Natalie Portman prête de nouveau ses traits à la nouvelle eau de parfum Miss Dior, dont elle est l’égérie depuis 2010. Pour la version 2017, la belle brune gagne en force et en passion.
Née le 9 juin 1981 à Jérusalem d’un père médecin israélien et d’une mère américaine d’origine autrichienne et russe, Natalie Hershlag passe ses trois premières années en Israël avant que la petite famille ne déménage pour les États-Unis.
Elle est souvent questionnée sur son lien avec Israël.
Dans une tribune datée du 28 mai 2015, publiée sur le site Humans of Judaism, puis relayée sur Coolisrael.fr, l’actrice-réalisatrice a voulu décrire et expliquer ce qui la lie à Israël. Le texte est une véritable déclaration d’amour à son pays natal et d’espoir. Voici quelques extraits traduits en français.
ISRAEL : « Là où je suis née. Là où j’ai goûté à ma première glace à l’eau et où j’ai appris la propreté. Là où certains de mes amis âgés de 18 ans à peine passent leurs nuits dans des abris, la tête protégée par un casque. Là où seuls les agents de sécurité ont toutes leurs chances d’échapper au chômage. Là où les déserts fleurissent et où les aventuriers font rêver. Là où le cactus, piquant mais charmant, se fait le symbole de l’Israélien idéal. Là où l’immigration s’appelle la « montée » et où l’émigration est appelée « descente ». Là où mes grands-parents ne sont pas nés, mais où ils ont été sauvés.
Là où les années passent au rythme des saisons des olives, des amandes et des dattes. Là où le porc et la crevette, pieux pêcheurs en leur assiette, narguent allègrement notre piété depuis la carte yérosolomite. Là où, malgré quelques copieuses exceptions, la laïcité est la règle. Là où le vin est d’une religieuse pureté. Là où les « foyers arabes » font référence à un terme positif en langage immobilier, sans ironie aucune. Là où l’humour noir est intarissable. Là où il existe une infinité de mots pour traduire « déranger », mais pas un seul encore pour « assouvir ». Là où le rire est monnaie courante et les blagues, une religion. Là où les partis politiques se reproduisent plus vite que les hommes. (…) Là où pas moins de six citoyens ont gagné un prix Nobel en cinquante ans. (…) Là où le muezzin chante, l’église sonne et le chofar interpelle vaillamment depuis le Mur. Là où les commerçants marchandent. Là où les politiciens marchandent.
Là où il y aura un jour la paix mais jamais le silence. Là où je suis née ; là où mes tripes m’interdisent de renoncer. »
Bienvenus aux petits nouveaux pour cette rentrée des classes dans notre prestigieuse école AFD
destinée à former la nouvelle génération des désinformateurs et menteurs patentés.
Vous avez choisi de vous spécialiser dans les domaines d’Israël et des juifs et vous avez bien fait car c’est le domaine qui recrute le plus depuis longtemps et pour encore longtemps.
Comme vous le savez la demande de gens compétents dans ce domaine ne se tarit pas dans les médias français et européens. Les anglophones parmi vous pourront exercer leur talent dans la presse internationale.
Pendant vos études, nous allons vous enseigner les méthodes de propagande éhontées et de désinformation qui ont fait notre réputation dans le monde entier (surtout le monde arabe).
Les différentes points que nous aborderons seront : Comment transformer une information négative en positive. Comment taire, minimiser ou transformer une information négative.
Sans perdre plus de temps nous allons commencer par un exercice pratique avec un article paru sur la page du Figaro dont voici le lien :
Pour ceux qui voudront aller vite, il n’est pas indispensable de lire tout l’article. Le sujet étant résumé dans la première phrase.
« L’armée israélienne va mener à partir de mardi un vaste exercice simulant une confrontation avec le mouvement libanais Hezbollah, les plus importantes manoeuvres de ce genre en près de 20 ans, ont annoncé des militaires lundi. »
Première règle :
Même si vous êtes seul à écrire comme ici, (espérons pour eux qu’ils n’étaient pas plusieurs) ne signez pas votre article. contentez vous d’une formule du genre » Par Le Figaro.fr avec AFP « . Vous éviterez ainsi d’être repéré et vilipendé. Qui sait si un jour vous n’aurez pas besoin d’un coup de pouce de la part de ceux que vous salissez au quotidien.
