 7.000 soldats et 3.000 policiers ont été mobilisés dans ce que Clavreul décrit comme peut-être la plus grande mobilisation des troupes françaises dans le pays depuis la Seconde Guerre mondiale.

«Le risque [d’une attaque terroriste] est aussi élevé qu’il l’était en Janvier, sinon plus, » a-t-il dit, ajoutant: « et cette situation devrait durer un certain temps. »

Voilà pourquoi la France a décidé de consacrer  des millions d’euros chaque année pour financer les efforts visant à lutter contre l’antisémitisme, l’islamophobie et le racisme, a déclaré Clavreul, qui a été nommé par le président François Hollande pour gérer cette initiative. Il a expliqué que la France avait  adopté une approche en quatre volets pour lutter contre ce problème.

  1. La mobilisation des ONG et des groupes locaux pour développer conjointement des plans pour lutter contre le racisme.
  2. Le renforcement de l’arsenal législatif visant à s’assurer que les actes criminels soient signalés et les criminels effectivement poursuivis.
  3. La réglementation d’Internet pour s’assurer que les internautes soient protégés contre les discours de haine
  4. La formation des citoyens à travers l’éducation, les sports, la culture et d’autres activités sociales.

Clavreul est confiant que le plan du gouvernement, qui a été lancé en  Décembre dernier avant les attaques de janvier à Paris contre le supermarché  Hypercacher et la magazine satirique Charlie Hebdo, a commencé à donner des résultats. Selon lui, les rapports d’abus racistes et antisémites ont augmenté depuis Janvier, et les actions punitives contre les auteurs de crimes racistes est à la hausse.

En outre, le gouvernement a renforcé sa coopération avec les principales plates-formes Internet tels que Facebook, Twitter, YouTube et Google pour empêcher la diffusion de discours de haine en ligne. Clavreul a déclaré que ces entreprises ont été  « plus ou moins » réceptives. Il a noté que Facebook en particulier, a été sensible dans le développement et la mise en place d’outils de rapport et de signalisation de contenus inappropriés.

Pourtant, il a déclaré que les géants de l’Internet  » étaient  plus sensibles à la pornographie qu’aux discours de haine, » et ils devraient « faire plus en termes de modération »

Source : Le Algemeiner

Le maire de Rekjavick très en colère ….. contre lui-même

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Le maire de Reykjavik, dans Dagor. Agrtson, a annoncé aujourd’hui (samedi) que le conseil municipal de sa ville allait annuler  sa décision, publiée par Ynet,  de boycotter les produits fabriqués en Israël.

Agrtson a déclaré que la ville concentrera son interdiction sur les seuls produits des « territoires occupés ».
Je vais proposer au Conseil une proposition modifiée. Je dois admettre que je suis très en colère contre moi-même pour ne pas avoir prépéré correctement le débat  sur la proposition
La décision antérieure avait été approuvée par une majorité des membres du Conseil. Elle  comprenait un boycott total des produits israéliens , « aussi longtemps que l’occupation continue. »  Elle avait été présentée par la conseillère municipale York et Lhlmdotir, un parti social-démocrate.

Le Premier ministre de l’Islande, Sigmondor David Gonlaogson, a déclaré que la décision de boycott de la Mairie était absurde.
Le Centre Simon Wiesenthal a conseillé aux Juifs en réponse à la décision de Rekjavick de ne pas voyager en Islande.

Source Ynet  http://www.ynet.co.il/articles/0,7340,L-4702022,00.html

Réfugiés : le conte de fée politiquement correct se fissure

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Il y a moins d’une heure, la police hongroise a appréhendé 1 terroriste parmi 29 migrants, lors d’affrontements à la frontière, rapporte @Reuters sur son compte Twitter à l’instant.

Il est certain que s’ils entrent sans contrôle, il n’y a aucune chance d’attraper les terroristes infiltrés. On ne les retrouvera que lorsqu’ils auront commis leurs attentats sanglants, dans quelques semaines ou quelques mois.

Hier dans un commentaire, Rosaly mettait le doigt sur le sujet qui fâche les médias. Elle expliquait que :

« les ignorants, les petits, les sans grade qui n’ont pas le droit d’accéder à la véritable information, afin de ne pas s’opposer à cet afflux massif de « réfugiés » musulmans voulu par les élites dirigeantes », viennent sur internet pour entendre un autre son de cloche, car plus que jamais, ils n’accordent aucune confiance aux grands médias.

Réfugiés

Les témoignages dévastateurs qui hérissent le poil des bien-pensants et dérangent la presse se bousculent.

Même le vocabulaire est à la dérive : de sans papiers à clandestins, de migrants à réfugiés, les mots pour attendrir ne fonctionnent plus et ils enragent.

Jusqu’à la tragique photo de l’enfant échoué sur une plage turque, les populistes n’ont pas eu le temps de savourer la victoire de ses effets émotionnels, qu’internet dévoilait la supercherie et cassait leur jouet démagogique, les rendant fous furieux.

Paniqués, les journalistes jurent que jamais l’Etat islamique ne pourrait infiltrer les passeurs… Demain, ils diront que Daesh est une invention des identitaires pour semer la peur …

Fermeture des frontières

Il n’empêche, en début de semaine, submergés à Munich, l’Allemagne qui menaçait (de quel droit) les pays de l’est européen de leur couper les vivres s’ils refusent les réfugiés, a fermé sa frontière. L’Autriche, l’Italie, la Slovaquie, et les Pays Bas ont instalé un contrôle aux frontières, et Manuel Valls vient de déclarer qu’il envisage d’en faire autant.

Nous avons été assaillis d’insultes par les médias, mais les faits n’ont pas tardé à nous donner raison. L’image rose bonbon qu’il présentent prend un coup dans l’aile.

La Hongrie, où une déferlente record – 5,353 migrants sont entrés dans le pays depuis la Serbie, dans la seule journée de lundi jusqu’à midi – a déclaré l’état d’urgence à sa frontière avec la Serbie, et s’est déclarée prête à refouler les demandeurs d’asile en dehors du pays, en utilisant son armée si nécessaire. Des véhicules blindés et armés ont été placés le long de la frontière. Le pays a accéléré l’achèvement d’une barrière de sécurité de 150 km de barbelés avec la Serbie, et envisage d’en construire une à sa frontière croate.

Mardi, la Hongrie a décrété que toute entrée illégale dans le pays est passible de poursuites pénales, punissable de 3 ans de prison.

En Allemagne, après avoir annoncé qu’elle ouvrait les bras à 800 000 clandestins, et qu’elle ne « fixait aucune limite au nombre de réfugiés que son pays était près à accepter », et constaté que son appel a agi comme un accélérateur, la chancelière allemande – c’est peu rapporté par les médias – rencontre une resistance de plus en plus vive.

Le juteux business du traffic

Selon Wal Van Gemert, directeur d’Europol, cité par Al Jazeera, les pauvres réfugiés paient environ 3000 dollars leur passage vers l’Europe.

Qui paye la note, alors qu’il nous est rapporté qu’ils vivent pour la plupart dans la misère ?

L’affaire est juteuse. A 3 000 dollars le réfugié, je vous laisse faire les calculs : 549,000 migrants sont arrivés en Grèce, en Italie et en Hongrie depuis le début de l’année, la plupart par bateau.

La petite entreprise a rapporté 1 647 000 000 dollars en 9 mois, 1 milliard 647 millions, et il est prévu que 1.3 millions de réfugiés seront accueillis par l’Allemagne, l’Autriche, la Hongrie, la Suède, la Finlande et les Pays Bas cette année.

 

Vous n’avez rien remarqué ? J’ai fait comme les médias : j’ai présenté le sujet à l’envers pour vous endormir. Le vrai sujet, rapidement évoqué, se résume à ceci : quelqu’un finance tout ou partie de ces sommes énormes ? 1 milliard 647 millions de dollars, pour des gens qui viennent de pays pauvres, de pays en ruine, de pays dévastés par la guerre et qui ont tout perdu, cela ne vous choque pas ? Et ce pactole, où est-il investi par les trafficants, ensuite ?

Infiltration de djihadistes de l’Etat islamique

« Nous ne sous estimons pas le désir de l’Etat islamique d’infiltrer des combattants parmi les réfugiés », a déclaré le directeur du service du renseignement interieur James Clapper, le 9 septembre dernier. Mais, précise-t-il, alors que les Etats Unis filtrent agressivement le tout petit nombre de syriens qui demandent refuge, il n’est pas sûr que tous les Etats européens ont un tel degré de vigilance.

Mardi 15 septembre, un responsable des renseignements irakien a déclaré que 20 combattants de l’Etat islamique venant de Syrie, et entrainés par des responsables d’ISIS, sont entrés en Europe ces dernières semaines afin de préparer des attentats. Le chaos de ce mouvement de masse « est une chance qui ne se reproduira pas, » a-t-il déclaré.

L’officier du renseignement a refusé de révéler à la journaliste Sarah El Deeb qui l’intérrogeait où ces militants sont arrivés, et s’ils sont arrivés ensemble, mais a précisé qu’il travaille avec les autorités européennes pour les localiser et connaître leurs plans.

Conclusion :

L’Europe a laissé pourrir la situation en Syrie. Elle a voulu être politiquement correcte en niant le danger qui s’appelle islam. Elle a refusé d’entrer dans le conflit comme elle l’a fait en Libye (à moitié, laissant le pays aux mains des islamistes) au Mali ou en Centrafrique, par crainte d’importuner l’Iran, et parce qu’elle a suivi la direction indiquée par Obama, l’idéologue pacifiste. Elle paye au prix fort.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

Valls: le combat contre l’antisémitisme est « à reprendre »

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Le Premier ministre Manuel Valls a estimé que le combat contre l’antisémitisme était « à reprendre », mardi soir lors de ses voeux avant le nouvel an juif, Roch Hashana, à la synagogue Nazareth à Paris.
Le chef du gouvernement a indiqué qu’ »une vaste campagne de communication gouvernementale » serait lancée cet automne pour sensibiliser la population à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme, quelques mois après la présentation d’un plan de mobilisation sur ces sujets.
« Chaque préfet, chaque procureur de la République a été chargé d’en mettre en oeuvre le volet territorial, et en particulier sa dimension répressive, pour punir les délits, avec la sévérité de nos lois« , a précisé le Premier ministre.
Manuel Valls participait pour la quatrième année consécutive à la cérémonie annuelle des voeux du gouvernement à la première minorité juive d’Europe (un demi-million de membres), en présence notamment du ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve et du président de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone.
« Oui, mes chers compatriotes, la République, le gouvernement sont là, à vos côtés ! Nous ne pouvons tolérer aucune parole, aucun geste, aucun acte qui viendrait contester ce droit inaltérable qu’ont tous les citoyens de croire ou de ne pas croire, les juifs, les catholiques, les musulmans, les protestants, tous les fidèles, de croire et de pratiquer librement, sereinement« , a affirmé le Premier ministre.
Mais, a-t-il indiqué, face à un antisémitisme préoccupant (+84% d’actions et menaces antisémites entre janvier et mai par rapport aux cinq premiers mois de 2014), « aujourd’hui, le combat est à reprendre. La France doit avoir plus conscience de ce que l’on ne doit jamais oublier. Car, soyons lucides, nous avons oublié« , a-t-il estimé en évoquant l’histoire, de l’affaire Dreyfus à l’attaque jihadiste de l’Hyper Cacher en janvier 2015, en passant par le meurtre d’Ilan Halimi (2006) et la tuerie de Mohamed Merah à Toulouse (2012).
« Il y a cette négation rampante de la Shoah, cette haine des Juifs qui a grandi dans nos quartiers populaires (…), a contaminé les esprits d’une partie de notre jeunesse« , a-t-il déploré.
« Et il y a aussi cet antisionisme de façade, cet antisémitisme qui ne dit pas son nom« , a-t-il poursuivi en allusion à « cette polémique insensée » lors de Paris-Plage qui, « derrière une condamnation sans fondement de la ville de Tel Aviv, cachait mal, pour certains en tout cas, une détestation de l’Etat d’Israël et du peuple juif« .
« Je mets en garde ceux qui soufflent sur les braises et allument des feux qu’ils sont bien incapables d’éteindre », a-t-il enchaîné, relevant sans citer de noms que « quand on est responsable politique, quand on est un élu de la République, on doit mesurer la portée de ses déclarations ».
Manuel Valls n’a cessé ces derniers mois d’appeler à rester les Juifs qui seraient tentés de partir, notamment par peur de l’antisémitisme et des attaques jihadistes. La France a été le premier pays pour l’aliyah (l’émigration vers Israël) en 2014, avec plus de 6.000 départs. La tendance est de nouveau à la hausse en 2015, avec 4.772 « olims » (ceux qui font l’aliyah) entre janvier et juillet (+11% en un an).
« Ceux qui veulent partir en Israël », a dit le Premier ministre, « personne ne peut les condamner ». « Mais leur place est ici », a-t-il réaffirmé.

 le combat contre l’antisémitisme est « à reprendre »

A reprendre certainement mais alors depuis le début.

Qui sont les nouveaux antisémites ?

Quelle influence ont la désinformation systématique sur Israël et sa diabolisation injustifiée dans tous les médias ?

Les condamnations et les peines infligées aujourd’hui sont elles suffisantes ?

Il y a beaucoup de boulot et de nombreuses bonnes paroles comme d’habitude. Quant à la réalisation et ses résultats on espère mais on y croit pas trop.

 

IMPACT (Initiative Mobilisation Promotion Action)

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IMPACT a pour but de favoriser dans la société française la connaissance des réalités politiques, économiques, culturelles d’Israël,
combattre  la désinformation, réfléchir sur ce que chaque pays peut apporter à l’autre dans de nombreux domaines et mettre en valeur les différents échanges entre ces deux pays.

L’erreur serait de ne rien faire !

Les événements récents ont montré que dans notre pays, des barrières se dressent entre les individus. L’incompréhension de certains qui ne se sentent plus en droit de parler d’un pays qu’ils aiment, d’une démocratie qu’ils respectent. D’autres ne connaissent que les images qu’ils ont regardées à la télévision ou les informations et rumeurs qui circulent sur les réseaux sociaux. Enfin, certaines personnes ne trouvent là qu’un moyen d’instrumentaliser une cause pour intimider leurs adversaires, exprimer leur haine et gagner en notoriété. En France, certains souhaiteraient ainsi créer un nouveau tabou, afin d’étouffer tout argument contradictoire et imposer leur vision simpliste et manichéenne d’un sujet complexe. Ce mot tabou, cette passion française ? Israël.

Nous, étudiants et jeunes français de toutes origines et toutes confessions, sommes convaincus que les clivages ne se brisent pas par la censure et l’intimidation mais par le dialogue, les échanges et surtout l’information.
Pour cela, nous avons ainsi l’honneur d’annoncer la création d’une nouvelle organisation « Israël Mobilisation Promotion et Action » dit IMPACT.

IMPACT, une organisation aussi bien étudiante que professionnelle où la jeunesse de France aura une voix forte pour s’exprimer librement.

IMPACT, une parole pour mettre en valeur les relations et échanges entre Israël et la France.

IMPACT, un acteur innovant pour promouvoir la culture israélienne et mettre en lumière toutes les facettes de la société israélienne, loin des clichés réducteurs et des polémiques stériles.

Nous voulons créer une place dans la vie estudiantine à la découverte de cet Etat, systématiquement présent dans les médias mais que la majorité des français connait en réalité très peu. Chaque rencontre, chaque action a un IMPACT. Nous irons en Israël, avec la jeunesse française, afin de découvrir les différentes religions, origines et cultures qui y vivent. Nous serons présents sur les campus universitaires pour y organiser des rencontres, des conférences et stimuler le débat.

Les peuples français et israélien ont tissé des liens forts et historiques. De grandes choses restent à accomplir, des amitiés à approfondir. A nous de déconstruire, dans les mois et années à venir, 5038 Km de préjugés.
Alexandra Glanz
Présidente IMPACT

Bonne Route et BEATSLAHA                 בהצלחה

Les réfugiés premières victimes du fiasco de notre politique d’immigration

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FIGAROVOX/CHRONIQUE – Pour Gilles-William Goldnadel, l’échec de notre politique d’immigration et d’intégration explique que beaucoup de Français soient opposés à l’accueil de nouvelles populations.


Gilles-William Goldnadel est avocat et écrivain. Toutes les semaines, il décrypte l’actualité pour FigaroVox.