Deuxième règle : Dans le développement de l’article tâchez de donner des informations assez précises, voire connues pour asseoir la crédibilité de votre « article »
Troisième règle : Tapez fort et lâchez vous dans la conclusion. Pour peu que votre titre soit du même acabit ça passera comme une lettre à la poste. A la manière d’un sandwich. Une tranche comprise entre deux morceaux.
« Israël et les Etats-Unis accusent le mouvement chiite libanais d’amasser des armes à la frontière avec Israël afin de préparer une nouvelle guerre. »
Quatrième règle :Dès que vous le pouvez, citez ensemble les Etats-Unis et Israël pour montrer qu’ils sont de la même sorte et qu’ils sont isolés car ne représentant qu’eux.
Peu importe seuls, ceux qui vérifieront sauront qu’en l’occurrence, comme le dit si bien Wikipédia :
Pour terminer ce premier cours en beauté nous allons nous pencher sur la conclusion de ce torchon. Pardon ! Je voulais dire cet article.
Conclusion de l’article qui, vu sa finesse, sera étudiée ligne par ligne. « Israël a mené une guerre contre le Hezbollah pendant un mois à l’été 2006, tuant plus de 1.200 Libanais dont la plupart étaient des civils. Côté Israélien, 160 personnes, dont une grande majorité de soldats, avaient trouvé la mort. »
« Israël a mené une guerre contre le Hezbollah pendant un mois à l’été 2006 » Cinquième règle :
Evitez d’expliquer pourquoi Israël a mené cette guerre puisque vos prédécesseurs ont déjà persuadé vos lecteurs, avec un succès non négligeable, qu’Israël aime faire la guerre et tuer des malheureux (terroristes) qui, eux, n’aspirent qu’à la paix.
« tuant plus de 1.200 Libanais dont la plupart étaient des civils. » Sixième règle :
Ne vous embarquez pas dans des explications ni sur le nombre de civils libanais tués quasiment invérifiable ni sur les raisons de leur nombre élevé. Vos lecteurs (amis) n’ont pas besoin qu’on leur rappelle à chaque fois que les « pacifistes » du Hezbollah et du Hamas préfèrent se fondre dans la population civile avec une prédilection pour les écoles et hôpitaux. Ni qu’ils apprécient particulièrement la protection que leur confère leurs frères en tant que boucliers humains.
« Côté Israélien, 160 personnes, dont une grande majorité de soldats, avaient trouvé la mort. » Septième règle :
Utilisez à fond au service de votre cause, les informations officielles israéliennes (et réelles) comme le nombre de morts. Surtout mettre en évidence la disproportion des morts civils sans expliquer qu’Israël déploie des moyens considérables pour protéger ces citoyens alors que le Hezbollah utilise les citoyens pour se protéger.
Huitième règle :
Comprenez et faites comprendre la nuance. Israël tue des libanais mais les israéliens « trouvent la mort » tout seul.
Voilà mes chers élèves, nous arrivons à la fin de ce premier cours. Sachez que les plus brillants d’entre vous sont promis à un bel avenir au sein de l’AFP et ils pourront participer aux cessions extraordinaires sur :
« Comment prouver l’inexistence de l’antisémitisme en France » « Comment nier l’aspect antisémite d’un crime quand il est évident » et de nombreux autres sujets concernant nos « amis » israéliens.
Et n’oubliez pas comme on dit chez nous :
חצי אמת גרועה משקר Une demi vérité est pire qu’un mensonge. Faites en bon usage.
Le maire de Venise, Luig’i Brognaro: « » Tous ceux qui crient sur la place Saint-Marc Allahu Akbar (place principale à Venise)
doivent s’attendre à être éliminés par les tireurs d’élite en quelques secondes.
Brognaro a ordonné à la police de tirer sur quiconque crie Allahu Akbar lieu public. « Nous devons renforcer notre sécurité face au terrorisme.