En principe, la gauche interdit formellement de réagir à chaud au plus dramatique des événements. C’est ainsi, qu’elle fustige ordinairement toute tentative de durcir les lois pénales à la défaveur d’un assassinat atroce. Elle hurle immédiatement à «l’instrumentalisation politicienne», au cynisme et au populisme primaire.
Mais la gauche, on le sait, piétine allègrement ses propres principes lorsque cela l’arrange.
Ainsi en a aura- t-il été de l’exploitation politique de la photographie du petit corps inerte et solitaire d’un malheureux petit kurde échoué sur une plage turque et dont la vue soulève le cœur et l’âme d’une pitié infinie.
Mais il y a peut-être pire que la bonne conscience suintante: l’exploitation à mauvais escient de la mauvaise conscience. Conscience: le «sursaut des consciences endormies» en Europe qu’imposerait la mort du petit Aylan. Une majorité de Français s’opposeraient à l’accueil sans frein des migrants venus de Syrie et d’ailleurs. Salauds de Français indifférents. Et pendant qu’on y est, salauds de polonais, de hongrois, de tchèques, de slovaques, de canadiens et d’australiens.
Vive l’Allemagne! Vive l’Autriche! Mme Merkel, hier encore reine des boches, bourreau du peuple grec, héroïne de la nouvelle Europe antinazie.
Heureusement, des milliers de résistants et de justes se dressent, pour que plus jamais ça!
Chiche. Et si une fois de plus, ceux qui donnent aujourd’hui, profitant de l’effet de sidération qui interdit la réflexion, une leçon de morale humaine n’étaient pas les premiers responsables en Europe du malheur des migrants et de l’impossibilité de leur apporter toute l’aide souhaitée?
Les braves gens, qui pleurent sans pudeur sur le sort des Syriens. Pendant des décennies, la presse convenue n’estimait pas convenable de critiquer, sauf à être raciste ou islamophobe, la radicalité arabo – islamique. Ni celle du nationalisme alaouite des Assad qui gazaient déjà sans problèmes les malheureux kurdes et qui bombardent à présent les quartiers rebelles à coups de barils de dynamite, ni celle plus récente d’un islamisme dont l’usage du mot même était jusqu’à peu tabou pour cause de préfixe amalgamant.
Depuis le début d’une guerre qui a fait près de 300 000 morts, aucune manifestation d’ampleur n’a été organisée en France en solidarité avec les populations qui souffrent en Syrie.
Le sort du peuple kurde, encore moins son destin national, n’a jamais intéressé qui que ce soit en France. Comment se fait-il qu’alors que des milliers de djihadistes français partent en Syrie, aucun jeune et généreux rebelle progressiste, aucun aventurier du macadam parisien, aucun juste de la 25e heure, n’ait seulement l’idée de former une brigade internationale qui irait combattre les premiers responsables de la mort du petit kurde, aux côtés des forces kurdes à Kobané ou ailleurs?
La réponse est facile: nos donneurs de leçons de morale se moquent comme d’une guigne du sort des Syriens en Syrie. La seule chose qui les intéresse, sans qu’ils s’en rendent compte eux-mêmes, c’est de pouvoir fustiger les Européens en Europe et les Français en France qui osent, les égoïstes, les rabougris, s’inquiéter que leur pays ne devienne dans une décennie une nouvelle Syrie.
Et c’est là aussi, que nos donneurs de leçons feraient bien de méditer les conséquences des leçons que leur bêtise inouïe, leur arrogance insondable nous donnaient au détour des années 80.
Peine perdue, je sais, car leur mémoire sélective, n’enregistre jamais les malheurs qu’ils peuvent faire.
Mais une majorité de Français, s’en souvient, raison pourquoi, et en dépit de tous les matraquages médiatiques et idéologiques, on ne leur fera plus prendre des vessies pour des lanternes, ou l’immigration forcée pour une bénédiction.
Écrivons le nettement: les Français qui manifestent leur opposition à l’accueil sans limite ni réserve de nouvelles populations ne sont certainement pas plus racistes ou égoïstes que ceux, qui de manière extatique, voudraient les accueillir sans compter.
Se préoccuper de son pays, de sa sécurité, de sa cohésion, de son identité (et oui, le mot-dit, le mot est dit) du sort de ses enfants, et de la possibilité d’accueil et d’intégration des populations étrangères n’est pas un signe particulier d’indifférence. Il vaut peut-être mieux que les élans du cœur irréfléchis, ou le suivisme conformiste sur fond de parallèle historique hystérique.
Car les Français ont payé très cher pour apprendre et ne plus croire le discours des apprentis sorciers. Les déclarations extatiques sur l’immigration «chance pour la France» ou sur l’islam, forcément, toujours et encore «religion de paix». La manière dont on moqua les «fantasmes» de bouleversements démographiques pour expliquer un beau matin qu’il était trop tard pour regarder en arrière la France des clochers, puisque la France était devenue «multiculturelle».
Alors oui, les Français ne croient plus dans les paroles verbales de la gauche gauchisante. Ils savent qu’à côté de populations terriblement souffrantes-et à qui ils veulent apporter assistance-se trouvent d’autres populations qui aspirent à profiter d’une Europe aujourd’hui saturée et appauvrie.
Ils savent que tous les réfugiés ne sont pas des résistants anti-islamistes, et que certains même sont des djihadistes envoyés par l’État Islamique, comme ces quatre arrêtés il y a quelques jours à la frontière bulgare, et qui pourront peut-être aussi causer des morts à immortaliser sur papier glacé.
Ils savent-exactement comme les forceurs de clôtures- l’Europe faible, et ses frontières totalement battues en brèche, enfoncées, niées. Ils savent qu’en dépit ou à cause des quotas accordés (qui en eux-mêmes seraient supportables), les déboutés du droit d’asile, piétineront les frontières délibérément violées et outragées.
Ils savent, que les politiciens tétanisés et les fonctionnaires émasculés, n’exécutent plus ou presque les arrêtés d’expulsion qui s’imposent pourtant, précisément pour autoriser, valider et légitimer l’arrivée légale des bénéficiaires du droit au refuge.
Ainsi donc, les premiers responsables de l’impossibilité d’accueillir tous ceux qui le mériteraient sont à rechercher chez ceux qui ont fait échouer une immigration bien tempérée et une intégration nécessaire.
Ils l’ont fait échouer, parce qu’au fond d’eux-mêmes, même s’ils se refusent encore à le reconnaître, ils récusent la notion éculée à leurs yeux de nation, et obscène d’État-nation disposant de frontières, et de sa corollaire légale, le droit existentiel pour un peuple souverain de réguler souverainement les flux migratoires.
Les Français qui ont conscience de voir leurs droits foulés aux pieds, sont-ils sans conscience?
Un dernier mot: l’ONU, à l’efficacité bien connue, voudrait imposer à l’Europe l’accueil de 200 000 migrants. Curieusement, elle ne demande aucun effort aux pays arabes du golfe.
Depuis deux ans, et notamment dans ces colonnes, je m’épuise régulièrement, mais bien seul, à demander pour quelles raisons ces pays désertiques et richissimes n’accueillent pas chez eux des populations souffrantes avec lesquels les unissent des liens ethniques, linguistiques, religieux et culturels fraternels. Ils devraient être d’autant plus enclins à le faire, que leur responsabilité dans la montée de l’islamisme est certainement plus grande que tout ce que les esprits les plus torturés en Europe pourraient reprocher aux occidentaux.
Mais les malheureux réfugiés ne songent pas un seul instant à frais à frapper à une porte qu’ils savent de bois massif.
On ne voit d’ailleurs pas pourquoi royaumes et émirats se feraient violence, puisque les Européens eux-mêmes préfèrent se fustiger plutôt que de les inviter à l’hospitalité.
Et ceux qui ici osent en France le faire remarquer sont durement rappelés à l’ordre et aux convenances.
C’est ainsi qu’un prénommé Bruno-Roger, que je ne nommerai pas, petit journaliste mais grand dresseur de listes, m’a maudit sur un site, précisément parce que j’avais commis, à la télévision, ce crime de lèse-majesté envers ces potentats manquant d’humanité.
Me traitant d’«avocat réactionnaire» (sans doute pour me plaire) et même de «droitard»… Rien à faire, ce garçon écrit comme un gauchon.
Sur le fond, je me contenterai de citer quelqu’un que j’estime plus qualifié que lui. Le père du petit Aylan Kurdi: «je veux que les gouvernements arabes, pas les pays européens, voient ce qui est arrivé à mes enfants et, en leur nom, qu’ils apportent leur aide» (TF1, reportage de Laurent Hauben le 4 septembre 20h, le Figaro le 5 septembre page5)
Ce vœu d’un père éploré, devant la tombe de son petit , n’accablant pas les seuls occidentaux, n’était sans doute pas suffisamment pieux pour intéresser le reste de cette presse bien-pensante et consciencieuse qui ne pratique que la religion de mortifier les consciences européennes

Le coin détente :

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La femme d’Emile appelle son mari.
– Emile ?
– Ouais ! Qu’est ce que tu me veux encore ?
– L’autre jour, j’ai acheté un livre et je ne le retrouve plus.
Tu te souviens, il s’appelait « l’art de devenir centenaire ». Qu’est ce que tu en as fait ?
– Je l’ai jeté.
– Tu as du culot, je l’avais payé avec mon argent ! Pourquoi l’as-tu jeté ?
– Parce que j’ai vu que ta mère commençait à le lire !

L’enfant Aylan Kurdi mort sur la plage : ce que la photo recadrée vous a caché

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La photo tragique de cet enfant mort sur une plage et reprise par la presse internationale pour attendrir les occidentaux et leur faire accepter les réfugiés syriens – alors qu’ils saturent d’une immigration islamiste imposée, la photo de l’enfant Aylan Kurdi, mort sur les côtes turques, a été recadrée par des médias populistes, pour émouvoir et endormir la raison.

 

Enfant Aylan-Kurdi

Regardez à droite la partie encerclée : alors qu’un garde cote prend des notes, qu’un autre, avec son appareil photo, semble occupé ailleurs, deux turcs, à quelques dizaines de mètres, sont en train de pêcher à la ligne, imperturbables, indifférents à la présence de l’enfant mort.

Oui je sais, certain diront que c’est un détail. Vraiment ?

Voir le flegme du garde cote à l’appareil photo, et ces deux pêcheurs insensibles, tandis que des médias honorables, y compris Le Monde, tombent dans le populisme le plus vulgaire pour émouvoir, a quelque chose d’obscène.

Les bobos peuvent appeler à la « solidarité » avec les réfugiés, alors que le sort de leurs compatriotes sans abris ne leur a pas fait couler une larme, ni empêché de dormir, l’hiver dernier. Ils ne parviennent à tromper personne.

La photo de propagande non plus.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

Le coin détente :

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Un professeur de psychologie commence son cours :
– Aujourd’hui, nous allons étudier les différents stades de la colère.
Il fait venir un téléphone dans la salle, compose un numéro au hasard et demande :
– Bonjour Madame, pourrais-je parler à Jacques, s’il vous plaît?
– Vous faites erreur, il n’y a pas de Jacques à ce numéro.
Il se tourne alors vers les étudiants et dit :
– Vous venez d’assister à la phase de mise en condition.
Il recommence et la dame, un peu agacée, répond :
– Je vous ai déjà dit qu’il n’y avait pas de Jacques ici!
Il réitère une bonne douzaine de fois, raccroche après s’être fait hurler dessus par cette dame devenue hystérique et s’adresse à son auditoire :
– Voilà enfin le niveau ultime de la colère.
Là-dessus, un étudiant lève la main :
– Monsieur, il y a pourtant un stade supérieur.
Et, pour illustrer, il se saisit du téléphone, compose encore une fois le même numéro et dit :

– Bonjour Madame, je suis Jacques. Y a-t-il eu des messages pour moi?

Enfin la création d’un état palestinien

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L’Europe voulait tellement un état palestinien.

Ce qui est beau

c’est qu’un état palestinien va ENFIN être créé ….

….. en Europe.

 

Citation du Docteur Gay Bekhor :

Quand les grandes villes d’Allemagne seront islamiques

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Mise en garde : ce document est douloureux à lire.

Il y a quinze ans, lorsque l’Abbé Alain René Arbez l’a publié, beaucoup lui ont dit qu’il exagérait. Vous serez surpris par sa clairvoyance et hélas par sa justesse.

Je n’ose imaginer ce qu’ils doivent penser d’eux-mêmes aujourd’hui, ces amis qui le jugeaient excessif, et ceux qui vivaient dans le déni de réalité, en relisant l’article de 2000 à la lumière de 2015. – Jean-Patrick Grumberg

La population allemande est en telle chute libre que le 21ème siècle verra des changements considérables dans le paysage religieux du pays.

Le nombre des chrétiens va se réduire, celui des musulmans va exploser

Le nombre des chrétiens va se réduire de façon spectaculaire, tandis que celui des musulmans va exploser.

Se basant sur des projections pour les prochaines décennies, une étude de l’Eglise protestante allemande annonce la couleur sans ménagement, chiffres et études sociologiques à l’appui.

Au pays natal de la Réformation, la culture religieuse en passe d’être au premier rang n’est pas le protestantisme, à peine 10%, mais l’islam ! Pour quelque temps encore, les deux grandes Eglises chrétiennes représentent environ un tiers de la population allemande, mais d’ici peu, le christianisme ne correspondra plus qu’à une petite minorité. Or, un tel enjeu ne concerne pas seulement les Eglises, mais la société dans son ensemble.

Impact démographique

Depuis les années soixante, les Allemands ne procréent plus suffisamment pour maintenir stable le niveau de population. Pour cela, il faudrait une moyenne de 2,1 enfants par femme entre 15 et 45 ans. En 1960, on en était encore à 2,3, tandis qu’aujourd’hui l’indice de natalité s’est effondré à 1,2. (Dans les nouveaux länder, ce n’est plus que 0,9 ).

A part l’Italie et l’Espagne, l’Allemagne est le pays de l’union européenne le plus pauvre en naissances. Le poids des avortements y joue un rôle particulièrement fort : en 1999, on enregistrait 800 000 naissances pour 300 000 avortements estimés. Si ces enfants éliminés étaient venus au monde, la natalité allemande serait de 35% plus élevée, et approcherait 1,7 enfant par femme…

Dans certains quartiers, on ne voit presque plus d’enfants, il n’y pratiquement plus que des personnes âgées

Dans moins de 10 ans, ce sont donc 3 millions de jeunes gens éliminés avant la naissance qui feront défaut à la population allemande. Tant que les jardins d’enfants, écoles et universités des années 60 étaient remplies, personne ne se souciait de ces questions de peuplement ; mais la situation a tellement changé que dans certains quartiers, on ne voit presque plus d’enfants, il n’y pratiquement plus que des personnes âgées !

Etrangers majoritaires ?

Dans la ville de Dortmund, (7ème ville d’Allemagne) 5’000 enfants sont nés dans l’année. Mais presque autant n’ont pu voir le jour par avortement ; pour une ville qui compte actuellement 600’000 habitants, ce déficit permanent de naissances aura des conséquences dramatiques, puisque la perte d’un cinquième de la population, compensée par un apport extérieur d’immigrants, fera grimper la proportion totale d’étrangers au 40% des habitants de la ville !

On envisage donc sérieusement que de grandes agglomérations comme Francfort et Stuttgart voient leurs populations étrangères devenir majoritaires aux alentours de 2030… Mais ces chiffres n’expriment pas encore toute la dimension des changements en cours : ainsi, dans neuf ans, les étrangers de la tranche 20-40 ans représenteront déjà le 46% de la population de Duisbourg. Dans très peu de temps, les enfants étrangers des crèches et des écoles de plusieurs grandes villes allemandes constitueront la majorité.

A Berlin, la proportion d’étrangers de moins de 20 ans sera de 52% dans dix à douze ans.

Le nombre des Allemands, actuellement de 75 millions, tombera à 22 millions à la fin du 21ème siècle

Mais on peut encore déduire de ces chiffres que le nombre des Allemands, actuellement de 75 millions, tombera à 22 millions à la fin du 21ème siècle.

Les spécialistes en sciences sociales Meinhard Miegel et Stephanie Wahl font même le pronostic que l’identité allemande pourrait bien être entièrement laminée dès le début du 21ème siècle : l’Allemagne va vraisemblablement être peuplée en grande majorité d’immigrants et de leurs descendants.

Mais la question se pose de savoir qui sera capable, à partir de là, de défendre le patrimoine culturel allemand et européen. Il y a plus grave encore : qui transmettra la tradition chrétienne aux prochaines générations ?

Plus de 25 millions d’immigrants s’installent en Allemagne

Le département démographique des Nations Unies a exigé récemment que l’Allemagne accueille 500 000 immigrants nouveaux chaque année sur son sol, pour stabiliser son niveau de population.

Cela implique que, dans les 50 prochaines années, plus de 25 millions d’immigrants viennent s’installer en Allemagne. Dans cet état de fait, une intégration des étrangers devient absolument impensable ; selon le « Frankfurter Allgemeine », il suffit déjà d’ouvrir les yeux sur la foule que l’on croise dans n’importe quelle grande ville allemande d’aujourd’hui, pour saisir immédiatement que la soi-disant assimilation des étrangers à la culture locale est un échec !

Mutations

Une réelle intégration présuppose que des normes culturelles soient mises en valeur par la société d’accueil. Or, qui pourrait encore être intégré à cette société lorsque les enfants venus d’ailleurs constituent déjà la majorité des classes à l’école, et quand des quartiers entiers ou des villes entières sont à majorité étrangère ?

L’idée répandue que les immigrants s’assimilent parfaitement à la société d’accueil dès la troisième génération se révèle totalement irréaliste. De nombreux jeunes issus de l’immigration préfèrent s’orienter, grâce aux médias modernes, vers la langue et la culture d’origine de leurs parents plutôt que vers celles de leur pays de résidence. Ainsi, 56% des Turcs s’informent à partir de publications turques, donc islamiques, et 75% donnent la priorité aux émissions de télé venant de Turquie.

Protestants : 10%

A la fin du siècle la participation actuelle à la vie des Eglises ne sera plus qu’un souvenir

Les Eglises doivent se faire à l’idée d’un dramatique effondrement du nombre de leurs membres et de l’influence de leurs valeurs. Du fait que parmi les immigrants une part minime d’entre eux est chrétienne et une autre encore plus infime pratique sa religion, il est clair qu’à la fin du siècle la participation actuelle à la vie des Eglises ne sera plus qu’un souvenir.

Dans les états-majors ecclésiastiques, on n’a pas encore réalisé ces évidences liées à la quasi disparition de la population autochtone. Pourtant depuis une étude de 1985, on a pris conscience du fait que chaque décennie le nombre de protestants se réduit d’un dixième. Des 27 millions de membres actuels de l’Eglise on passera à 24,3 en 2010 et à 22 en 2020. A la fin du siècle, il n’y aura plus que 9 millions de protestants. Les mariages religieux sont également en net recul. En 1970, ce sont encore 270 000 enfants de parents protestants qui voyaient le jour, mais en 1998, ils ne sont plus que 121 000; chez les catholiques, le recul est moins sensible: de 285 000 en 1970, on passe à 157 000 en 1998.

Ainsi, en Allemagne, tandis que le nombre des chrétiens régresse dramatiquement, celui des musulmans ne cesse d’augmenter.

Selon une prévision du démographe Rainer Münz, le nombre d’étrangers atteindra 14,2 millions en 2030; parmi lesquels 3 à 4 millions de Turcs, 2 millions d’ex-Yougoslaves (Albanais), et 7,4 millions d’autres nationalités extérieures à l’Union européenne (dans ce groupe, la très grande majorité est aussi constituée de musulmans).

De par le fort taux de natalité qui caractérise les musulmans, leur nombre global ne fera qu’augmenter considérablement, même sans apport extérieur de nouveaux immigrants.

Plus d’un jeune musulman sur trois pour la violence

Sur le plan religieux, c’est l’islam qui va prendre la position dominante. Il serait tout à fait étonnant, par rapport aux constats faits partout ailleurs dans le monde, que cela ne s’accompagne pas de conflits.

La revendication du foulard islamique par des enseignants ou l’exigence d’appels publics du muezzin à la prière par haut-parleurs ne sont que de petits avant-goûts des problèmes à venir.

Une étude menée en 1997 par le sociologue Wilhelm Heitmayer auprès de jeunes musulmans d’Allemagne fait apparaître un étrange sentiment de supériorité de la part de ceux-ci :

  • 33,4% des interrogés estiment que le sionisme opprime l’islam.
  • Un tiers d’entre eux croient fermement être choisis par Allah pour accroître la présence de l’islam en Allemagne,
  • et 36% d’entre eux se disent militants et donc prêts à utiliser la violence contre les « infidèles ».

Les responsables d’Eglises protestantes pourront-ils dans l’avenir prendre part aussi amicalement qu’aujourd’hui à l’inauguration de chaque nouvelle mosquée, rien n’est moins sûr !

La vraie question en fin de compte ne tourne pas autour du maintien ou non de la germanité en Allemagne, mais le problème est de savoir si le pays tout entier n’est pas en train de passer d’une culture marquée par la foi chrétienne à une autre réalité déterminée par l’islam.

Dans d’autres parties du monde, des Balkans au Liban, les exemples ne manquent pas de situations de ce genre ayant tourné à la guerre civile.

L’islam n’est pas un chemin d’intégration mais de confrontation aux autres

Même le système de double-nationalité a démontré dans ces conditions qu’il ne mène nullement à l’intégration dans le pays d’accueil ; car l’islam, de par sa vision religieuse du monde, n’est pas un chemin d’intégration mais plutôt de confrontation aux autres.

Cela, on peut aisément le constater en lisant le Coran et en observant ce qui se passe dans quantité de pays dès que les musulmans deviennent pratiquement majoritaires.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Abbé Alain René Arbez pour Dreuz.info.

(à partir d’une étude publiée par l’Eglise protestante allemande dans « idea spektrum2000, Kirche und Politik »)

Devinez combien de migrants l’Arabie saoudite et le Qatar ont recueillis

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Cette carte indique le nombre de migrants et réfugiés syriens recueillis par les pays voisins.

Turquie : 1.8 million
Liban : 1.2 million
Jordanie : 628.427
Egypte : 133.000
Irak : 247.861
Arabie saoudite : 0
Koweit : 0
Qatar : 0
UAE : 0

Comparer les pressions morales de certains politiques en mal de clientèle musulmane et qui réclament que les Français accueillent des migrants chez eux, à leur silence de tombe sur l’indifférence des pays du Golf est choquant non ?

Amnesty International l’a récemment fait remarquer : « les six pays du Golfe, Qatar, Emirats, Arabie saoudite, Koweit, Oman et Bahrain — ont accepté zéro migrants venant de Syrie. »

Cette réalité est particulièrement choquante, car ces pays sont géographiquement assez proches, mais surtout, ils possèdent des ressources financières gigantesques pour accueillir les migrants : il s’agit des Etats arabes les plus riches, offrant le niveau de vie le plus élevé, disposant (pour l’Arabie saoudite) de surfaces inhabitées immenses. Et surtout, ce sont des pays musulmans où les réfugiés n’auront pas à batailler pour par exemple obtenir un repas halal ou trouver une mosquée.

Autre réalité : l’Arabie saoudite, le Qatar, les Emirats et le Koweit ne sont pas étrangers au conflit. Ils y ont joué un rôle en finançant et armant des groupes rebelles et des factions islamistes contre le président Assad.

Mais l’Arabie saoudite et les pays voisins ne veulent pas de migrants car ils craignent le terrorisme, et songent à la sécurité intérieure. De plus les migrants prendraient des emplois à leurs citoyens. Autant de bonnes raisons de refuser ces réfugiés.

Pourtant, la région a la capacité de construire très rapidement des infrastructures. Les entreprises de batiment géantes qui ont construit les tours de Dubaï, d’Abu Dhabi, et de Riyadh, pourraient créer des abris. L’Arabie saoudite a tout à fait le savoir faire pour gérer une grande quantité de migrants : elle sait déjà accueillir chaque année des millions de pieux musulmans qui font le pelerinage à la Mecque.

Rien ne les empêche d’utiliser ces ressources et ce savoir faire pour des objectifs humanitaires.

La raison, en réalité est simple : une totale indifférence pour le sort des réfugiés, un désintérêt politique total, et aucune pression internationale : aucun chef de gouvernement n’a assez de courage pour rappeler les pays du Golfe à l’ordre.

Quand aux médias, ils sont bien trop occupés à culpabiliser les Européens avec des photos d’enfants morts échoués sur une plage, à attaquer, comme Valentin Graff dans Libération, les sites internet qui leur font de l’ombre, et bien trop couards pour donner de la voix et exiger des pays du Golfe qu’ils assument leurs responsabilités morales, éthiques et qu’ils montrent combien l’islam est une grande religion d’amour.

Je rêve. Si les journalistes avaient des valeurs, cela se saurait.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

Bonjour les crocodiles

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La mort d’Aylan Kurdi, ce petit garçon syrien de trois ans, dont la photo illustrait une bonne partie de la presse européenne (sauf la presse française)  choque. Elle  nous a bien sûr choqué comme elle a choqué  dans le monde entier.

Comment se fait-il qu’une seule photo  a réussi à révéler  l’hypocrisie générale,  l’indignation sélective et généré une hystérie collective chez les hommes politiques, les artistes et dans les médias.

Cette photo à elle seule a fait voler en éclat le barrage de l’inhumanité et de l’indifférence ouvrant la voie au bal des hypocrites et aux professionnels de l’indignation sélective, au déferlement des larmes de crocodiles de tous ceux qui depuis plus de 4 ans s’étaient voilés la face et bouchés les oreilles.

Nous avons vu passer des milliers de photographies et de reportages plus violents les uns que les autres (dont la photo ci-dessus). Plus de 200 000 morts dont quelques dizaines de milliers d’enfants, des centaines de personnes décapitées, des milliers d’esclaves sexuelles vendues, des femmes lapidées, des gens brûlés vifs, des femmes violées, des enfants crucifiés, des hommes noyés dans des cages et des millions de personnes  déplacées.
Avez vous entendu une réaction horrifiée d’un artiste ou d’un homme politique ?

Les réactions, dramatisées à souhait, des médias, des commentateurs, des artistes  et des hommes politiques plus opportunistes  les uns que les autres sont pathétiques. Peut-être, pensent-ils  qu’en surenchérissant dans le registre de l’indignation ils vont arriver à faire oublier leur silence.

Ils sont désormais prêts à envisager les solutions les plus hasardeuses sans précaution.  Les français qui vivent au quotidien la menace de l’Islamisme font de la résistance et s’opposent majoritairement à l’accueil en masse des « migrants ».
Pourquoi ne pas  poser la question sur l’accueil exclusif de chrétiens comme préconisé par des pays comme la Hongrie qui se refusent à changer de civilisation. Aucun doute sur le fait que la réponse, quoi que non réalisable, serait différente.

Une question reste néanmoins  posée.

Que ce serait-il passé sans cette photo ?

Reproduction autorisée avec la mention : © Remy Taieb pour Defense Medias Israel

Khamenei : Pas d’accord sans levée immédiate des santions

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Le Dictateur iranien Ali Khamenei a déclaré jeudi qu’il n’y aura pas d’accord sur le nucléaire avec les États-Unis si l’administration Obama ne lève pas les sanctions contre la République islamique immédiatement après l’entrée en vigueur de l’accord.

« Si les sanctions ne sont pas levées, alors il n’y aura pas d’accord », a déclaré le « Guide suprême » de l’Assemblée de l’Iran dans une émission difuusée sur la télévision d’état.

« Nous avons insisté (depuis le début des négociations) que les sanctions devaient être levées, pas suspendues, » le dictateur de l’Iran ajouté, avant de menacer de tripler l’enrichissement d’uranium si les Etadts-Unis n’accèdent pas à ses demandes.

Khamenei a ajouté:
Si nous avons fait des concessions sur certaines questions, le but était avant tout de supprimer les sanctions.
Sinon quel était le besoin de négocier ?
Nous avons aujourd’hui 19.000 centrifugeuses. En peu de temps, nous aurions pu atteindre 50.000 ou 60.000 centrifugeuses, continuer l’enrichissement d’uranium à 20 % et accélérer le développement et la recherche.

Le souverain théocratique de l’Iran a continué à jeter le doute sur la capacité des Américains gérer correctement la suite de l’affaire.

« Ne dites pas que les Américains font ces discours pour satisfaire opposants intérieurs. Bien sûr, je crois que la lutte intérieure en Amérique est réelle et ils ont des différences et la raison de cette différence est claire pour nous. Mais ce qui est officiellement dit a besoin d’une réponse, et si elle ne convient pas la partie adverse réagira « , a-t-il dit.

Khamenei a déclaré qu’il pensait que le Parlement iranien devrait voter sur l’opportunité d’approuver l’accord.
« Je l’ai dit au président (Hassan Rohani) qu’il n’est pas dans notre intérêt de laisser nos législateurs examiner l’affaire, » at-il conclu.

Toutefois, il reste difficile de savoir si le vote parlementaire aurait un impact juridique, vu que le chef suprême, qui a le pouvoir ultime et absolu sur le pays, pourrait tout simplement annuler le vote.

Traduit et adapté de  BREITBART par  Remy Taieb pour Defense Medias Israel

Enfin une victoire pour le BDS ….

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Le mouvement de boycott anti-israélien BDS ( Boycott, désinvestissement, sanctions) avait choisi SodaStream comme une de ses cibles principales dans le monde, forçant la compagnie israélienne à fermer définitivement dans deux semaines son usine de Cisjordanie où étaient employés 600 Palestiniens.

Dan Birnbaum, le directeur-général de SodaStream affirme que le boycott n’a qu’un impact « marginal » sur les activités commerciales de sa société, mais il souligne néanmoins que le transfert de son usine va affecter les travailleurs palestiniens qui touchaient des salaires plus élevés que la moyenne . En effet, seul 130 d’entre eux sur les 600 pourront venir travailler en Israël.

« C’est de la propagande, c’est de la politique. c’est de la haine, c’est de l’antisémitisme », a déclaré Birnbaum à l’agence Associated Press.

Un ouvrier palestinien qui a travaillé pour la compagnie israélienne pendant 2 ans pointe du doigt les boycotteurs de BDS. « Tout ceux qui voulaient la fermeture de SodaStream ont eu tort. Ils n’ont paspris en compte les familles. SodaStream aurait dû être encouragé en Cisjordanie si le BDS se souciait vraiment du peuple palestinien.

Pour célébrer ses 10 ans le BDS avait  fait appel à ses plus belles filles, ses meilleures danseuses, son chorégraphe le plus talentueux, son auteur de chanson le plus imaginatif et son arrangeur musical le plus doué pour nous concocter ce chef d’oeuvre pour accompagner le boycott de Sodastream:

La comédie musicale en image

Une comédie musicale qui restera dans les annales et qui va concourir pour les oscars dans toutes les catégories
Nul doute que tous les espoirs sont permis vu la sympathie naturelle, hypocrite et désintéressée dont jouit le mouvement.

Reproduction autorisée avec la mention : © Remy Taieb pour Defense Medias Israel

Rohhhh… l’incendiaire de Paris (8 morts), s’appelle Mourad Saïdi

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C’est une information révélée par M6 : l’homme placé en garde à vue mercredi 2 septembre après l’incendie qui a coûté la vie à huit personnes dans un immeuble de la rue Myrha à Paris (où se déroulent des prières qui bloquent la rue sous la bienveillance des autorités), serait Mourad Saïdi.

Il a été interpellé vers 11h15, à proximité des lieux du drame. Parmi les victimes, on dénombre deux enfants.

L’islam est une chance pour la France, l’immigration est une chance pour la France, Dirons-nous que ce tragique incendie criminel est … une chance ?

Selon les informations publiées par M6, l’incendiaire s’appelle donc Mourad Saïdi. Il est né en 1979 en Algérie. Interpellé, il a été placé en garde à vue après l’incendie de l’immeuble du XVIIIe qui a coûté la vie à huit personnes.

M6 précise que la police l’a appréhendé vers 11h15 dans une rue voisine à la rue Myrha où a eu lieu l’incendie.«L’homme aurait été vu sur les lieux» lors des deux départs de feu, explique Yvan Assioma, policier du syndicat Alliance.

Saïdi a en outre été identifié grâce au «recoupement de témoignages et d’images issues de caméras de vidéosurveillance» du quartier, ajoute le délégué syndical, ce qui fait que l’emploi du conditionnel pour évoquer sa culpabilité est purement réthorique.

D’ailleurs M6 confirme : « selon nos informations, sur les images, on voit l’homme, au comportement suspect, sortir du bâtiment qui a pris feu. »

Enfin, lors de son arrestation, Saïdi était en possession d’un briquet et d’une bougie, selon l’AFP qui cite une source proche de l’enquête.

En creusant un peu, on comprends mieux le contexte – ne comptez pas sur les médias pour l’écrire.

Saïdi « est connu pour une vingtaine de faits, notamment des affaires de stupéfiants, des vols et des dégradations de biens privés » précise la source citée par M6. Il était donc laissé en liberté afin de nuire à l’ordre public bourgeois. Ce qu’il a fait. Et même au delà des espoirs les plus fous des juges rouges qui le considèrent comme victime d’une société bourgeoise à punir.

Le bilan est lourd. L’incendie s’est propagé aux appartements, causant la mort de huit personnes dont deux enfants. Deux des victimes se sont défenestrées, les autres ont péri à l’intérieur du bâtiment.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Isa Landau pour Dreuz.info.

Arrestation de 5 combattants de l’Etat islamique infiltrés parmi des migrants

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Cinq hommes se faisant passer pour des réfugiés qui tentaient de franchir la frontière entre la Bulgarie et la Macédoine ont été arrêtés. Leurs smartphones contenaient des vidéos de décapitations (auxquelles ils ont peut-être participé), ainsi que des documents de propagande pour l’Etat islamique.

 

Cinq combattants arrêtés par hasard, pour combien de centaines, de milliers, déjà entrés sur le sol européen ?

Les autorités bulgares ont bénéficié de la maladresse des terroristes et de la probité d’un douanier.

Selon la chaîne bulgare Nova TV citée par Breitbart, cinq hommes âgés de 20 à 24 ans, voyageant à bord d’une voiture immatriculée au Kosovo, se sont présentés au poste frontière de Gyueshevo.

Ils ont alors tenté de donner un bakchich au garde frontière pour éviter d’être fouillés et pour qu’il les laisse traverser.

Le garde frontière a non seulement refusé l’argent, mais a décidé de fouiller les cinq hommes. Grand bien lui pris. La police des frontières a découvert de la propagande de recrutement pour l’Etat islamique, des textes de prières spécifiques pour les djihadistes, et des vidéos de décapitations sur leurs smartphones.

Les terroristes ont été emprisonnés, et le procureur régional du Kyustendil de l’agence nationale de la sécurité intérieure bulgare (DANS) s’est saisi du dossier.

Les cinq hommes avaient tenté de franchir la frontière ouest bulgare dans l’espoir que les forces de sécurité seraient mobilisées sur la frontière du sud avec la Turquie afin d’enrayer l’afflux de migrants.

Barrière de fils barbelés le long de la frontière avec la Turquie

La Bulgarie vient de terminer la construction d’une barrière de fils barbelés de 4 mètres de haut le long des 75 km de sa frontière sud avec la Turquie afin de tenter de bloquer l’invasion de migrants venant du Moyen Orient et d’Asie par ce qu’on appelle la route des Balkans.

En février 2015, les services de renseignements turcs avaient informé les autorités européennes dans un mémo interne publié par RT, qu’environ 3 000 djihadistes ont prévu de franchir la frontière turc depuis la Syrie et l’Irak, afin de pénétrer en Europe par la Bulgarie et la Hongrie.

Les autorités européennes n’ont pas réagi. Les djihadistes n’ont pas attendu…

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En mai dernier, rapporte IB Times, Abdul Basit Haroun, un conseiller du gouvernement libyen, a déclaré à la BBC que des combattants de l’Etat islamique étaient « envoyés en Europe dans les bateaux de migrants ».

Les autorités européennes n’ont pas réagi. Au contraire, de nombreux politiques ont déclaré qu’il fallait accueillir encore plus de migrants.

Les djihadistes ne se sont pas fait prier.

Faut-il le préciser ? Lorsque l’Etat islamique annonce qu’il  va inonder le continent européen d’un demi million de djihadistes dissimulés parmi les migrants, ce ne sont pas les discours des idiots utiles islamo-gauchistes diabolisant ceux qui voudraient préserver ce qui peut encore l’être qui vont faire changer les terroristes d’avis.

Photo amateur - migrants refoulés dormant devant la gare de Keleti de Budapest

Photo amateur – migrants refoulés dormant devant la gare de Keleti de Budapest

Mercredi matin, les autorités hongroises ont fermé la gare de Keleti de Budapest, alors que des centaines de migrants tentaient de monter à bord des trains vers l’Autriche et l’Allemagne, encouragés par l’invitation « porte ouverte de l’Allemagne aux migrants » d’Angela Merkel.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

Imre Kertész, prix Nobel de littérature: « les musulmans envahissent, occupent et détruisent l’Europe »

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Prix Nobel de Littérature en 2002, l’écrivain juif-hongrois, spécialiste de l’Holocauste, Imre Kertész, adresse, dans son dernier livre, une critique virulente à l’encontre de l’Establishment occidental pour sa décision irresponsable de laisser l’Europe changer sa population par une immigration de masse, majoritairement de culture musulmane, en provenance du Tiers Monde.

Né en 1929, dans une modeste famille juive de Budapest, Imre Kertész, déporté à Auschwitz à l’âge de 15 ans, puis à Buchenwald, survit à l’Holocauste. Cette horrible expérience des camps marquera sa vie d’homme et son œuvre. Prix Nobel de littérature, auteur de chefs-d’œuvre comme « Kaddish pour l’enfant qui ne naîtra pas

* » (1995) et «Etre sans destin

*» (1998), aujourd’hui gravement malade, Imre Kertész rassemble ses dernières forces dans un ultime combat.

L’Europe a créé Hitler et, après Hitler, elle s’est trouvée à court d’arguments : les portes se sont grandes ouvertes devant l’islam

Dans son livre : «L’Ultime auberge

*», l’auteur dénonce, entre autres, la politique migratoire suicidaire de l’Europe :

«L’Europe va bientôt s’effondrer, à cause de cette forme de libéralisme, qui s’est avérée puérile et suicidaire. L’Europe a créé Hitler et, après Hitler, elle s’est trouvée à court d’arguments : les portes se sont grandes ouvertes devant l’islam, plus personne n’ose parler de race ou de religion, alors que l’islam ne semble connaître que le langage de la haine envers les autres races et religions.»

« L’Europe commence à comprendre où l’a menée sa politique libérale d’immigration. Elle s’est rendue compte que la chose nommée société multiculturelle n’existe pas.»

Pour Imre Kertész, l’Europe est lâche au point de «s’aplatir devant l’islam, en raison de cette culpabilité, qu’elle ne peut oublier depuis Auschwitz ».

« Je voudrais ajouter quelques mots au sujet de la politique : je dirais comment les musulmans envahissent l’Europe, se l’accaparent, bref, la détruisent et comment l’Europe réagit face à ce libéralisme suicidaire et cette stupide démocratie … Cela se termine toujours de la même manière : la civilisation atteint un certain niveau de maturité, à partir de là, elle n’est plus capable de se défendre elle-même, elle tombe alors dans une adoration incompréhensible de ses propres ennemis.»