Quatre terroristes ont été arrêtés il y a quelques mois à Venise. Ils avaient prévu de faire sauter le pont du Rialto », a déclaré le maire.
Les quatre terroristes arrêtés ont salué l’attaque de Londres. Ils regardaient des vidéos des islamistes radicaux pour apprendre les techniques.
Sa demande a été accueillie par des applaudissements.
Nous sommes surtout beaucoup de paroles vides et rien de consistant puisque nous ne sommes pas fichus de nous défendre et défendre nos valeurs, notre identité, notre foi, nos biens, nos demeures…Nous sommes ridicules.
Pendant que nous nous pavanons dans nos expressions de solidarité, de soutient, de drapeaux sur nos bâtiments les plus fameux, nous amoncelons des fleurs, des cartes, des bougies, nous formons de cercles comme des pleureuses après leurs défunts. Le Daech ou la terreur islamique qu’importe son nom puisque nul ne peut réellement lui accoler un dénominateur qui lui soit propre, accumule succès après succès, créé la panique, sème la mort, la destruction, menace nos existences et plus il avance, plus nous reculons.
Que nous reste-t-il à perdre lorsque nous avons tout perdu ?
Combien de reculons pouvons-nous faire avant de nous trouver le dos collé au mur ?
Nous avons renoncé à notre devoir élémentaire, celui d’être ce que nous voulons être !!!
Il faut le crier tout haut, nous sommes vaincus, et sommes soumis.
Et c’est bien ce que nous méritons puisque nous avons choisi de renoncer en traitant des concessions plutôt que de lutter pour chaque pouce de terrain, comme le font les islamistes ; nous avons choisi la veulerie au lieu de la bravoure, nous avons accepté des menottes que nous embrassons avec fougue chaque jour qui passe au lieu de nous en défaire. Nous avons renoncé à tout, même à la vie. Qu’avons-nous à offrir à nos futures générations… Ah, j’ai oublié que nous en manquons aussi.
Pourquoi alors ne pas sortir dans les rues et hurler : Gloire au vainqueur, gloire à l’Islam, la véritable religion de la paix, de la tolérance et du vivre ensemble.
Cessez de vous trouver des excuses et cessez de chercher des boucs émissaires, vous êtes en manque aussi et la loi du plus fort sera appliquée sur tous et contre tous ceux qui cherchent une solution et n’en trouvent aucune.
Pauvre France, pauvre Québec, pauvre Israël qui doit en dépit de sa lutte perpétuelle et de son courage subir l’impact des erreurs de l’Occident et se mesurer avec leurs effets secondaires.
Je vous avoue que j’ai honte surtout d’avoir cru en vous, d’avoir été certaine de vos capacités et fermeté alors que vous en manquez, de vous avoir applaudi au lieu de riposter à vos décrets, à vos initiatives erronées, à votre suicide puisque je n’ai d’autre choix qu’à vous suivre dans votre déchéance.
Mais il aurait fallu que je me comporte comme ces barbares pour me faire craindre, pour me faire respecter, alors que j’ai été élevée dans la foi en l’autre…Alors que mes valeurs et ma foi m’interdisent de soumettre, de tuer, d’envier, de mentir, de tricher, de refuser mon aide à qui que ce soit.
Vous avez ouvert les portes de l’enfer par votre mansuétude, par votre démocratie en offrant votre ventre mou à la barbarie et il nous engloutira tous sans exception.
Sophie Marceau n’est pas juive, mais dans son interview elle parle d’Israël, de façon plus intelligente et proche, que beaucoup de nos compatriotes.
C’est ce qui a amené à publier, dans juifs célèbres, une non juive.
« Je ne suis pas juive, mais… Israël est un sujet sensible pour moi… Je me sens, comment dire…; sioniste.
Je viens, autant qu’il m’est possible en Israël. Je ne m’occupe pas de politique, mais Israël a droit de vivre, d’exister. Haifa par exemple est géniale, vous pouvez constater la grandeur de cette ville. Les gens vivent ensemble, il n’y a pas de tension et c’est une leçon pour le monde entier.
Tout est beau ici, la mer, le ciel, la terre, je ne peux pas imaginer que c’est un pays en guerre permanente…
Ces gens (les terroristes en Israël), sont fous et mauvais. Ils veulent… vous savez… ils veulent tout simplement … tuer. Il y a quelque chose qui ne tourne pas rond chez eux. »
Quand bien même l’appel non authentifié de revendication serait venu d’Irak ou de Syrie, cet endossement publicitaire rétroactif ne coûte rien et ne prouve rien.
Comme leurs prédécesseurs, les perpétrateurs de ces attaques n’ont certainement reçu ni mission ni moyens, de quelque commanditaire que ce soit. Ils n’appartenaient à aucune organisation, et s’ils s’identifiaient à une communauté de croyance c’est plus par un choix personnel déterminé par leurs lectures et auditions, que par une fatalité déterminée par leur lieu ou leurs conditions de naissance.
Les perpétrateurs, qu’ils soient de nationalité espagnole, marocaine ou française, ont appris les commandements de leur idéologie dans des salles de prêche qui ont pignon sur rue et auxquelles des autorités comme le ministre français de l’intérieur assurent que « ce n’est pas un délit de prôner » ça. Ils l’ont approfondie dans un livre en vente libre partout même dans les pays qui prétendent réprimer l’incitation à la violence. Ils en apprennent des exemples d’application sur des sites internet et des comptes de réseaux sociaux dont l’accès reste autorisé, sans qu’on sache si c’est par laxisme politique ou pour repérer et surveiller ensuite ceux qui s’y expriment.
Ils n’ont généralement « pas d’antécédents » du sacrifice bismillah de masse, car c’est une activité dont les conséquences ne permettent ni la récidive ni généralement la survie, et sont donc tous décrits, après coup par leur entourage, comme des gens jusque-là normaux sinon discrets dont le seul signe de moins en moins distinctif est de faire partie des 80% d’adeptes de leur idéologie qui déclarent ouvertement vouloir la mettre en pratique. Contrairement à ce qu’on dit, ils ne sont pas tous des terroristes, car ils ne cherchent pas nécessairement à engendrer la terreur par des frappes aléatoires comme leurs prédécesseurs d’il y a trente ans en France. Certains sont des agents d’initiative spontanée qui poursuivent un objectif précis (intimidation, publicité de recrutement, retrait des services étatiques) en visant des cibles déterminées en fonction de cet objectif, donc à l’opposé du principe terroriste interdisant de sélectionner la victime afin que chacun craigne d’être la prochaine. D’autres sont des pratiquants de base qui obéissent simplement au précepte d’occire le maximum de non-adeptes de leur idéologie. A une prochaine phase apparaîtront des combattants, d’abord individuels puis regroupés en milices. Le terrorisme n’est donc ni un acteur ni un but en soi, il n’est que l’un des modes d’action, présent dans l’une des phases. Le but c’est la généralisation de l’idéologie, par l’intimidation des faibles et l’élimination des réfractaires. Et l’acteur c’est tous les adeptes de cette idéologie.
En France, la doctrine officielle est la tolérance (et même la promotion) de l’idéologie au motif que certains adeptes peuvent ne pas la mettre en pratique, et que seuls ceux qui entendent l’appliquer à la lettre, que l’on appelle les radicalisés, sont susceptibles d’être dangereux, sans toutefois qu’on puisse en être certain et le leur reprocher avant la confirmation de cette intention de mise en pratique, c’est-à-dire le passage à l’acte. On assure que sur les (dix à quinze) millions d’adeptes il n’y aurait que dix-huit mille radicalisés recensés mais que la surveillance de chacun d’eux occuperait de quinze à vingt personnes à temps complet, soit une armée (d’avant Jacques Chirac). Il serait donc beaucoup moins coûteux pour la société de faire criminaliser par le législateur cette fameuse radicalisation et d’enfermer dans des emprises à surveillance commune ces dix-huit mille individus dangereux, c’est-à-dire de punir la radicalisation par une peine de prison d’une durée correspondant aux capacités physiques d’action de chaque radicalisé. Evidemment le législateur devrait définir les éléments constitutifs du délit de radicalisation, c’est-à-dire des critères objectifs permettant de déterminer si le délit a été commis ou non.