« L’ultime Auberge » est aussi influencée par les souvenirs de l’horreur nazie.

« Tout ce qui a eu lieu influence tout ce qui peut encore avoir lieu, dès lors Auschwitz pourrait revenir ».

«Auschwitz a eu lieu, et le fait qu’il ait pu avoir lieu est irréversible», écrit Imre Kertész. «Le fascisme, le nazisme, le communisme, etc. n’ont pas de causes historiques, mais viennent de ce que les gens veulent avoir ces systèmes et leurs dirigeants. C’est tout.»

« Tout ce qui a eu lieu influence tout ce qui peut encore avoir lieu, dès lors Auschwitz pourrait revenir ».

Pour Imre Kertész, l’antisémitisme n’a jamais disparu d’Europe. Le monstre reste là, tapi dans l’ombre, prêt à resurgir.

Basé sur son expérience personnelle, Imre Kertész a conservé un sens profond de l’absurdité universelle : «La vie est absurde, il faut la traiter avec la souplesse et la retenue, qui conviennent, comme toute chose sans grande importance. »

La lâcheté de nos gouvernements, Geert Wilders ne cesse de la dénoncer, comme ici au parlement danois en février 2014.

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« Chaque jour, chaque jour, nous entendons les leaders occidentaux répéter l’écoeurant mantra que l’islam est une religion de paix.
A chaque fois, qu’une atrocité est commise au nom de l’islam, à chaque fois que quelqu’un est décapité en Syrie, Barrack Obama, David Cameron, mon propre premier Ministre, et beaucoup, beaucoup d’autres de leurs collègues se précipitent devant les caméras de télévision pour déclarer que ceci n’a rien à voir avec l’islam.

Nous prennent-ils pour des idiots ?

Sommes-nous idiots ?

Nous ne sommes pas idiots.

Lisez le coran. Constatez que le coran et l’islam signifient violence. »

– Geert Wilders, Parlement danois, 11.02.2014

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Le BDS s’auto intoxique avec des victoires imaginaires.

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Mohamed Larbi Bouguerra qui selon Wikipédia est un chimiste et universitaire tunisien a écrit  dans le journal en ligne de Tunisie , Leaders,

un article dont le titre à sensation est :

« Encore un bon point pour le forum social mondial de Tunis!  Israël harcelé de toutes parts »

Dans lequel il se félicite qu’un syndicat américain : The United Electrical, Radio and Machine Workers Union est devenu le premier syndicat à l’échelle nationale américaine à appeler au boycott d’Israël. Il tente de faire croire à la réussite de son mouvement avec la réthorique habituelle qui serait reprise par ce syndicat :

On a les victoires qu’on mérite surtout quand on essaye de les fonder sur des contes, légendes et mensonges. Il n’empêche, l’heure de gloire de tous les BDS est passée et il s’achemine, d’échec en échec vers sa disparition.
Pour ne citer que quelques unes des claques retentissantes qu’a, récemment, encaissées le BDS, citons

  • l’affaire d’Orange dont le PDG est venu personnellement faire des excuses en Israël et assurer que ses affaires allaient s’y développer,
  • l’affaire du chanteur juif Matisyaou qu’on a rappelé en catastrophe pour un concert en Espagne et qui a chanté devant un public en délire « Jérusalem si je t’oublie … »,
  • l’affaire de la manifestation « Tel Aviv sur Seine que le BDS a vainement tenté de faire annuler et qui a été un succès retentissant ..

et même vous qui reconnaissez que malgré vos tentatives d’intimidation:

« Il n’empêche que Veolia continue sa gestion du tramway de Jérusalem.: » etc …

Merci d’avoir cité le président israélien ça lui fera plaisir de savoir qu’il contribue à vous endormir.

  • Merci d’avoir décrit « La  mobilisation sioniste contre le mouvement BDS » qui  » entre alors en transes :
  • le milliardaire sioniste américain Sheldon Adelson met 50 millions de dollars dans cette  lutte,
  • le Jewish National Fund (Fonds National Juif américain) abonde de 100 millions de dollars et
  • le lobby sioniste américain AIPAC apporte  65 millions de dollars
  • et étoffe cette croisade de  pas moins de 400 de ses agents. « 

Décidément à part quelques scènes théatrales dans certaines rues et supermarchés, le BDS est bien incapable de nuire à Israël. Vous avez raison de citer les généreux donateurs qui se sont donnés pour but de vous réduire à un petit groupuscule de gesticulateurs.

Enfin, ce syndicat que vous présentez comme l’un des syndicats les plus puissants des Etats Unis comprend, selon wikipédia, 35 900 membres. Il faudrait nous expliquer quelle est sa capacité de nuisance pour Israël car on ne le voit vraiment pas.

Une dernière recommandation : Soyez courageux, joignez vos actes à vos paroles et boycottez TOUS mais vraiment TOUS les produits israéliens.
Excusez moi de ne pas pouvoir tous les citer dans le cadre de cette réaction. A défaut je vous donne un lien qui vous permettra d’obtenir une première liste non exhaustive.
Vous pouvez évidemment la diffuser, gracieusement,  parmi les membres les plus consciencieux et orthodoxes de votre mouvement.

Liste spéciale pour le BDS des produits à boycotter.

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Reproduction autorisée la mention :© Remy Taieb pour Defense Medias Israel

Mahmoud Abbas prend sa retraite de la direction de l’OLP

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Début de la fin: Abbas prend sa retraite de la direction de l’OLP
Lors de la réunion de la direction du Fatah à Ramallah hier Abbas a largué une bombe. Il n’est pas candidat pour  les élections du Comité exécutif qui auront  lieu dans deux semaines.
Cela a été rapporté par Ynet, par une source palestinienne autorisée. Le candidat qui sera élu à cette occasion sera en bonne position pour diriger l’ autorité palestinienne. Saeb Erekat, prend également sa retraite.

Selon la constitution palestinienne,  afin de choisir un nouveau  président pour l’autorité palestinienne lorsque le précédent président décède, démissionne ou est incapable de remplir sa  fonction, il faut organiser  des élections générales en Cisjordanie et à Gaza, mais en raison de la scission entre le Fatah et le Hamas il est possible qu’un vice président à Abbas soit nommé.


Dans un deuxième temps il pourrait le remplacer afin d’éviter une élection.

 

Dick Cheney: l’accord nucléaire avec l’Iran conduira au premier usage d’une arme nucléaire depuis Hiroshima et Nagasaki

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L’ancien vice-président Dick Cheney et sa fille Liz Cheney ont lancé une vaste attaque contre la politique étrangère du président Barack Obama dans un extrait d’un livre à paraître qui a été publié dans le Wall Street Journal vendredi.

Les deux Cheney ont accusé Obama de mentir à propos de l’accord sur le nucléaire iranien et ont déclaré que l’accord conduirait à la première utilisation d’une arme nucléaire depuis 1945.
Permettre aux Iraniens de continuer à enrichir de l’uranium  en acceptant la suppression de toutes les restrictions sur leur programme nucléaire garantit pratiquement qu’ils vont devenir un Etat nucléaire , en quelques  années sapant ainsi l’accord fondamental au cœur du Traité de Non Prolifération (TNP).
Presque tout ce que le président nous a dit à propos de son accord iranien est faux. 

Il a dit qu’il va empêcher les Iraniens d’obtenir des armes nucléaires, mais il va en fait  faciliter et légitimer un arsenal nucléaire iranien. Il a dit cet accord va arrêter la prolifération nucléaire, mais il va vraiment l’accélérer.
Le président Obama nous avait dit qu’il n’accepterait jamais un accord basé sur la confiance. Les membres de son administration, y compris son secrétaire à l’énergie et le conseiller adjoint à la sécurité nationale, ont déclaré que l’accord nucléaire serait vérifiable avec « anywhere, anytime inspection »  (des inspections inopinées et en tout lieu) . Au lieu de cela, Obama donne aux Iraniens les moyens de retarder les inspections et ne donne aucune réponse sur les installations secrètes sur les sites militaires.
Les inspections de ces sites sont couverts par des accords secrets, ce qui est historique. En vertu des dispositions révélées sur ces accords secrets, les Iraniens vont eux-mêmes se contrôler.
Le président a essayé de vendre cette mauvaise affaire en affirmant qu’il n’y avait pas d’alternative, sauf la guerre. En fait, cet accord rend la guerre plus probable. En plus d’accélérer la propagation des armes nucléaires au Moyen-Orient, il fournira aux Iraniens es centaines de milliards de dollars en allègement des sanctions, qui, même l’administration Obama l’admet,  sera probablement utilisé pour financer le terrorisme.
L’accord supprime également les restrictions sur le programme de missiles balistiques de l’Iran

lève l’interdiction sur les ventes d’armes conventionnelles

et lève les sanctions sur les gardiens de la révolution de l’Iran, sur la Force Qods, et le commandant de la Force Qods Qassem Soleimani. Sous le leadership de M. Soleimani, la Force Qods sème la violence et soutient le terrorisme au Moyen-Orient et a été responsable de la mort de membres des services américains en Irak et en Afghanistan.
Un vote pour l’accord nucléaire Obama n’est pas un vote pour la paix ou la sécurité. Il est un vote pour un accord qui facilite les objectifs meurtriers de Téhéran avec des conséquences potentiellement catastrophiques pour les États-Unis et nos alliés.
L’accord nucléaire avec l’Iran d’Obama est tragique. Il rappelle l’accord de Munich en 1938. C’est à dire un accord négocié à partir d’une position de faiblesse par un leader prêt à concéder à peu près tout pour apaiser un dictateur idéologique. Hitler a obtenu la Tchécoslovaquie. Les mollahs de Téhéran obtiendront des milliards de dollars et une voie vers un arsenal nucléaire. Munich a mené à la Seconde Guerre mondiale. L’accord Obama mènera à un Iran nucléaire, une course aux armements nucléaires au Moyen-Orient et, plus que probablement, la première utilisation d’une arme nucléaire depuis Hiroshima et Nagasaki.
Le Congrès américain devrait rejeter cet accord et imposer à nouveau les sanctions qui ont amené l’Iran à la table des négociations la première fois. Il est possible d’empêcher l’Iran d’atteindre une arme nucléaire, mais seulement si les Etats-Unis négocient à partir d’une position de force, refusent de concéder des points fondamentaux et reconnaîssent que l’utilisation de la force militaire sera nécessaire si la diplomatie échoue à convaincre l’Iran d’abandonner sa quête pour les armes nucléaires.
Alors que l’Amérique est confrontée à un monde où les menaces de sécurité vont croissantes, nous devons nous résoudre à prendre des mesures et ne devons pas perdre espoir. De la même manière qu’un président a laissé un chemin de destruction dans son sillage, un (autre) président peut nous sauver. La bonne personne dans le bureau ovale peut restaurer la force et les alliances de l’Amérique, vaincre nos ennemis, et nous garder en sécurité. Ce ne sera pas facile. Il y a des décisions difficiles à prendre rapidement.
En tant que citoyens, nous avons une autre obligation. Nous avons le devoir de protéger nos idéaux et nos libertés par la sauvegarde de notre histoire. Nous devons nous assurer que nos enfants connaissent la vérité sur qui nous sommes, ce que nous avons fait, et pourquoi l’unique devoir de l’Amérique est d’être le défenseur de la liberté.
Ils doivent apprendre pourquoi l’Amérique a eu raison de mettre fin à la guerre en lâchant les bombes atomiques sur Hiroshima et Nagasaki.

Ils ont besoin de connaître toute l’horreur de l’Holocauste, et ce que cela implique  de promettre «plus jamais ça. »

Ils doivent connaître l’histoire des terroristes qui nous ont attaqués le 11 septembre, le courage des premiers intervenants et l’héroïsme des passagers du vol 93. Ils doivent comprendre quel genre de monde l’Islam militant va créer si nous ne le vainquons pas .

M. Cheney, ancien vice-président des États-Unis, et Mme Cheney sont les auteurs de « Exceptionnel: Pourquoi le monde a besoin d’une Amérique puissante, » à partir duquel cet article a été adapté; le livre est publié le 1er septembre par Threshold Editions de Simon & Schuster.

Adapté à partir du Wall street Journal par Rémy Taieb

 Defense Medias Israel 

Encore un échec du BDS ! Décidément …

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57 pays ont participé à une conférence internationale de l’ONU en Israël

 La Conférence internationale dont le sujet était : « l’extinction des espèces d’animaux et de plantes sauvages  » s’est ouverte dimanche à Tel-Aviv, en présence de centaines de délégués de plus de 57 pays, y compris ceux avec lesquels Israël n’a pas de relations diplomatiques.
Malgré l’opposition de nombreux pays  la conférence des Nations Unies, a été ouverte sans incident.

L’initiateur de la conférence est John Scanlon, une des personnes les plus importantes dans la gestion de l’Organisation des Nations Unies à Genève, et Secrétaire général de la CITES relative au commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction.

C’est la première fois qu’une réunion de l’Organisation des Nations Unies à un tel niveau se déroule en Israël, et qui ne traite pas des questions politiques comme les négociations avec les Palestiniens, mais plutôt d’un sujet mondial et comprend des représentants de la science de la recherche, des gouvernements et des organisations bénévoles de dizaines de pays du monde entier. Pendant les quatre jours de la conférence, plus de 200 représentants traitant des questions environnementales d’importance mondiale et régionale, discuteront de la chasse au requin, de la contrebande et du commerce d’animaux protégés comme les éléphants et les rhinocéros, le maintien de populations sauvages de singes, de perroquets rares etc.

« La convention de Washington est un accord international signé en 1963 entre les gouvernements du monde entier et conçue pour assurer la pérennité des plantes sauvages et la survie des animaux menacées par le commerce international», a déclaré Roni Malka, de la société de protection de la nature…« Aujourd’hui, Israël est une puissance mondiale en matière de protection de la nature et dans développement de théories de la lutte contre la contrebande des animaux ».

Luc Marvin, directeur exécutif de l’Institut pour la protection des requins vivant au Royaume-Uni, a ajouté: « C’est une réunion très importante qui parle au niveau mondial de la préservation des valeurs naturelles protégées et c’est pourquoi des représentants du monde entier sont venus en Israël. »

Shaul Goldstein, président de la société de protection de la nature, a déclaré que la conférence a été préparée depuis plus d’un an, il a fallu obtenir l’accord des dizaines de pays membres de la Convention des Nations unies pour qu’ils viennent en Israël, et ce, malgré les luttes politiques et les organisations de boycott telles le BDS. « En fin de compte, l’Organisation des Nations Unies est composée de personnes qui sont venues à cet événement et nous leur faisons visiter le pays, ce qui aide à briser des murs. Elles voient nos efforts dans la conservation de la nature et notre préoccupation pour d’autres sujets qi ne sont pas liés au conflit israélo palestinien et ça leur fait quelque chose. Il ne fait aucun doute que leur capacité à faire face aux questions liées à Israël sera meilleure. « 

Source  http://www.nrg.co.il/online/1/ART2/721/475.html?hp=1&cat=402&loc=9

 

Juifs de France : les paroles creuses de Manuel Valls

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En clôture de l’université d’été des jeunes socialistes, Manuel Valls vient de déclarer : « Tant que les Juifs ne se sentiront pas apaisés en France, la République ne pourra pas l’être non plus. »

 

Antisionisme = antisémitisme, voilà ce que Valls devait rappeler.

Médias unanimement anti-israéliens, au mépris de toute réalité, voilà l’autre réalité que Valls devait rappeler.

Les médias affichent une sympathie romantique pour le terrorisme du Hamas et du Fatah qui flirte largement avec l’antisionisme radical, voilà ce que celui que certains tiennent pour un homme de courage aurait du avoir le cran de dire.

Car Manuel Valls trompe et il le sait.

Ce qui interdit aux juifs d’être apaisés, c’est l’acharnement contre Israël, l’injustice cynique des journalistes, qui excusent les attentats des palestiniens, censurent leurs appels à tuer les juifs, les récompenses offertes aux familles des terroristes, cachent le traitement ignoble réservé aux arabes de Palestine par les pays arabes voisins, mentent sur les faits historiques en osant, par exemple, reprendre la propagande arabe de la « judaïsation de Jérusalem », parlent de colons juifs, de colonies juives, de territoires occupés par Israël, alors que si colons il y a, ce sont les arabes de la région, si territoires occupés il y a, ils le sont par les arabes arrivés des pays voisins pour trouver du travail lors de la grande immigration juive de la fin du 19e siècle, et si colonies il y a, ce sont la Judée et la Samarie, terres juives occupées par des colons arabes.

Ce qui interdit encore aux juifs d’être apaisés, c’est de rebacher les oreilles des honnêtes gens avec la lutte contre l’islamophobie, alors que l’islamophobie n’a jamais tué personne, mais que la France est le théâtre du plus grand nombre de tués juifs en Europe au 21e siècle – et qu’ils ont tous été tués par des musulmans.

Ce qui fait que les juifs ne se sentent pas apaisés, c’est que la violence antisémite est le fait d’une communauté protégée, vivant au dessus des lois, et qui ne bénéficie pas du même traitement que la majorité, victime de cette minorité.

Ce qui fait enfin que les juifs ne se sentent pas apaisés, c’est que les juifs ne se nourrissent pas de paroles creuses, et qu’ils n’ont pas la mémoire courte – elle a 3000 ans.

L’absence de lutte contre la violente haine du juif est agravée par les promesses creuses et répétitives. Plus que la violence des agressions, c’est l’indifférence à traiter le problème, et la caricature du discours, qui noircissent l’image du gouvernement Valls.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

 

Les terroristes islamistes : tous des braves types !

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Je suis fascinée de voir à quel point les familles, parents, voisins et fréquentations diverses des terroristes islamistes les décrivent aux journalistes dans les heures qui suivent les attentats comme des gens polis, serviables, studieux, rigolos, bon-vivants, sympas …

Voyons un peu…

Ayoub el Khazzani

(empêché de commettre un attentat avec une kalachnikov, 9 chargeurs contenant chacun 30 cartouches, un pistolet de type luger et un cutter sur la ligne Amsterdam-Paris du Thalys – 21 août 2015)

Selon son père :

« … C’était mon fils préféré, il était très beau, il aimait le foot et pêcher. … C’était un bon vivant … un bon garçon, très travailleur».

Mohamed El Khazzani n’arrive pas à croire les faits reprochés à son fils, même s’il reconnaît avoir perdu contact avec lui depuis « un an et demi ».

Pour éloigner son fils de la drogue (il avait déjà été arrêté par la police espagnole pour possession et trafic de haschisch) il lui avait fait fréquenter la mosquée radicale Taqwa, dans un village voisin où l’on prêchait le salafisme.

L’Islam rigoureux n’est pas l’antidote à la drogue que souhaitait ce père de famille qui croyait bien faire.