Tout cela n’est que palliatif très insatisfaisant, et ne vaut pas la seule solution efficace à long terme, à savoir l’interdiction et l’éradication de cette idéologie, donc la prohibition de sa pratique et de sa transmission sous quelque forme que ce soit, comme ce fut le cas, dans certains pays, du national-socialisme puis plus tard du communisme.
Le 07 Août 2014 Benjamin Netanyahu prédit des attentats en France si le pays ne soutient pas Israël lors des bombardements de Gaza.
Source itélé interview complète : https://www.youtube.com/watch?v=78mrZ…
Emmanuel Macron, lors de la commémoration des victimes de la rafle du Vel d’Hiv, a déclaré que « nous ne céderons rien à l’antisionisme, car il est la forme réinventée de l’antisémitisme ».
Emmanuel Macron a déclaré ce dimanche que « c’est bien la France qui organisa la rafle du Vel d’Hiv puis la déportation », avant de rendre hommage aux victimes.
Emmanuel Macron, lors de la commémoration de la rafle du Vel d’Hiv ce dimanche, a déclaré que « la justice doit faire toute la clarté sur la mort de Sarah Halimi »
1942.Joseph a onze ans.Et ce matin de juin, il doit aller à l’école, une étoile Jaune cousue sur sa poitrine…Il reçoit les encouragements d’un voisin brocanteur. Les railleries d’une boulangère.Entre bienveillance et mépris, Jo, ses copains juifs comme lui, leurs familles, apprennent la vie dans un Paris occupé, sur la Butte Montmartre, où ils ont trouvé refuge.Du moins le croient-ils, jusqu’à ce matin de 16 juillet 1942, ou leur fragile bonheur bascule…Du Vélodrome d’Hiver, où 13 000 raflés sont entassés, au camp de Beaune-La-Rolande, de Vichy à la terrasse du Berghof, La Rafle suit les destins réels des victimes et des bourreaux.De ceux qui ont orchestré.De ceux qui ont eu confiance.De ceux qui ont fui.De ceux qui se sont opposés.Tous les personnages du film ont existé.Tous les évènements, même les plus extrêmes, ont eu lieu cet été 1942.
En tant qu’homme, en tant que français et en tant que juif, une immense tristesse me submerge. J’ai l’impression d’avoir perdu quelqu’un de très proche de ma famille
Simone Veil possédait les nobles qualités de dignité, de droiture de désintérêt et de fidélité sans jamais renoncer à mener de face et avec ténacité les combats auxquels elle croyait.
Simone veil, une très grande dame comme il y en a peu était la femme préférée des français depuis des dizaines d’années et elle faisait l’unanimité jusqu’à dans la classe politique .
Madame Veil Reposez en paix auprès de tous vos chers parents exterminés par les nazis ou disparus tragiquement.
Puissiez vous servir de source d’inspiration à de nombreux jeunes.
Que votre souvenir soit béni !!!
יהי זכרך ברוך
Tout le confirme : la France va devoir s’habituer à vivre à l’israélienne, c’est-à-dire dans un permanent état de guerre et de légitime riposte.
Cela fait longtemps que cette constatation a été faite sur ce blog. Même si le conflit avec l’islam du sabre est d’une moindre intensité à Paris qu’à Tel-Aviv ou Jérusalem, les racines sont identiques : elles puisent dans les versets guerriers du Coran, qui appellent à tuer les juifs et les mécréants, ces êtres inférieurs et pervers.
L’attaque d’un policier par un islamiste, mardi sur le parvis de Notre-Dame de Paris, est une scène souvent observée là-bas dans les rues. L’agresseur, qui a blessé sa victime avec un marteau, a crié : « C’est pour la Syrie ! ». Blessé à son tour par les forces de l’ordre, il s’est présenté en « soldat du califat ». Agé de 40 ans, cet algérien serait un doctorant en journalisme de l’université de Metz.
Ce mercredi sur Europe 1,Christophe Castaner, porte-parole du gouvernement, a qualifié cet acte de « solitaire » et d’ »isolé », persistant dans sa lecture désincarnée d’un djihadisme réduit à une forme de délinquance. Ce refus d’admettre la responsabilité du terreau idéologique qui produit de tels passages à l’acte, au nom d’Allah, n’aide évidemment pas la France à se protéger efficacement d’un nouveau fanatisme dont « les dieux ont soif », pour reprendre le titre du fameux livre d’Anatole France sur la Terreur de 1793.
L’attentat s’est déroulé sous les regards statufiés des vingt-huit rois d’Israël qui ornent la façade de Notre-Dame : une présence qui rappelle la communauté de destin qui unit la France à la nation juive depuis les premières siècles de l’ère chrétienne. C’est ce lien judéo-chrétien que les islamistes aimeraient d’ailleurs rompre, en faisant basculer la France de Clovis en terre d’islam. La défense des Palestiniens est une cause qui est déjà largement plus entendue, y compris auprès de membres du gouvernement, que celle des Chrétiens d’Orient, massacrés par l’islam conquérant dans l’indifférence des « consciences ».
Les rituelles intifadas des cités françaises, souvent devenues des territoires où la charia pèse davantage que la loi de la République, entrent en résonance avec les intifadas qui ponctuent le conflit israélo-palestinien envenimé par le Hamas et les Frères musulmans.
Bref, il faut être particulièrement cynique pour ne rien voir du choc des cultures qui fait d’Israël une nation de soldats, tandis que la France regarde ailleurs. La politique israélienne est contestable quand elle poursuit son humiliante extension sur des territoires palestiniens. Reste que sa résistance à l’islam politique est celle d’une démocratie face à un totalitarisme. La France ferait bien de s’en inspirer, dans les moindres détails, et de retrouver l’alliance perdue.
FIGAROVOX/TRIBUNE – Frappant le Royaume-Uni pour la troisième fois en trois mois, l’État Islamique utilise un mode opératoire toujours plus simplifié en Europe, après l’avoir expérimenté au Moyen-Orient. Décryptage de cette technique funeste avec Marc Crapez.
L‘attentat du 3 juin, couplant véhicule-bélier plus arme blanche, ressemble à celui du 22 mars dernier. L’attentat à l’explosif du 22 mai était, par contre, exceptionnel. Les bombes du petit chimiste sont supplantées par des attentats sporadiques, qui reposent sur la technique de l’arme blanche, du véhicule-bélier, ou du tir en rafale, et sont parfois perpétrées par des adolescents.
Daesh a d’ailleurs recommandé les moyens de fortune que sont le couteau et le véhicule-bélier. En novembre 2015, un journal titrait: «Attaque à la voiture bélier en Judée Samarie. Attaque aux ciseaux à Jérusalem». En Israël, de septembre 2015 à juillet 2016, on dénombrait 155 attaques au couteau, 96 tirs à l’arme à feu, 45 attaques de véhicules et une seule bombe.
Ces modes opératoires aboutissent à des attentats spectaculaires à l’issue d’un déroulement en trois étapes: le précédent anti-israélien ou anti-juif, la séquence du déni anti-amalgames et la scène inaugurale. Les apprentis-terroristes s’enhardissent par mimétisme, renforcé par la minimisation ou le déni des autorités.
Véhicule-bélier
L’attentat de Nice fut suivi par celui du 19 décembre 2016, camion fonçant sur un marché de noël allemand, celui du 8 janvier 2017, camion tuant 4 soldats israéliens, celui du 22 mars à la voiture-bélier puis à coups de poignard au Royaume-Uni et celui du 7 avril au camion-bélier en Suède.
Les précédents contre Israël ou la communauté juive: la veille de l‘attentat de Nice, le 13 juillet, au nord de Jérusalem, un terroriste palestinien est abattu après avoir tenté de percuter des soldats.
Le déni anti-amalgames: en France, les 21 et 22 décembre 2014, à Dijon et Nantes, une dizaine de piétons sont fauchés.