Ça doit être dans cette mosquée que le gamin a appris la pêche à la Kalachnikov.

Selon son avocate, Me David :

Ayoub est un taré SDF (149 € le billet en première classe, ma chère !) et à peu près inoffensif :

« Il avait déjà entendu parler de gens qui braquaient pour avoir de l’argent (…) donc il a pris les armes et il est monté dans ce train pour effectivement rançonner les passagers », a t-elle raconté. « Très maigre » et « très hagard », il a pensé à ce braquage « pour pouvoir se nourrir ». Le Marocain pensait ensuite « tirer dans une vitre du train et sauter par la vitre pour s’échapper. »

Mais Me David a perdu une belle occasion de se taire.

Sa belle théorie de défense est partie en fumée quand les enquêteurs ont découvert que cet aimable taquineur de gougeons avait visionné un fichier sonore djihadiste sur YouTube avec son téléphone mobile pour se motiver avant de se lancer à l’attaque.

S’il avait eu une canne pêche, il aurait trouvé de quoi se nourrir, il paraît qu’on peut pêcher la carpe, la truite ou le saumon dans le Pas-de-Calais. Il aurait pu trouver les bons coins de pêche à l’aide de son téléphone mobile …

Yassin Salhi

(en Isère, il assassine puis décapite son patron, accroche sa tête sur une grille et tente de faire exploser l’usine – 26 juin 2015)

Selon sa femme (qui le menaçait de divorce) :

« On est des musulmans normaux, on fait le ramadan. Normal. On a trois enfants, une vie de famille normale »

Ne voyant « pas l’intérêt ou pourquoi il aurait fait ça », elle insiste: « Au journal, ils disent que c’est un acte terroriste, mais c’est pas possible. Moi, je le connais, c’est mon mari, on a une vie de famille normale ».

Pour faire bonne mesure, ce musulman « normal » a envoyé un selfie avec la tête du patron à un copain djihadiste en Syrie.

Les Frères Chrérif et Saïd Kouachi

(attentat de Charlie Hebdo, 12 morts – 7 janvier 2015)

Selon les voisins et les commerçants :

Chrérif Kouachi était «affable, discret, presque timide». Il aidait les résidents trop chargés à monter leurs courses.

Les frères Kouachi étaient des jeunes gens «polis» pour leurs voisins et en vérité des islamistes radicaux fichés par la police.

Amedy Coulibaly

(tue une policière de sang-froid et prend en otage des clients de l’Hypercasher, 5 morts – 8 et 9 janvier 2015):

Selon un ancien coach sportif :

Il était «agréable, respecté»

Selon ses amis, il menait une double vie que personne ne soupçonnait. La dernière fois qu’ils l’ont vu, il affichait toujours le même sourire jovial.

Mohammed Merah

(a abattu de sang froid sept personnes dont trois enfants à Montauban et Toulouse – mars 2012):

Selon ses voisins :

« …il était un jeune homme normal qui achetait des bonbons aux enfants de son quartier et jouait beaucoup au foot … Gentil, calme, respectueux». « … voisin modèle, de celui qui vous donnerait un coup de main pour monter un canapé ».

Plus tard, les médias ont fait état de ses comportements violents dans sa famille et à l’école.

Les frères Tsarnaïev

(ont posé deux bombes près de la ligne d’arrivée du marathon de Boston, 3 morts, 264 blessés – 15 avril 2013) :

Djokhar

Selon son père :

« … Djokhar est un « vrai ange » et un « garçon intelligent, en deuxième année de médecine aux Etats-Unis »

« Il était si gentil et calme, a commenté Rebecca Mazur, une ancienne camarade, au site Buzzfeed. Il donnait l’impression d’avoir une certaine réserve, mais son comportement était toujours amical (…). Il ne s’isolait pas. « … Djokhar était juste un gosse américain normal », a confié un autre ami à la chaîne CBS.

Pour une de ses camarades de terminale, le jeune homme était même « le clown de la classe. Il ne cessait de plaisanter, de tenter de faire des blagues, d’énerver les professeurs », raconte-t-elle.
L’angelot a été condamné à mort en mai dernier par un jury américain.

Tamerlan

Son ancien entraîneur Mark Massey se rappelle d’un « gars sympa ».

Mohamed Atta

(un des 19 terroristes (en majorité saoudiens) responsables des attentats du 11 Septembre 2001, 2 977 morts) :

Selon son père :

«C’était un enfant merveilleux, souriant, calme et travailleur»

Selon son professeur d’urbanisme à l’Université d’Hambourg:

« … étudiant «très intelligent et très appliqué». « À l’époque, Mohamed était déjà très sérieux, mais il riait aussi … »

Atta tué par le Mossad ?

Selon une thèse, assez largement répandue en Egypte, Atta aurait été «kidnappé», dépouillé de ses papiers, puis sans doute éliminé par les vrais auteurs de l’attentat: le Mossad israélien.

Son père, réservé tant qu’il se raccroche au récit de l’enfance modèle de Mohamed, explose de fureur lorsque des journalistes insinuent que son fils était à bord du premier avion détourné: «Mon fils ne savait pas piloter! Mon fils détestait Ben Laden depuis qu’il a fait sauter l’ambassade d’Egypte à Islamabad! (en 1995) »

Le vrai Atta a été tué par un agent du Mossad? Peut-être un dauphin espion ou un raton laveur ?

Du côté des Canadiens, les proches reconnaissent que les djihadistes avaient une araignée au plafond et des problèmes de drogue

Michael Zehaf-Bibeau

(tire à bout portant sur un soldat qui gardait le Monument commémoratif de guerre, puis pénètre dans le Parlement d’Ottawa, le soldat est mort – 22 octobre 2014)

Selon l’évaluation d’un psychiatre:

Il était «conscient des éventuelles conséquences de la condamnation (pour braquage). Il (voulait) être en prison, car il (estimait) que c'(était) la seule façon de surmonter sa dépendance à la cocaïne ».

Sa tante :

Elle estime qu’il était « … un enfant «comme tous les autres» qui aimait les jeux vidéo et qui a été particulièrement généreux avec ses cousines, à qui il offrait de nombreux cadeaux

Tandis que sa mère, une fonctionnaire, qui ne l’a revu que brièvement après 5 ans d’absence, le décrit différemment :

« …il était perdu et ne rentrait pas dans le moule».

Un ami d’enfance, Ahmed Chouaya, le décrit comme un garçon tranquille, discret, entouré de bons parents.

Chouaya se souvient de plusieurs bons moments : «On jouait au hockey ensemble, on prenait des verres, on sortait dans les clubs. On faisait la belle vie …» . Par la suite, il s’est radicalisé sans que Chouaya sache pourquoi ou comment.

Martin Couture-Rouleau

(attentat contre deux militaires à Saint-Jean-sur-Richelieu, 1 mort, 1 blessé – 20 octobre 2014)

Selon un «ami Facebook» pakistanais rencontré lors d’un forum de discussion en ligne :

« … Il avait le cœur noble et le cerveau déprimé, en raison de toutes ces choses qui lui arrivaient.» .

« … Il était tellement brave! Ça ne le dérangeait pas d’aller dans un pays où tous les jours, des gens se font tuer, des bombes explosent…»

Chiheb Esseghaïer et Raed Jaser

(les deux comploteurs voulaient faire dérailler un train de Via Rail entre New York et Toronto (voir mon article du 20 juillet dernier sur Dreuz).

Chiheb Esseghaïer

«… (est) un Tunisien inscrit à l’Université de Sherbrooke qui a rejoint l’Institut National de Recherche Scientifique de Montréal, où il devait préparer un doctorat en développement de bio-senseur, optique et électro-chimique.»

Selon un de ses ex-professeurs d’université:

« Il était calme et timide. Peut-être même que sa timidité était exagérée. À l’époque, je n’ai vu aucun signe de radicalisation religieuse chez lui. Je le connaissais très bien. J’en suis sûr. »,

Raed Jaser

Selon Le Dr Ghannam, un psychologue certifié:

«… Raed Jaser – un résidant permanent d’origine palestinienne  (est) …un homme «brisé psychologiquement», mais qui avait une famille aimante et un «amour particulier des chats». «Il aurait préféré dépenser le peu d’argent qu’il avait sur la nourriture pour chats, et pour nourrir les chats du voisinage ou même les chats sauvages, plutôt que de dépenser pour de la nourriture pour lui-même ou pour sa femme». « Plutôt que de tuer une fourmi ou une araignée dans son appartement, il la capturait et la libérait dans la nature ». Selon ce qui a été dit en cour, l’homme aujourd’hui âgé de 37 ans avait déjà une consommation lourde de drogues à l’école secondaire.

À qui le pompon ?

Les plus délirants sont sans conteste les pères qui gardent un souvenir attendri de leurs gamins sans doute devenu terroristes par hasard, par accident ou par inadvertance, à l’insu de leur plein-gré.

À mon avis, le père de Mohamed Atta est le plus siphonné de tous.

Justin Trudeau, l’actuel chef du Parti Libéral du Canada, disait l’an passé que les jeunes gens se radicalisent parce qu’ils se sentent exclus !

Exclus de quoi ?

– Atta et Esseghaïer fréquentaient des universités ; les frères Tsarnaev et Michael Zehaf-Bibeau avaient fréquenté des collèges huppés à Boston ou à Montréal.

– Ayoub el Khazzani et Amedy Coulibaly s’adonnaient au traffic de drogue.

– Zehaf-Bibeau et Raed Jaser avaient des problèmes de drogue et une  maladie mentale.

C’est la question de la poule ou l’oeuf : devient-on islamiste radical parce qu’on est accro à la drogue ou devient-on drogué parce qu’on est attiré par les expériences extrêmes comme le terrorisme islamique?

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

200 Généraux et amiraux incitent le Congrès à rejeter l’accord nucléaire

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Moins d’un mois avant le vote  sur l’accord nucléaire avec l’Iran, un groupe de près de 200 généraux et amiraux américains à la retraite, de tous les corps d’armée,  ont envoyé une lettre au Congrès mercredi recommandant vivement aux législateurs de rejeter l’accord nucléaire iranien, qui selon eux menace la sécurité intérieure, a signalé le Washington Post.

La lettre est la dernière arrivée dans la tempête de missives qui s’est abattue sur le Congrès pour soutenir ou s’opposer à l’accord avec le régime iranien, qui lèverait les sanctions si Téhéran reculait sur son programme nucléaire. Des lettres ont été envoyées de groupes ad hoc de rabbins, de scientifiques nucléaires, d’experts en maîtrise des armements et en non-prolifération – et maintenant, d’anciens officiers militaires, dont beaucoup ont travaillé à la Maison Blanche sous divers gouvernements des années 1980.

La lettre, adressée aux chefs républicains et démocrates du Sénat et de la Chambre, est une réponse à celle qui a été envoyée la semaine dernière par une trentaine d’anciens officiers militaires qui soutiennent l’accord nucléaire.

« L’accord va autoriser l’Iran à devenir bien plus dangereux, à aggraver l’instabilité du Moyen-Orient et à initier de nouvelles menaces contre les intérêts américains et contre nos alliés », déclare la lettre.

« L’accord n’empêche nullement la progression de l’Iran vers la bombe, bien au contraire. Il leur suffira de « respecter » l’accord pendant 10 ans, utilisant les 150 milliards de dollars pour menacer la sécurité d’Israel et du Moyen orient .

« Beaucoup des signataires ont servi à la Maison Blanche, sous des gouvernements démocrates aussi bien que républicains. Le seul point qu’ils semblent avoir en commun, c’est qu’ils estiment que l’accord nucléaire iranien est une menace aux intérêts des États-Unis dans la région et à sa propre sécurité nationale », a ajouté le journal.

Leon A. « Bud » Edney, un ancien amiral qui a été vice-chef des opérations navales, a entrepris d’écrire la lettre après avoir lu celle des autres officiers qui soutient l’accord.

« J’ai regardé la lettre qu’ils ont publiée, et l’ai trouvée médiocre», a affirmé Edney. « C’est simple, je ne suis pas d’accord avec elle. » Il a ensuite bâti son point de vue alternatif en parcourant les emails envoyés à ses amis de la Navy et de la Marine. Ils l’ont ensuite transmis.

Les opinions en compétition, adoptées par les membres de chaque groupe, reflètent la campagne de lobbying intense qui a commencé alors même que le Congrès est en pause estivale. Les législateurs doivent décider le 17 septembre s’ils « rejettent » l’accord. La majorité républicaine est unanimement opposée à l’accord, donc le gouvernement Obama est occupé à s’assurer que suffisamment de démocrates le soutiennent pour soutenir un veto présidentiel.

Le lieutenant général des Air Force à la retraite Thomas McInerney, qui a été commandant en second des U.S. Air Forces en Europe, a affirmé qu’il considérait l’accord comme l’accord nucléaire le plus dangereux dans l’histoire des États-Unis.

« Ce qui me dérange, c’est que le premier groupe islamiste radical dans le monde, ce sont les iraniens », a-t-il affirmé. « Ce sont des pourvoyeurs d’islam radical à travers la région et dans le monde. Et nous allons les laisser obtenir des armes nucléaires. Qu’est-ce qui nous prend ? »

Les opinions exprimées dans la lettre étaient partagées par suffisamment de monde pour que la lettre obtienne un grand nombre de signatures, même quelques heures avant qu’elle ne soit envoyée au Congrès. D’après les copies de la lettre, le nombre de signataires à quasiment doublé entre mardi après-midi et mercredi matin.

Dans la foulée, l’ex ambassadeur Denis Ross et l’ancien chef de la CIA David Petraeus ont écrit un article commun dans le Washington Post dans lequel ils ont exprimé des réserves sur l’accord. Ils ont demandé à Obama de le doter des moyens nécessaires et notamment de fournir à Israël des bombes pouvant pénétrer les bunkers. Leur principale crainte étant sur ce qu’il va se passer dans 15 ans à l’expiration.  « Les iraniens doivent savoir que s’ils tentent de se doter de l’arme nucléaire après 15 ans cela entraînera l’utilisation de la force ».
Ils est essentiel de le dire fermement surtout si on considère qu’Obama est réticent à se servir de la force.

Réveil ! ……..vous avez dit réveil ?

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Il y a une dizaine de jours, le Figaro Weekend titrait en première page «  La France se mobilise pour les chrétiens d’Orient » avec une interview de Monseigneur Louis Raphael 1er, Sakho Patriarche de Babylone des Chaldéens, Primat de l’Eglise Chaldéenne et, dans les pages Débats, une tribune de Monseigneur Barbarin Cardinal-Archevêque de Lyon.

C’était l’occasion d’annoncer que L. Fabius présidera le 8 septembre une Conférence Internationale sur les victimes de violences ethniques et religieuses au Moyen-Orient.

Mais la France se mobilise-t-elle vraiment pour les chrétiens d’Orient ?

Depuis plus de deux ans, déjà, de nombreuses organisations et associations lancent des cris d’alarme sur la situation dramatique de la plus ancienne communauté chrétienne au monde sans que cela n’émeuve notre gouvernement.

Le site ABVRA (www.abvra.com) soulignait dès 2013, puis dans son éditorial du 1er septembre 2014 et dans un dossier intitulé « la persécution des chrétiens dans le monde » (rubrique Historique des documents) le drame qui se joue au Proche et Moyen Orient entre autres.

Il est à craindre que cette nouvelle « messe » n’apportera ni réconfort, ni action concrète car l’Occident, siège géopolitique d’une très large majorité des chrétiens, n’a pas la volonté d’agir.

La communauté chrétienne, petite bourgeoise, préfère son confort immédiat, ses 35 heures et ses RTT et doit en outre comme le reste des français faire face à une immigration sauvage incontrôlée, annoncée de longue date sur le plan économique, mais qui prend maintenant un aspect politico-religieux. Au milieu de la masse des victimes des régimes de terreur, essentiellement moyen-orientaux et africains, qui cherchent un refuge en Occident, se glissent les agents du djihad – au mieux prosélytes au pire terroristes – sans que nous ayons la capacité de filtrage.

L’Amérique du Nord, sous la direction d’Obama, a choisi, sous couvert de bonnes relations humaines, non pas de tendre l’autre joue mais d’aller à Canossa à genoux, apportant en offrande l’Europe aveugle et le Moyen-Orient qu’il qualifie doué de raison. Les illustrations sont nombreuses : l’acceptation par les Etats-Unis et l’ONU des achats d’armes par l’Iran qui ne devient plus un délit, en dépit de l’embargo sur les armes décrété par le Conseil de Sécurité pour encore au moins 5 ans ; les défilés organisés par Téhéran au lendemain de la signature de l’accord sur le nucléaire où les mots d’ordre étaient « Mort à l’Amérique, Mort à Israël » et l’annonce il y a quelques jours de grandes manœuvres iraniennes avec tir de missiles balistiques (dont on sait qu’ils peuvent atteindre tous les pays d’Europe occidentale).

La Russie, tenue par ses alliances et son désir de revanche sur l’Occident et l’OTAN, n’est pas décidée à intervenir tant que ses intérêts sont préservés.

L’Amérique du Sud, catholique plus fervente que militante, est loin et fragmentée.

La France, fille ainée de l’Eglise, mais fille dévoyée sans plus de ressources morales ni élan visionnaire et révolutionnaire comme elle l’avait en 1789, voit son gouvernement socialiste brader le patrimoine aux sultans et émirs aux comportements politiques pour le moins douteux.

Qui donc pourra agir ?

L’ONU, organisation garante de la sécurité mondiale et de la morale étatique ? Sa participation au Colloque laisse augurer de l’inefficacité sinon de l’échec d’une telle réunion. Il n’échappe à personne que cette structure est devenue l’exemple même de la corruption intellectuelle et de la perversion de la pensée. A titre d’exemples parmi tant d’autres :

  • l’acceptation par l’ONU de l’inspection des sites nucléaires iraniens par des experts iraniens,
  • l’acceptation que les employés et professeurs de l’UNRWA à Gaza soient membres du Hamas, organisation reconnue terroriste par l’ONU elle-même.

Avec de tels amis, plus besoin d’ennemis.

Alors qu’attendre et de qui ?

La France n’est pas descendue dans la rue pour exiger de son gouvernement une action concrète, ni autre chose que l’octroi de quelques permis de séjour à une centaine de réfugiés syriens.

Peut-on à notre époque laisser perpétrer massacres, égorgements, viols à la chaine, esclavage de tous ordres économiques, sexuels… sans rien faire ? 

Comment accepter qu’une fillette de 11 ans soit vendue comme esclave (150€) sur les marchés de Daesh ? Mais où est passée notre dignité, notre responsabilité de l’autre ?

Laissera-t-on encore longtemps se développer un double langage moral et pervers, connu de tous et accepté par tous ?