La scène inaugurale: en Israël, le véhicule-bélier est fréquent en 2008-2009, puis mai 2011, novembre 2014, avril 2015, mai 2015, octobre 2015; en Chine, il est employé en juillet 2011 et mai 2014; au Canada, en octobre 2014, un assaillant utilise sa voiture pour écraser des soldats.
Arme blanche
C’est le plus fréquent. 2017: en mars à Orly et à la machette en Allemagne, en février à Paris à la machette. 2016: en janvier au couperet en France, en septembre dans un centre commercial aux USA, en octobre au couteau et en août à la machette en Belgique, en juillet un prêtre égorgé près de Rouen, en juin meurtre d’un policier et de sa compagne à Magnanville, en juillet attaque à la machette en Allemagne. 2015: en juin décapitation à la machette en Isère, en septembre en Allemagne, en décembre dans le métro de Londres.
Les précédents contre Israël ou la communauté juive: le 3 février 2015, trois militaires en faction devant un centre communautaire juif à Nice sont agressés au couteau.
Le déni anti-amalgames: sont successivement rejetés comme relevant de la psychiatrie les attentats de Joué-les-Tours, en décembre 2014, en Allemagne, en mai 2016, et dans les Hautes-Alpes, en juillet 2016 (hypothèse du «coup de sang»).
La scène inaugurale: en Israël notamment en novembre 2014, janvier et surtout octobre 2015, février, mars, mai 2016; en Chine deux cas en 2011; à La Défense, en mai 2013; à Londres, en mai 2013 au couperet; en Australie, en septembre 2014; aux USA, en octobre 2014.
Tir en rafale
Utilisé le 20 avril dernier à Paris, en janvier et novembre 2015, contre Charlie Hebdo et Le Bataclan, et en juin 2016, contre une boîte de nuit gay aux USA.
Les précédents contre Israël ou la communauté juive: en juin 2016, juste avant les USA, sont abattus 4 Israéliens attablés à un café; en mai 2014, 4 personnes sont assassinées au Musée juif de Belgique.
Le déni anti-amalgames: mars 2012, Toulouse, et novembre 2013, le «tireur de Libé», sont d’abord imputés à l’extrême droite ; aux USA, Nidal Malik Hasan tue 13 militaires en 2009 (la consigne est de ne pas «sauter aux conclusions») et Mohammad Youssuf Abdulazeez, en tue 5 en juillet 2015 (un «tireur dépressif» souffrant de troubles mentaux).
La scène inaugurale: en mars puis juin 2015 des tirs en rafale font des carnages en Tunisie.
Adolescent endoctriné
L’action retentissante est à venir. Le 10 février dernier, à Montpellier, une adolescente de 16 ans est interpellée pour préparation d’acte terroriste.
Les précédents contre Israël ou la communauté juive: en France, le 11 janvier 2016, un Turc de 15 ans agresse à la machette un enseignant juif.
Le déni anti-amalgames: en Allemagne, en février 2016, une adolescente de 15 ans tente de poignarder un policier; une semaine auparavant avaient été poignardés deux Israéliens, le 9 février au couteau par un adolescent de 16 ans et le 3 février aux ciseaux par deux adolescentes de 14 ans; en novembre 2015 déjà, deux adolescentes de 14 et 16 ans avaient attaqué des passants avec des ciseaux à Jérusalem.
La scène inaugurale: en mai 2015, au Nigeria, une adolescente d’une douzaine d’années fait 7 morts; en novembre 2015, au Cameroun, deux jeunes filles se font exploser tuant 5 personnes.
Résumons-nous. Les attentats islamistes ne tombent pas du ciel. La scène inaugurale se joue ailleurs qu’en Occident. La couverture médiatique est minimaliste. Puis la technique migre vers l’Occident, avec d’abord une phase de refoulement anti-amalgames. Alors même que la technique touche déjà de plein fouet Israël. Désormais bien rodée, la technique frappe alors l’Occident spectaculairement.
L’Europe riposte avec des bougies et des ours en peluche
L’Europe n’a toujours pas compris que la terreur qui frappait ses métropoles était une guerre, et non l’erreur de quelques dérangés qui ont mal assimilé la religion musulmane.