Peut-on encore une fois sacrifier les juifs dans l’espoir munichois qu’on va trouver la paix ?

Défenseur de l’Ethique, de la morale et de l’humanité, Israël est à l’avant-poste de l’Occident et de la chrétienté, et pourtant vilipendé, critiqué par ceux-là même qui devraient le louer et le soutenir.

Rappelons-nous la parole de Saint Paul dans sa Lettre aux Romains :

« Ce n’est pas toi qui porte la racine, c’est la racine qui te porte »…Et de Saint Jean (Evangile verset 12) «  le salut vient des Juifs ».

Il est plus que temps de passer aux actes, de se lever, de défendre notre civilisation et d’arrêter la décadence et l’abandon qui ne sont que la traduction de visions électoralistes à court terme.

Alors, tous dans la rue pour imposer à nos gouvernements, nos militaires, nos associations de protéger nos frères en humanité.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Pr Patrick Bloch pour Dreuz.info.

Pourquoi ils font le Djihad, par Jean-Paul Ney. Le livre choc de la rentrée.

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25/08/2015 – 08h30 Paris (Breizh-info.com) – Les éditions du Rocher publient en cette rentrée littéraire Pourquoi ils font le Djihad, un livre de Jean-Paul Ney qui devrait intéresser tous ceux qui sont curieux de savoir pourquoi, en Bretagne comme ailleurs, des convertis ou des immigrés sont partis pour aller rejoindre la bannière de l’Islam radical, en Syrie ou ailleurs.

On se souvient de Gilles Le Guen, partit rejoindre AQMI au Mali, ou de ce jeune Redonnais de 28 ans converti à l’islam  écroué récemment après avoir voulu se rendre en Syrie via la Turquie. Ou encore de cette adolescente quimpéroise de 14 ans soupçonnée elle aussi d’avoir voulu quitter Quimper pour rejoindre la Syrie et l’Etat Islamique. Et comment ne pas évoquer également le cas de David Drugeon, un Vannetais, surnommé « the french bomber » par les Américains.

Qui sont ces voyous devenus terroristes ? Pourquoi toute cette violence, cette haine de la France et de la police?  Qui sont ces ados qui adorent Ben Laden et nourrissent une admiration sans faille pour les gangsters, les terroristes, Mohamed Merah et Scarface ? Qui sont ceux qui s’identifient à la cause palestinienne et importent ce conflit en France ? Parmi eux, des jeunes hommes désemparés, à bout de souffle, que seul les religieux extrémistes reçoivent avec bienveillance. Des jeunes désespérés, préférant mourir loin de la France, en Irak ou en Syrie, nouvelles terres de djihad.

Une plongée au cœur de la haine anti-française

Jean-Paul Ney a plongé discrètement pendant plusieurs années au cœur des gangs, des cités, des prisons, des lieux de culte et des services de police pour mieux comprendre : émeutes, braquages, embuscades, voyoucratie, guerre des gangs, trafics. Il dresse ici un rapport sans concessions évoquant le face à face avec une jeunesse perdue dans des messages de violence, de complots et qui s’identifie elle-même comme « étrangère » à la France.Un livre passionnant, qui se lit comme on regarde un excellent reportage à la télévision.

Car l’auteur a effectué un vrai travail, sans craindre de prendre des risques – il a d’ailleurs été longtemps sous protection policière.  Jean-Paul Ney a le sens du contact, ce qui lui a permis de recueillir un nombre incroyable d’informations. Mises bout à bout, celles-ci nous donnent un livre terriblement inquiétant pour l’avenir du pays et même de l’Europe. Celle-ci est  en effet confrontée à une montée croissante de l’islamisme et à une radicalisation de toute une partie de la jeunesse immigrée, dont on nous dit pourtant qu’elle est une chance pour nos pays…

Une montée que l’auteur explique par le refus des politiques d’admettre la faillite du système éducatif, judiciaire, politique et de le réformer, radicalement, en profondeur ; un auteur qui voit poindre, si rien n’est fait, une guerre civile en France dans les prochaines années.

« Si rien n’est fait » écrit-il en conclusion du livre, « si les gouvernements continuent de réparer les pots cassés sans frapper en profondeur pour en extraire le mal, tôt ou tard, une majorité de citoyens vont saturer et rejeter en masse tout ce qui se rapproche de loin ou de près à l’islam : les Arabes de France, les mosquées, les intellectuels musulmans. Car le rejet est palpable, et peu de véritables intellectuels musulmans s’en lavent les mains. L’amalgame n’existe pas, les terroristes sont musulmans. Arabes et en majorité Algériens ou originaires du Maghreb, n’ayons pas peur de le dire. Si Laurent Fabius et d’autres continuent d’affirmer « que le terrorisme n’a rien à voir avec l’Islam » et « que les musulmans ne sont en rien concernés », ils seront jugés complices d’un plan diabolique et obscurantiste » avant d’affirmer : « la France fait face à trois ennemis identifiés : les Frères musulmans, l’Etat islamique et les enfants de la génération Merah. Nous devrons tous les combattre, notre survie est dans la balance.» et de conclure, cyniquement, par un « jusqu’ici tout va bien… » tiré du film culte La Haine de Mathieu Kassovitz.

Une grenade pour réveiller tout le monde !

Jean-Paul Ney, comme le grand reporter qu’il est, a plongé au coeur du conflit, est allé dans les quartiers, a pris des risques, a rencontré « les vrais gens » , les flics sur le terrain  – pas les « chargés de communication » de la police -, les habitants des tours abjectes, les « racailles », les acteurs de ce qui se trame ; il ne s’est pas contenté d’analyse sociologique dans un salon des beaux quartiers parisiens, ou d’une sortie en banlieue en réclamant ça et là « plus de white, plus de blancos » ou en interpellant la foule qui « en a marre de cette racaille » . Il s’en prend d’ailleurs tout au long du livre à cette caste dominante, des politiques, des chargés de communication, des journalistes et des chefs de rédaction, qui cache la réalité de la situation au peuple.

Il livre, sur plus de 200 pages, des témoignages, des descriptions effroyables du quotidien des policiers et des habitants de certaines banlieues françaises. Il n’hésite pas à montrer du doigt tous ces Français « issus de l’immigration », qui sont en première ligne et majoritaires à la fois concernant la radicalisation islamiste, mais également pour toutes les scènes de guérilla urbaine vécues ces dernières années, comme à Villiers Le Bel.

Témoin rare ayant eu l’occasion de visionner la vidéo de la chevauchée sanguinaire de Mohammed Merah qu’il décrit dans le livre, expert prisé par les chaînes de télévision au moment des attentats de Charlie Hebdo, fin connaisseur de la situation en Afrique et au Moyen-Orient, proche de certains membres du renseignement intérieur, des services secrets, mais enfin et surtout éducateur sportif durant de longues années dans les banlieues, Jean-Paul Ney dégoupille avec ce livre une grenade pour réveiller tout le monde !

Il ressort de son livre que la situation est périlleuse ; qu’au sein de la police, comme au sein de la classe politique et médiatique, les hauts placés savent que la situation n’est quasiment plus sous contrôle dans les banlieues. Il faut donc faire régner l’omerta médiatique pour empêcher toute révolte populaire. Ce que dit Jean-Paul Ney, c’est ce que disent d’ailleurs les maudits, les pestiférés, les stigmatisés du politiquement correct depuis des années, des décennies.

L’analyse est brillante,précise, froide. Elle montre une réalité cachée par tous ceux qui devraient pourtant garantir aux citoyens leur sécurité quotidienne.

Une vision très « républicaine » des choses

On sera plus sceptique néanmoins sur l’aspect très « républicain » utopiste de Jean-Paul Ney. Ainsi se compare-t-il lui même à ces jeunes Maghrébins, Africains, Turcs, arrivés en France « lui le petits fils de Catalans ». Comme si rien ne différenciait culturellement un Européen d’un non Européen, comme si l’intégration qu’il prône pouvait être la même pour ces « Français comme vous et moi » selon l’auteur.

Ainsi, tout en se refusant à victimiser « les petites frappes », les « vermines »  – Jean-Paul Ney emploie de nombreux qualificatifs qui vont faire hurler les bien-pensants – M. Ney se sent tout de même obligé de pointer du doigt les Français pour n’avoir pas su intégrer correctement les immigrés dans les années 70, comme si le peuple avaient eu le choix d’accueillir ces populations qui faisaient à l’époque les beaux jours des Bouygues et consorts.

Lorsqu’arrive l’heure des perspectives  – assez sombres avec des risques d’attentats meurtriers élevés – et des solutions pour faire face à la montée de la génération Merah; Jean-Paul Ney en dresse toute une série, dont l’élimination physique des fous d’Allah qui se rendent en Syrie, sans jamais évoquer toutefois les vagues d’immigration sans précédent qui continuent d’arriver en France et en Europe sans que les populations autochtones soient consultées.

L’intégration républicaine telle qu’il en rêve étant déjà un échec monstrueux pour trois générations sacrifiées, on n’ose imaginer ce qu’il adviendra de tous ces damnés de la terre, quand ça ne sont pas des terroristes potentiels, qui se précipitent sur les côtes européennes. Encore moins ce que les autochtone deviendront sur leurs propres terres.

Ce fin connaisseur des pays arabes ne livre pas non plus de perspectives géopolitiques, se refusant à évoquer les choix de la France de faire la guerre à l’islamisme au Mali tout en armant ces fanatiques face à Bachar (dont le cousin préface le livre) , ou ne revenant pas non plus sur la chute de Kadhafi et ses conséquences désastreuses pour l’équilibre international dans la région. Un léger goût d’inachevé sur cette question, tout comme sur la perception des évènements par les « Gaulois », qui sont un peu les oubliés de l’histoire, comme s’ils n’existaient plus du tout (ce qui est en partie vrai) dans les banlieues françaises, hormis sous un uniforme policier.

Quoi qu’il en soit, Pourquoi ils font le Djihad est un livre à lire, à faire lire, et à posséder assurément pour comprendre ce qui arrivera demain mais aussi et surtout, pour agir avant qu’il ne soit trop tard. C’est d’ailleurs ce que Jean-Paul Ney explique à ses lecteurs quand il dit que reposer ce livre et rester les bras croisés ensuite serait suicidaire. Aux Français ensuite de décider de ce qu’ils estiment devoir faire pour changer les choses et bousculer l’ordre établi et l’omerta politico-médiatique.

Jean-Paul Ney est un grand reporter, journaliste d’investigation pourCanal Plus et France Soir. Après plusieurs années sur le terrain, il enseigne aujourd’hui son métier dans des écoles du journalisme mais également à travers sa startup KickstarTv, venant en aide « aux jeunes de tous horizons ».

Pourquoi ils font le Djihad – Jean-Paul Ney – Editions du Rocher – 19€.  Sortie le 17 septembre 2015

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2015, dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine

Defense Medias Israel : 1 an et 2000 Like plus tard

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Au mois d’août l’an passé, alors que l’opération « Barrière protectrice » battait son plein, les médias français se déchaînaient contre Israël. L’aveuglement et la mauvaise foi le disputaient aux mensonges et à la désinformation.
Des déferlements de haine contre les juifs et Israël se produisaient quotidiennement dans les médias et les manifestations violentes anti(sémites+sionistes) se déroulaient à des fréquences jamais atteintes dans les rues de Paris .
La désinformation atteignait des sommets.

Face à cette situation, je vous ai proposé de soutenir et défendre Israël dans les médias via une page Facebook
C’est ainsi qu’est née la page :  Defense medias Israel dont l’objet était de :
« Lutter contre la désinformation sur Israël dans les médias. Lutter contre l’antisémitisme, lutter contre le Boycott d’Israël et le BDS. Promouvoir la Alyah. »
Partis de rien, nous avons vécu ensemble la fin de l’opération et tout ce qui a suivi pendant cette année. Vous avez été de plus en plus nombreux à nous suivre.
Vos contacts, vos commentaires, vos Likes et  vos partages nous ont été très utiles.
Hier, grâce à vous nous avons dépassé les

 2000 Likes sur la page Facebook 

Defense Medias Israel.

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Nous poursuivons aujourd’hui un double but  :
– Continuer à fournir un maximum d’informations, en français, anglais et hébreu à ceux qui se sentent concernés par le monde juif et la réalité israélienne en publiant des articles ou en réagissant à des prises de position des médias israéliens, français et américains.
– Le deuxième but, est de fournir CES INFORMATIONS aux 70 % de français qui selon un sondage effectué par le magazine Le Point il y a un an renvoyaient Israel et le Hamas dos à dos. Essentiellement à cause de la désinformation.

Nous venons d’assister à un cas d’école sur la puissance des réseaux sociaux avec la tentative de boycott du chanteur juif Matisyau organisé par le BDS.
Matysiau est suivi sur Facebook par plus d’un million deux cent mille Likers. Sa réaction outrée a été partagée par plus de 6300 personnes. Les organisateurs ont été contraints de s’excuser auprès du chanteur et le réinviter.
La claque magistrale que le BDS a reçu en retour quand après s’être excusés les organisateurs ont invité Matisyau qui a chanté sur scène devant des drapeaux palestiniens :

« Si je t’oublie Jérusalem …. »

La puissance du PARTAGE est considérable. Quand vous partagez une information sur votre mur, tous vos amis sont mis au courant, une partie d’entre eux consultera et peut-être partagera à son tour.
Quand 1000 personnes qui ont chacune 100 amis partagent un Post ce sont

100 000 personnes qui sont atteintes.

Vous aussi pouvez contribuer au combat contre la désinformation  sur Israël.
Que vous soyez
– un lecteur discret qui ne laisse pas de trace,
– un Cliqueur habituel
– un fervent Liker
– un commentateur qui réagit à un post
ou le top du top un partageur effréné.
Continuez à réagir et surtout PARTAGEZ !!!!

La page et/ou les Posts

Merci pour votre fidélité

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ISRAEL tient ses promesses

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Les terroristes qui avaient tiré 4 roquettes à partir de la Syrie  sur le nord d’Israel ont été liquidés en moins de 24 heures. L’aviation israélienne a attaqué ce matin en Syrie une voiture dans laquelle circulaient les membres du groupe. Quatre à cinq  des membres ont été éliminés.
L’élimination a eu lieu dans la zone contrôlée par  l’armée syrienne.
Netanyahu a commenté en disant :  « j’avais prévenu que quiconque tenterait de nous nuire  nous le neutraliserons.  C’est ce que nous avons fait »
Le  Ministre de la Défense Moshe Ya’alon a déclaré que «la liquidation de l’équipe était  une preuve supplémentaire qu’Israël ne tolérera aucune tentative de perturber nos vies et de nuire à la sécurité des citoyens israéliens.
Que ceux qui souhaitent le faire soient prévenus parce que l’armée israélienne les poursuivra jusqu’à la fin et mettra la main sur eux , à tout moment et n’importe où .
Nous avons pas l’intention de transiger sur ce sujet et je déconseille à ceux qui envisagent de le faire de tester notre détermination.
Le premier ministre Benjamin Netanyaou a commenté : » J’ai dit cette semaine que toute personne qui essaierait de  nous nuire nous l’atteindrons et c’est ce que nous avons fait.  Tsahal a atteint le groupe qui a tiré les roquettes sur Israël et les forces syriennes qui ont facilité l’opération.
Nous n’avons pas l’intention de provoquer une escalade mais notre politique reste la même.
Que les pays qui se sont précipités dans les bras de l’Iran sachent que c’est un commandant iranien qui a couvert l’opération  et a donné les instructions. »
Article complet sur Ynet

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Remy Taieb pour Defense Medias Israel

Goldnadel : «Ce qui nous menace n’est pas l’excès de patriotisme, mais le vide existentiel»

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Gilles-William Goldnadel revient sur la faillite du 11 janvier, l’essor de l’Etat islamique et le conflit israélo-palestinien.

LE FIGARO. – Que retenez-vous de l’année écoulée ?

Gilles-William Goldnadel – Les montées en puissance de l’État islamique sunnite par ses agressions sanguinaires et de la République islamique chiite par l’obtention d’un accord avec les grandes puissances lui accordant une manne financière et le droit de conserver l’essentiel de ses acquis nucléaires, enfin, les attentats mortels commis contre Charlie hebdo et l’Hyper-casher.

Quels enseignements peut-on tirer ?

Les islamistes représentent la force aujourd’hui la plus agressive et la plus déterminée à dominer une bonne partie de la planète. Ses partisans sont prêts à faire le sacrifice de leur vie pour y parvenir : courage ou folie peu importe, cet état de fait leur confère une supériorité indéniable.

En revanche, les Occidentaux placent leur vie et leur confort individuel au sommet de valeurs hésitantes et relatives. Ajouter à cela une bonne dose de candeur, une dilection quasi-pathologique pour l’altérité et une sollicitude fascinée pour la radicalité, et vous comprendrez que le rapport de force en théorie infiniment en leur faveur est inversé. Le fait que l’Amérique d’Obama se soit en ce sens européanisée représente un facteur supplémentaire d’affaiblissement.

Que vous inspire la polémique autour de Tel-Aviv sur Seine ?

L’esprit Charlie auquel je n’ai jamais cru était bien une foutaise

Elle n’est que l’énième avatar estival d’un phénomène désormais permanent : la délégitimation systématique de l’État juif. Il est essentiel et manifestement jubilatoire pour les contempteurs obsessionnels de cet Etat de se saisir de toute occasion pour le traiter singulièrement et le remettre ainsi symboliquement en question. Aucun autre État, fût-il le plus totalitaire, n’est traité de cette manière. Nous ne sommes pas dans la réalité, nous sommes dans le cadre d’un rite sacrificiel fantasmatique. Pour ne prendre qu’un seul exemple, la Chine communiste a été mise récemment à l’honneur en France, peu importe qu’elle foule aux pieds les libertés ou qu’elle opprime le peuple tibétain, les cérémonies n’ont fait l’objet d’aucune contestation. L’État juif est le juif des nations, et plus encore celui des groupes d’extrême gauche ou islamistes. Un jeune Français d’origine algérienne déclarait récemment sur Twitter que «l’image de l’État d’Israël c’est l’apartheid, les colonies, et le massacre des Palestiniens». Personne ne dit que l’image de l’Algérie c’est : «la corruption, la faillite totale du système économique et démocratique et la négation des droits du peuple kabyle» et pourtant, je soutiens que cette image colle bien davantage à la réalité, raison pourquoi elle est taboue et que nul ne s’aviserait à mettre en question un éventuel «Alger sur Seine».

J’observe enfin que le souvenir des émeutes et attentats islamistes antijuifs récents et la crainte justifiée d’autres à venir sont sans effet modérateur. L’esprit Charlie auquel je n’ai jamais cru était bien une foutaise.

L’antisionisme est-il forcément synonyme d’antisémitisme?

La question de savoir si l’antisionisme est rigoureusement synonyme d’antisémitisme me paraît dénuée d’intérêt pratique.

En toute hypothèse, et par une sorte de perversion intellectuelle, elle sert de prétexte aux antisionistes pour reprocher aux défenseurs du droit d’Israël à l’existence et à la sécurité l’instrumentalisation de l’antisémitisme. La négation de ce droit national me paraît, à ce stade de l’existence tragique du peuple juif, toute aussi immorale que l’antisémitisme classique. Au demeurant, je ne place pas celui-ci au sommet de l’abjection humaine : la stupidité, l’ignorance, la disproportion insensée, le mensonge, la jalousie me paraissent infiniment plus répréhensibles. Il est vrai que ce sont les ingrédients habituels de l’antisémitisme intemporel…

J’observe enfin que, comme dans le schéma classique du «bon juif», on a introduit le concept d’Israéliens acceptables à opposer aux autres à détester.

Ici, c’est le bobo pacifiste et cosmopolite tel-avivien, gay-friendly, de gauche, qui a voté majoritairement contre Netanyahou aux dernières élections.

Manifestement, ce distinguo subtil n’est pas appliqué à l’égard du peuple arabe de Palestine qui s’est prononcé en faveur du Hamas extrémiste lors des dernières élections libres et alors même que le processus de paix fonctionnait encore. Manifestement encore, ce concept du nouveau bon juif, est impuissant à calmer les ardeurs des anti-Israéliens les plus fanatiques… Comme dans le schéma classique.

350 000 colons israéliens occupent plus de 40 % de la Cisjordanie. Et la perspective de deux Etats s’éloigne. Si en France, certains pro- Palestiniens instrumentalisent dangereusement le ressentiment d’une partie de la jeunesse des banlieues, les pro-Israéliens ne font-ils pas également preuve de cynisme en ignorant le problème de la colonisation ?

Je ne nie absolument pas que la présence d’implantations juives au milieu de populations arabes homogènes et majoritaires fasse grand problème. Je reconnais au demeurant la légitimité du nationalisme arabe palestinien, contrairement à certains pro-Israéliens extrémistes et bornés. Je le nie d’autant moins que je défends en France le droit existentiel de la population française originelle de contrôler les flux migratoires. Il est cependant éclairant que ce soit des groupes politiques d’extrême gauche, les moins enclins à reconnaître ce droit, qui contestent toute présence juive dans des territoires disputés. Et pourtant, la présence d’un juif en Judée, fût-elle problématique, ne devrait pas les révulser davantage que la présence d’un musulman sans-papier en France…

Sur le fond, et au rebours du prêt-à-penser obligatoire dans la France d’aujourd’hui, je soutiens que le principal problème qui se pose encore et toujours pour le règlement de la question israélo-palestinienne est le refus persistant des Arabes de Palestine de reconnaître la légitimité politique de la présence juive sur une portion seulement d’une terre qu’ils considèrent toujours comme entièrement arabe et musulmane.

Aucun représentant de la Palestine, fût-il le plus «modéré», ne s’est jamais décidé à accepter un compromis historique définitif sur cette base, tel que proposé à plusieurs reprises par la partie adverse. Aucun non plus n’est réellement sorti, dans la meilleure des hypothèses, de son ambivalence envers un terrorisme devenu culturel. Si tel était le cas, je suis convaincu qu’il se trouverait une grande majorité de juifs israéliens pour accepter un partage territorial, fût-il fort douloureux pour certains. Mais dans le cadre d’une paix définitive et certaine, non d’un marchepied pour un nouveau conflit sur une base stratégique plus dangereuse pour un État très fragile.

On ferait bien de comprendre cela en France, plutôt que de jeter de l’huile sur le feu des passions et d’encourager l’irrédentisme arabo-musulman.

Vous êtes à la fois fervent patriote français et un défenseur infatigable de la cause israélienne. Comment conjuguez-vous cette double appartenance ?

Lorsque je défends la France, je défends Israël. Et réciproquement

Je ne vois aucune contradiction dans cette proposition.

C’est bien parce que je suis un défenseur de toutes les identités que je me sens à la fois profondément l’un et l’autre. Aujourd’hui, ce qui menace l’homme européen, ce n’est pas l’excès de patriotisme, mais le vide sidéral, au sein duquel les islamistes font leur nid. J’aurais passé une grande partie de ma vie d’homme a tenté d’expliquer qu’en raison du traumatisme psychologique post-shoatique, le fantasme européen est passé du tout aryen au rien du tout. J’ajoute que mon combat principal contre l’islamo-gauchisme que je considère aujourd’hui comme le premier totalitarisme revient à défendre une conception de l’État-nation occidental démocratique et de culture judéo-chrétienne que celui-ci abhorre pathologiquement jusqu’à verser dans le racisme anti blanc.

Autrement dit, lorsque je défends la France, je défends Israël. Et réciproquement.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Gilles-William Goldnadel. Publié avec l’aimable autorisation du Figaro Vox

Matisyahu déprogrammé : le festival s’excuse et le re-programme

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Les organisateurs du festival de reggae Rototom Sunplash, en Espagne, se sont publiquement excusés mercredi d’avoir annulé le concert du chanteur américain d’origine juive Matisyahu, et lui ont proposé de se produire samedi 22 août comme prévu. Leur décision de le déprogrammer, annoncée le 17 août, avait provoqué de vives réactions.

« Le Rototom Sunsplash (…) présente ses excuses les plus sincères à Matisyahu », et « reconnaît son erreur, fruit du boycott et d’une campagne de pressions, menaces et contraintes exercées par BDS (Boycott Desinvestment Sanctions, un lobby pro-palestinien) », ont écrit les organisateurs dans un communiqué.Les organisateurs affirment par ailleurs rejeter « l’antisémitisme et tout type de discrimination religieuse » et « respecter la communauté juive ». Ils invitent le chanteur de reggae de 36 ans, ancien membre du mouvement hassidique Loubavitch, « à monter sur scène le samedi 22, comme prévu initialement au programme ».L’ambassade d’Israël à Madrid avait dénoncé une « censure idéologique », alors que le gouvernement espagnol avait condamné cette interdiction, l’artiste concerné se disant de son côté victime de pressions.

Matisyahu, chanteur de reggae juif  de 36 ans, est programmé samedi au festival Rototom SunSplash, qui se tient du 15 au 22 août dans la ville balnéaire de Benicassim, près de Valence.  Après être revenus sur leur décision d’annuler son concert, les organisateurs ont expliqué mercredi avoir été influencés par une association pro-palestinienne.
La section locale de la campagne mondiale non-gouvernementale BDS,  avait lancé le 9 août une offensive sur les réseaux sociaux, demandant au festival qu’il exige du chanteur une condamnation publique de la colonisation.

« Je suis pour la paix et la compassion, pour tous les peuples. Ma musique parle pour elle-même, et je n’y parle pas de politique », avait alors répondu Matisyahu dans la revue américaine Rolling Stone puis sur Facebook.
« Le festival a insisté pour que je précise mes opinions personnelles, ce que j’ai ressenti comme une pression assez claire pour que j’appuie l’agenda politique de BDS ».

Dans un communiqué, l’ambassade d’Israêl à Madrid avait condamné « sans appel l’annulation du concert de  Matisyahu, décidée pour des raisons de censure idéologique à connotation antisémite ».

Le ministère espagnol des Affaires étrangères avait apporté son soutien au chanteur : « Exiger une déclaration publique de lui seul est une façon d’agir qui viole sa conscience et qui, si elle a été déterminée par l’identité juive de Matisyahu, remet en cause le principe de discrimination. »

« L’Espagne réitère son opposition aux campagnes de boycott contre Israël, tout comme elle réaffirme sa position ferme en faveur d’une solution négociée du conflit » israélo-palestinien, a déclaré le ministère dans un communiqué.

BRAVISSIMO Tel Aviv /Seine !!!!!! 10 Raisons d’un TRES GRAND succès !!!!!!!!!!!

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1 – Les juifs et les sympathisants d’Israël ne se sont pas laissés impressionner ils sont venus en masse fêter Israël.
Nous avons re-appris récemment à aller prier dans nos synagogues sous la surveillance de (valeureux) soldats armés de mitraillette, coiffés de casques et vêtus de gilets pare balles.
Nous amenons nos enfants de 3 ans à 18 ans dans des écoles bunkerisées surveillées par l’armée française (que nous remercions au passage). Nous sommes têtus et expérimentés dans ce genre de situation.
Le peuple juif faisait la fête depuis la nuit des temps et dans toutes les conditions de pogroms, de répression et de surveillance et même de menaces terroristes. Il en fallait plus que ça pour nous décourager.
La bonne humeur, l’ambiance festive, les fallafels et le Houmous, la bonne musique israélienne, les danses la fierté des participants d’y être et de s’y retrouver entre amis ont largement contribué au succès de cette journée

2 -« La mairie de Paris s’est réjouie (avec nous) du « succès » de l’événement Tel Aviv sur Seine, survenant après une « polémique démesurée ». « L’esprit est resté serein, loin de l’extrême agitation des derniers jours sur les réseaux sociaux », a-t-elle souligné.

On a gagné malgré des opposants qui avaient sorti l’artillerie lourde (verbale) pour tenter d’annuler cette belle fête qui a rassemblé près de 11.000 participants, selon la mairie de Paris. En enlevant la centaine de manifestants pro palestiniens ça donne une participation remarquable de juifs et de sympathisants .

3 – Après avoir constaté qu’ils n’allaient pas arriver à l’annuler, les opposants ont essayé de la vider de sa substance en proposant une Ramallah plage. Mais il n’y a pas de plage à Ramallah …. et donc pas de Ramallah sur Seine. L’année prochaine on aura peut-être Gaza sur Seine comme l’année dernière.

4 – Pour la première fois un clivage profond s’est installé entre les communos, verdos, extrêmogauchos qui réclamaient l’annulation et la plupart des autres partis politiques. Ils n’ont pas réussi à mobiliser au-delà de leur camp habituel et ils se sont ridiculisés avec des arguments dont certains ont dénoncé le caractère stalinien.

Les élus parisiens du parti Les Républicains se sont félicités dans un communiqué « de la tenue dans le calme » de la manifestation, tout en regrettant « qu’il ait fallu mobiliser plus de 500 policiers pour la protection de cet événement culturel.

5 – Les politiques concernés n’ont pas reculé malgré les menaces et les tentatives d’intimidation. Le Premier ministre Manuel Valls avait affirmé mercredi son « soutien total » à la maire de Paris Anne Hidalgo qui a refusé d’annuler « Tel Aviv sur Seine », comme le demandaient des élus, notamment du Parti de gauche et du Parti communiste.

6 – La contre manifestation organisée par une dizaine d’association pro-palestinienne a été un échec TOTAL. Après avoir réunis 24 000 signataires dans la pétition de Madame Simonnet pour l’annulation ils n’ont réussi à mobiliser qu’une centaine de militants. Leurs tentatives de pénétrer dans l’espace « israélien » ont échoué. Les informations sur leur manifestation sont quasi inexistantes. Les photos de leur vide parlent d’elles mêmes.

7 – Dans la manifestation pro israélienne, le ketchup a servi à donner du goût aux frites. alors que dans la manifestation pro palestinienne, le ketchup a servi a décorer des tee shirt blanc d’acteurs de Palywood qui se sont couchés dans le sable pour faire « comme »  leurs frères palestiniens « ensanglantés » (par qui ?).

8 – Aucun incident sécuritaire n’a été signalé. Gageons que c’est essentiellement dû aux services de sécurité mis en place par la mairie de Paris et les organisateurs de la communauté. Les forces de l’ordre, en tenue ou en civil, étaient présentes en nombre pour éviter toute confrontation. Les accès à « Tel Aviv sur Seine » étaient contrôlés, avec sacs fouillés et visiteurs passés au détecteur de métaux. Au total, 500 policiers et gendarmes ont été mobilisés.

9 – A Tel Aviv, une centaine de vacanciers français en maillots de bain ont dansé jeudi après-midi sur une plage lors d’un « rassemblement festif » qui se voulait la réponse à la controverse soulevée en France par « Tel-Aviv sur Seine », a constaté une journaliste de l’AFP.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Remy Taieb pour Defense Medias Israel

10 – EN CONCLUSION même si certains des organisateurs et certains journalistes ont tenté de « justifier » leur soutien en expliquant que Tel Aviv comme était « distincte et différente d’Israël  » (plus à gauche, plus tolérante, plus ouverte, moins Netanyaoutiste ….) pour justifier leur soutien à cette manifestation on a assisté aujourd’hui à une grande fête d’ISRAEL.

Merci à Madame Hidalgo, aux organisateurs, aux participants, à la sécurité mais surtout un grand merci à Madame Danielle Simonnet du front de gauche qui par ses arguments et son hystérie a réussi à créer le buzz. Sa contribution au succès de Tel Aviv sur Seine et à l’échec de sa contre manifestation a été décisive à tel point qu’elle mérite un article personnalisé que je publierai prochainement.

AM ISRAEL HAI          עם ישראל חי

Netanyahu copie Churchill en essayant d’influencer la politique des États-Unis pour protéger son peuple

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Par Alan Dershowitz M.
http://www.gatestoneinstitute.org/6333/netanyahu-churchill-us-policy
Adaptation Mordeh’aï pour malaassot.com reproduction autorisée avec mention de la source et du lien actif

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a agit correctement dans le lobbying contre l’accord Iran. Et le président Obama agit de façon inappropriée en l’accusant d’ingérence dans la politique étrangère américaine et en suggérant qu’aucun autre dirigeant étranger n’a jamais essayé de le faire:

«Je ne me souviens pas d’un exemple similaire. »

Le président Obama a aussi tort à propos de l’histoire américaine qu’à propos  de la politique. De nombreux dirigeants étrangers ont essayé d’influencer notre politique étrangère lorsque leurs intérêts nationaux étaient impliqués.
Lafayette a essayé de faire impliquer les États-Unis dans la Révolution française, lorsque les premiers colons ont cherché le soutien de la France dans leur propre révolution.
Winston Churchill s’est présenté devant le Congrès et a fait fortement pression pour voir l’Amérique changer sa politique isolationniste pendant la montée de la Seconde Guerre mondiale.
Le président Obama ne peut prétendre ignorer les événements récents, quand il a envoyé David Cameron, le Premier ministre du Royaume-Uni, faire pression sur le Congrès en faveur de l’accord d’Iran.
Récemment, Shinzo Abe, le Premier ministre du Japon, a fait pression sur nous en ce qui concerne le Partenariat Transpacifique.

La nation du Premier ministre Netanyahu a un bien plus grand intérêt dans l’affaire d’Iran que la plupart des pays qui l’ont négociée.
Mais Israël a été exclue des négociations. Tout dirigeant d’Israël a le devoir d’essayer d’exercer toute l’influence qu’il pourrait avoir dans le débat en cours sur l’accord.
Il n’est pas contestable  qu’Israël est la principale cible visée de la quête de l’Iran pour un arsenal nucléaire. Rappelons que Hachemi Rafsandjani, l’ancien président de l’Iran, a décrit Israël comme un Etat à la bombe qui pourrait être détruit instantanément, et que même si Israël ripostait, il ne pourrait pas détruire l’Iran ou l’islam.
Aucune menace similaire n’a été faite contre la Grande-Bretagne, la France, l’Allemagne, la Russie ou la Chine. Bien que les Etats-Unis soient toujours considérés par l’Iran comme le «Grand Satan», les États-Unis ont moins à craindre d’un arsenal nucléaire iranien qu’Israël.
Le président Obama croit-il vraiment que les dirigeants israéliens sont tenus de garder le silence et de simplement accepter les conséquences d’un accord qui met sa population en danger ?

Comme a dit le Premier ministre Netanyahu, à plusieurs reprises,
Israël n’est pas la Tchécoslovaquie
.

En 1938, la Tchécoslovaquie a été aussi exclue des négociations qui ont conduit à son démembrement, mais elle n’avait pas la capacité d’influencer les politiques des nations de négociation. Elle n’avait pas non plus la capacité de se défendre militairement, comme le peut Israël.

Les États-Unis n’accepteraient certainement pas un accord, négocié par d’autres nations, qui mettrait ses citoyens en danger. Aucun leader américain resterait silencieux au regard d’un tel accord. Israël a le droit d’exprimer sa préoccupation au sujet d’un accord qui a traversé non seulement ses propres lignes rouges, mais les lignes rouges initialement proposées par le président Obama.

L’attaque du président Obama sur le Premier ministre Netanyahu, pour faire exactement ce qu’il ferait si la situation était inverse, il a encouragé les détracteurs d’Israël et a accuseé les opposants de l’accord de double loyauté. Rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité. Moi et d’autres adversaires de la transaction sommes aussi fidèles à notre pays que le président Obama et les partisans de l’accord le sont. Je suis un Démocrate libéral qui s’est opposé à l’invasion de l’Irak et qui, par deux fois ai soutenu le président Obama quand il s’est présenté à la présidence. Beaucoup d’opposants ne peuvent pas également être accusés d’être des fauteurs de guerre, parce que nous croyons que la transaction augmente réellement le risque de guerre.

Le président devrait cesser d’attaquer les critiques tant nationaux qu’internationaux de l’accord et de nous engager sur le fond. Voilà pourquoi j’ai lancé un défi à l’administration Obama pour débattre de ses critiques à la télévision nationale.
Ceci est une merveilleuse occasion de débats du type Lincoln-Douglas sur cette importante question de politique étrangère. A l’heure actuelle, la majorité des Américains sont contre l’accord, comme le sont la majorité des deux Chambres du Congrès.
Le président a la tâche de changer l’esprit du public. Ceci est, après tout, la démocratie. Et le président ne devrait pas être habilité à imposer sa volonté à l’opinion publique américaine sur la base d’un tiers plus une voix de l’une des chambres du Congrès, lorsque la majorité des Américains a exprimé son opposition.

Alors arrêtez de injures et laissez les débats commencer.

Pétition : Anne Hidalgo, Maire de Paris, Bravo et Merci pour Tel Aviv /Seine

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cHaque personne qui signe renforce notre mobilisation
Vous aussi signez la pétition en cliquant sur le MOT:  
Pétition :

Après votre signature, merci de prendre une minute pour partager ce lien avec tous vos contacts.

Ensemble provoquons le,changement :

Madame la Maire,

C’est avec une grande joie que nous avons appris l’organisation d’une journée « Tel Aviv sur Seine » à Paris plage le 13 août.

Certains ont choisi de condamner cette opération qui aurait pu être considérée comme un simple événement culturel et un témoignage d’amitié de Paris à Tel Aviv.

Nous sommes heureux de constater que la ville de Paris, par l’action de son Maire, Anne Hidalgo a résisté aux pressions et ne s’est pas laissée influencer par le méli mélo d’opposants qui vont de Alain Soral au front de Gauche en passant par le BDS et dont les motivations sont connues depuis lontemps.

Au regard d’une telle situation, nous Parisiens, citoyens français, sommes fiers que notre ville et notre capitale, soit le théâtre de cette manifestation.

Comme l’a si bien tweeté votre Adjoint à la Mairie de Paris en charge des Relations Internationales et de la francophonie. Patrick Klugmann :
« Nous sommes fiers d’accueillir cette ville d’ouverture de mixité et de tolérance »

Nous vous encourageons vivement à programmer d’autres événements de cette sorte , qui sont non seulement en totale adéquation avec les valeurs de notre République mais qui vont en plus dans le sens de l’apaisement entre les communautés.

BRAVO et MERCI !!!

Condamnations unanimes de l’attentat à la voiture bélier hier ….. Et la marmotte *…

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La presse arabe a quasi unanimement condamné cet odieux attentat dans les termes les plus durs. Les médias arabes ont appelé les partis à faire preuve de retenue.

Le président de l’autorité palestinienne, dans un message aux israéliens s’est excusé en disant qu’il regrettait que de tels terroristes étaient issus de son peuple.

Des manifestations sont organisées dans toutes les grandes villes de Palestine pour condamner ces actes.
Des artistes, des hommes de lettres, des célébrités palestiniennes des médias envoient des message de soutien à Israel.

Mahmoud Abbas s’est empressé de s’enquérir de la santé des victimes. Il  s’est félicité de l’échec « relatif » de cet attentat.
Il s’est précipitamment rendu au chevet des blessés qu’il a chaleureusement réconfortés.

La ligue arabe prévoit de se réunir en urgence pour prendre des mesures en réaction à ce qu’elle a qualifié d’ « horrible attentat ».
La Jordanie a demandé la convocation du conseil de sécurité pour condamner cet attentat.

La commission des droits de l’homme de l’ONU s’est auto saisie du dossier et a demandé au juge Canadien William Schabas d’interrompre ses vacances pour présider cette nouvelle commission d’enquête dont on sait qu’elle aboutira a une enième (0) condamnation (du terroriste ?)

Le Procureur de la cour pénale internationale la Gambienne Fatou Bensouda a déjà interrompu ses vacances et s’est plongée dans le dossier afin de préparer l’acte d ‘accusation.

Le Haut-Représentant de l’Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité Mme Federica Mogherini a présenté un plan de Boycott des produits en provenance de Palestine.

La France par la voix de son ministre des affaires étrangères a déposé une motion à l’ONU pour condamner Israel pour la présence de ses soldats dans des territoires palestiniens.

ET LA MARMOTTE ……

*Explication pour ceux qui se demandent comment il faut prendre cet article: Dans les années 70 il y avait une publicité (que vous pouvez voir en cliquant sur le lien ci-dessous.) et qui expliquait qu’à la fin la marmotte elle met le chocolat dans le papier et elle emballe le chocolat.
C’est la même idée pour cet article. Et la marmotte elle met le chocolat dans le papier alu …

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Remy Taieb pour Defense Medias Israel

Obama veut un monde musulman dominé par l’islam radical

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Guy Millière – Six années et six mois ont passé depuis l’arrivée de Barack Obama à la Maison Blanche. Les documents concernant son passé ont été depuis longtemps exhumés. Je les ai analysés dans les deux livres que j’ai consacré au personnage. Les documents concernant son action et la logique qui sous tend celle-ci sont très largement disponibles.

L’aveuglement volontaire continue néanmoins à régner très largement dans les grands médias américains, jusque chez certains conservateurs bien trop indulgents, et, c’est une évidence, dans les grands médias européens et français.

Dans le contexte des turbulences immenses qui agitent le Proche-Orient aujourd’hui, certaines données doivent être soulignées une fois de plus.

Chacun le sait ou devrait le savoir, Barack Obama n’a jamais associé dans un seul de ses propos publics les mots « terrorisme » et « islam ». A chaque fois qu’il a parlé d‘islam, strictement à chaque fois, cela a été pour parler comme s’il était toujours musulman. Il a récemment évoqué la possibilité de faire de l’Aïd al-Fitr, jour de la fin du ramadan, un jour férié aux Etats-Unis.

Il a fait entrer des membres des Frères Musulmans dans son administration (une dizaine au total), a soutenu et facilité l’arrivée au pouvoir des Frères Musulmans en Egypte, et montré sa vive désapprobation lorsque Abdel Fattah al-Sissi est arrivé au pouvoir. Il a présenté à de nombreuses reprises Recep Tayyip Erdogan comme un dirigeant exemplaire.

Il n’a cessé de chercher, depuis son arrivée au pouvoir, un rapprochement avec l’Iran des mollahs.

Il peut apparaître comme l’un des créateurs de l’Etat Islamique, puisqu’il n’a strictement rien fait pour empêcher la montée en puissance de celui-ci en une période où il était encore possible de le faire, ce bien que les renseignements qui lui étaient transmis par la CIA et la NSA aient été très alarmistes.

Il ne se livre présentement à aucune action armée digne de ce nom contre l’Etat Islamique, mais à des bombardements délibérément insignifiants, qu’on peut qualifier, pour l’essentiel, de gesticulation.

L’accord qu’il vient de passer avec le régime iranien n’est en rien un geste contre l’Etat Islamique, mais une avancée supplémentaire vers les objectifs stratégiques qu’il s’est fixé.

L’Etat Islamique est hostile à l’Iran des mollahs. Mais il est hostile, surtout, au régimes du monde arabe sunnite.

L’Iran des mollahs entend endiguer l’Etat Islamique, mais entend, surtout, déstabiliser les régimes du monde arabe sunnite, qui sont précisément ceux que l’Etat Islamique menace.

Si l’Etat Islamique dirige ses actions destructrices vers la Jordanie, l’Arabie Saoudite, l’Egypte, l’Iran des mollahs n’y verra aucun inconvénient.

Obama veut un Iran disposant d’une hégémonie régionale, sanctuarisé grâce à l’arme atomique

Obama veut un monde musulman dominé par l’islam radical, et l’avancée vers un monde musulman dominé par l’islam radical est en marche.

Obama veut, pour être plus précis encore, un Iran disposant d’une hégémonie régionale, sanctuarisé grâce à l’arme atomique, et un Etat sunnite radical balayant les dirigeants sunnites non radicaux. Il veut que cet Etat ne s’en prenne pas à l’Iran, mais à la Jordanie, l’Arabie Saoudite, l’Egypte, ainsi qu’aux Emirats.

Il compte sur la Turquie d’Erdogan pour superviser l’Etat Islamique, ce que la Turquie d’Erdogan fait depuis des mois.

Certains observateurs myopes ont imaginé qu’après un attentat attribué à l’Etat Islamique dans les régions kurdes de Turquie, Erdogan allait entrer en guerre contre l’Etat Islamique : ces observateurs oublient que l’attentat en question a visé des Kurdes, et qu’Erdogan, tout en disant entrer en guerre contre l’Etat Islamique, s’en est pris, depuis, presque uniquement aux positions kurdes en Syrie et dans le Nord de l’Irak. Ce qu’ils oublient est qu’Erdogan ne veut à aucun prix d’une autonomie kurde qui pourrait faire tache d’huile. Ce qu’ils semblent ne pas voir est qu’Obama ne dit rien (sinon quelques mots sans poids) contre les attaques subies par les Kurdes et entend au contraire mettre en place avec Erdogan une zone tampon sur la frontière entre la Syrie et la Turquie aux fins d’endiguer les Kurdes. L’autorisation par la Turquie de la base d’Incirlik aux fins que les Etats Unis intensifient leurs opérations contre l’Etat Islamique est, pour l’heure, une simple opération de communication et vient dissimuler le feu vert donné par Obama aux opérations contre les Kurdes.

Ce à quoi Obama ne s’attendait pas, et qui ne faisait pas partie de son équation, est le présent rapprochement entre l’Egypte, l’Arabie Saoudite, les émirats (sauf le Qatar), et Israël.

Mais on peut être certain qu’il ne détesterait pas le renversement de Sissi et celui de la monarchie saoudienne, et qu’il ne détesterait pas non plus une agression de grande ampleur contre Israël.

Ce à quoi on peut s’attendre dans les semaines à venir en ce contexte est assez simple à déchiffrer : l’Iran va devenir effectivement la puissance hégémonique régionale, l’Etat Islamique va perdurer et rester supervisé par la Turquie (la Turquie aura aussi l’option d’appuyer d’autres islamistes, ceux de Jabhat al Nosra).

Parce que l’Iran sera puissance hégémonique régionale, Assad sera sauvé et gardera un fragment de la Syrie, le Hezbollah restera maître du Liban. L’Etat Islamique va centrer ses attaques sur l’Egypte (dans le Sinaï), l’Arabie Saoudite, et, sans doute, la Jordanie.

Les territoires occupés par l’Autorité Palestinienne continueront à être infiltrés par l’Etat Islamique, tout comme Gaza. Le Yemen restera dans une guerre qui va s’intensifier : l’Arabie Saoudite ne veut absolument pas d’un Yemen aux mains de l’Iran.

Le Sinaï sera lui-même en une guerre qui va sans doute s’intensifier aussi : l’Etat Islamique y est implanté pour attaquer l’armée égyptienne.

Des attentats contre des lieux chiites vont sans doute avoir lieu dans les émirats en en Arabie Saoudite : ils seront menés par l’Etat Islamique, mais leur finalité sera de fournir des prétextes à des actions iraniennes contre les émirats et l’Arabie Saoudite.

Obama va mener des opérations diplomatiques contre Israël, et il sait qu’il peut compter sur les Européens

Il serait étonnant que la Jordanie ne fasse pas l’objet d’actions de déstabilisation de la part de l’Etat Islamique.

Israël ne devrait pas être attaqué. L’Etat Islamique sait qu’attaquer Israël pourrait être l’arrêt de mort de l‘Etat Islamique. L’Iran sait ce que sait l’Etat Islamique.

La dissuasion dont dispose Israël tient le choc, pour l’heure.

Obama va néanmoins mener des opérations diplomatiques contre Israël, et peut compter sur les Européens pour faire preuve de zèle dans leurs propres opérations diplomatiques contre Israël.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Guy Millière pour Dreuz.info.

Turquie : la réponse au terrorisme doit être « proportionnée et ciblée »

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L’Union européenne s’est dite mardi « très préoccupée » par les violences entre l’armée turque et la guérilla kurde du PKK, et a demandé que la réaction contre le terrorisme « soit proportionnée » et ne mette pas en danger le dialogue politique démocratique dans le pays.

« L’UE reconnaît que la Turquie a le droit de prévenir et de réagir à toute forme de terrorisme, qui doit être condamné sans ambiguité. La réponse doit toutefois être proportionnée, ciblée et elle ne doit en aucun cas mettre en danger le dialogue politique démocratique dans le pays », a averti le commissaire européen à l’Élargissement, Johannes Hahn, lors d’un entretien avec le ministre turc aux Affaires européennes Volkan Bozkir.

« Le commissaire a exprimé la profonde préoccupation de l’UE face aux récents développements qui ont un impact négatif sur le processus de paix entre les Kurdes et la Turquie », ont précisé ses services dans un communiqué.

La trêve conclue en 2013 entre le PKK et la Turquie a volé en éclats il y a deux semaines après un attentat meurtrier perpétré le 20 juillet à Suruç (sud) et attribué à l’État islamique. La guérilla kurde a aussitôt répliqué contre les forces de l’ordre turques, accusées de ne pas protéger la population locale.

Depuis, les frappes turques se sont largement concentrées sur des cibles du PKK, visées par dizaines, alors que seules quelques unes ont été signalées contre des combattants de l’Etat islamique en Syrie.

L’UE « reconnaît l’engagement des autorités turques pour intensifier la lutte contre l’EI » et demande à la Turquie « d’être à la hauteur du rôle important et stratégique qu’elle joue dans toute la région, en s’abstenant de toute action qui déstabiliserait la région », a insisté M. Hahn.

Avec l’Afp

Bébé palestinien tué par des extrémistes juifs : à mon tour, je dis « pas d’amalgame »

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Bébé palestinien tué par des extrémistes juifs : à mon tour, je dis « pas d’amalgame »
Paru dans LE FIGARO (version papier)
Le 5 août 2015

Un drame est un drame. Aucune excuse, aucune espèce d’indulgence ne saurait accueillir le geste ignoble d’avoir incendié cette maison en Palestine qui a occasionné la mort atroce d’un bébé palestinien. Il ne s’agit pas d’une simple précaution : ce bébé palestinien est mien, et je ne fais aucune différence avec la mort insupportable d’un bébé israélien. Je n’ai pas attendu cette tragédie pour savoir qu’il existait au sein de la société israélienne, comme au sein de toute communauté nationale et religieuse, des fous, des exaltés, des crétins et des salauds qu’il convient de traiter avec la plus extrême sévérité. Je n’ai pas la religion des territoires, et je mentirais en disant que la coalition laïco-religieuse au pouvoir en Israël – imposée par un système électoral inepte – correspond à mes vœux les plus ardents.
Ayant pesé chaque mot au trébuchet de ma conscience, qu’il me soit permis à présent d’écrire que je ne saurais accepter qu’à nouveau un tel drame donne lieu à un psychodrame comme seul le conflit israélo-palestinien peut en accoucher, gros à nouveau de nouvelles catastrophes. Nous en avons, hélas, la triste habitude : en 1982, après le massacre de Palestiniens à Sabra et Chatila, succédant lui-même à celui, passé sous silence, de chrétiens à Damour, c’était Sharon le criminel de guerre et non les phalangistes. Après l’assassinat du malheureux Yitzhak Rabin, Benyamin Nétanyahou était déjà désigné comme ayant tenu l’arme du crime. Aujourd’hui, le même est censé avoir jeté le cocktail Molotov dans la maison incendiée. Comment expliquer, par exemple, que des journalistes français puissent vouloir faire porter l’entière responsabilité de la mort du malheureux petit sur un gouvernement israélien qui l’a pourtant dénoncée immédiatement comme « un acte terroriste » ? Ces commentaires ne s’expliquent que par la psyché très particulière d’observateurs qui se voudraient objectifs et rationnels.

C’est ici qu’une mise au point essentielle s’impose. L’immense majorité du peuple Israélien condamne sans appel l’incendie criminel. L’ensemble de la représentation politique israélienne, de l’extrême droite à l’extrême gauche, en passant par les partis religieux orthodoxes, le dénonce vigoureusement. Une manifestation nombreuse et plurielle a été organisée à Tel-Aviv le 1er août pour le réprouver avec indignation.
Le 11 mars 2011, dans le village d’Itamar, deux terroristes palestiniens pénètrent dans la maison de la famille Fogel. Ils assassinent les parents et égorgent trois de leurs enfants dont un bébé de 3 mois. Aucune manifestation n’a eu lieu à Ramallah. Si ce n’est de joie. Sondés, un tiers des Arabes de Palestine ont déclaré approuver le geste des assassins.
Un autre exemple. Le président de l’Autorité palestinienne, le « modéré » Mahmoud Abbas, s’est rendu à Beyrouth. Il y a donné l’accolade à un certain Samir Kountar, proche du Hezbollah et l’a traité comme un « résistant ». Or celui-ci avait été condamné en Israël pour avoir fracassé le crâne d’une fillette à l’aide d’une pierre. On trouve pourtant peu de commentateurs pour condamner cette complaisance chronique de la représentation politique palestinienne et d’une partie de la société palestinienne avec un terrorisme aveugle qui se poursuit dans l’indifférence absolue.

Je n’écris pas ces lignes amères seulement pour fustiger une hémiplégie morale et intellectuelle dont j’aurai passé une bonne partie de ma vie d’homme à expliquer les ressorts obscurs.

Il ne s’agit pas seulement d’une question élémentaire de justice et d’équité. Il s’agit, encore et surtout, de faire en sorte de ne pas alimenter de l’extérieur un conflit centenaire suffisamment passionné.

Il existe au sein de la société israélienne, et pas seulement à gauche, une classe intellectuelle qui s’impose à elle-même, au nom de la morale juive, des exigences éthiques particulières, sans égard aux actes de l’Autre. On ne peut qu’en prendre acte. Mais que des éléments extérieurs à la nation juive puissent décréter des normes et des conduites différentes aux adversaires en conflit et selon des critères mystérieux, relève de l’irresponsabilité intellectuelle.

Les uns vont trouver dans l’absence de condamnation de leur conduite la plus extrême une compréhension de l’injustice qu’ils subissent valant encouragement à poursuivre selon les mêmes méthodes. Les autres, dans la systématisation unilatérale de leur réprobation, la preuve que, décidément et en l’absence de toute justice équitable, seule la force solitaire peut prévaloir pour survivre.

Il est étrange et inquiétant que les mêmes qui répètent obsessionnellement « pas d’amalgame ! » lorsqu’il s’agit des crimes islamistes soient infiniment moins précautionneux en d’autres circonstances.
Si l’on veut sincèrement que cesse un jour cette tragédie israélo-palestinienne, avec ses retombées inflammables et criminelles également en France, encore faudrait-il s’essayer à ne pas l’alimenter par des jugements strabiques.

Deux poids, deux mesures

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Quand un terroriste t’a renversée et t’a enlevée à ton peuple,

Il n’y a pas eu de manifestation sur la Place Rabin.

On a pas non plus bloqué des routes pour toi.

Le président n’a pas fait de déclaration tonitruante sur toi et tu n’a été que le titre d’un jour sur notre site internet.

Ta photo n’a pas été diffusée dans le monde entier et si je me souviens bien, seuls quelques députés sont venus consoler ta famille . Je ne parle même pas des gens de l’autre côté.

Tes parents n’ont pas tenu de discours de sédition et n’ont pas crié vengeance.
Ils ont vu en toi une sainte revenue compléter sa mission sur terre.

D.. t’a donné à nous et D.. t’a repris de nous. Que son nom soit béni.

Tu n’appartenais probablement pas à cette tranche de gens qui sait semer le désordre pour intéresser les médias.

Comprend que c’est la méthode qui marche dans le pays et ne nous en veut pas. Excuse nous
Bonne semaine !

***Hayah זיסל brown, âgée de 3 mois, a été tuée dans un attentat cruel à la voiture bélier perpétré le 22 octobre 2014 par un Palestinien . Le bébé a volé à plus de dix mètres de sa poussette après avoir été frappé par la voiture. elle est morte deux heures plus tard à l’hôpital Hadassah Mont Scopus.
Elle était la première fille de ses parents qui avaient tenté pendant plus de 10 ans de mettre un enfant au monde ***

Nouveau-brunswick magorie cohen @

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