Apparemment, nous ne sommes pas prêts à abandonner nos règles de comportement masochistes, qui donnent la préférence à l’ennemi plutôt qu’à notre peuple.
Pour l’Europe, le terrorisme islamique n’a rien de réel, il est perçu comme une interruption de routine momentanée. Nous luttons contre le réchauffement climatique, le paludisme et la faim en Afrique. Mais sommes-nous prêts à défendre notre civilisation ? Avons-nous déjà abandonné ?
La longue et triste liste qui suit est le produit du terrorisme islamique en Europe :
Madrid: 191. Londres: 58. Amsterdam: 1. Paris: 148. Bruxelles: 36. Copenhague: 2. Nice: 86. Stockholm:5. Berlin: 12. Manchester: 22. Manquent ici les centaines d’Européens massacrés à l’étranger, à Bali, à Sousse, à Dacca, à Jérusalem, à Sharm-el-Sheikh, à Istamboul.
Malgré 567 victimes, l’Europe n’a toujours pas compris. Sur la seule première moitié de 2017, une attaque terroriste a eu lieu (ou a été déjouée) en moyenne tous les neuf jours en Europe. En dépit de cette offensive islamiste, l’Europe riposte avec des ours en peluche, des bougies, des fleurs, des veillées, des hashtags Twitter et des dessins.
Bougies, fleurs et veillée le 23 mai 2017 à Manchester, en Angleterre, après qu’un kamikaze islamiste ait assassiné 22 spectateurs au cours d’un concert qui avait lieu la veille. (Photo de Leon Neal / Getty Images)
Après le 11 septembre et ses 2 996 victimes, les États-Unis de George W. Bush avaient relevé le défi. Aux côtés de quelques courageux alliés européens, comme le Royaume-Uni, l’Italie et l’Espagne, les Etats Unis s’étaient rendus maitre de la situation. Les combattants islamistes avaient été mis la défensive ; les recrues djihadistes s’étaient raréfiées et des dizaines de cellules terroristes avaient été inactivées. Mais l’effet n’a pas duré. L’Europe s’est rapidement retranchée sur son sol, et les islamistes l’y ont suivi pour y porter la guerre : Madrid, Londres, Theo van Gogh …
Depuis, la situation a empiré : nous sommes passés d’une attaque tous les deux ans à une attaque tous les neuf jours. Sur les six derniers mois de 2017 : Berlin, Londres, Stockholm, Paris et Manchester.
L’Europe n’a toujours pas compris que la terreur qui frappait ses métropoles était une guerre, et non l’erreur de quelques détraqués ayant mal assimilé la religion musulmane. Aujourd’hui, il y a plus de musulmans britanniques dans les rangs de l’Etat islamique que dans les forces armées britanniques. Selon Alexandre Mendel, auteur de La France dihadiste, l’Hexagone compte plus de salafistes violents qu’il n’y a de soldats de métier dans l’armée suédoise.
Treize ans après l’attaque en gare de Madrid, les dirigeants européens s’en tiennent au même scénario : cacher les images de souffrance pour n’effrayer personne; dissimuler que les islamistes sont « made in Europe » ; répéter que « l’islam est une religion de paix »; brider nos libertés tout en affirmant que « nous ne changerons pas notre mode de vie » ; éradiquer les fondamentaux de notre civilisation – liberté d’expression, liberté de pensée, liberté de mouvement, liberté de religion – soit les fondement de l’Occident judéo-chrétien.
Après le nazisme et le communisme soviétique, l’islam radical est devenu l’ennemi public numéro 1 en Europe. Mais de notre côté, nous n’avons toujours pas commencé de remettre en cause les piliers politiques ou idéologiques de cette débâcle, à savoir le multiculturalisme et l’immigration de masse. Les mesures antiterroristes de choc, les seules capables d’enrayer les menées et le moral des terroristes, n’ont pas été prises. Il aurait fallu fermer les mosquées, expulser les imams radicaux, interdire les financements étrangers des mosquées, interdire les organisations islamiques toxiques, mettre un terme à l’aide sociale des djihadistes européens, s’abstenir de flirter avec les djihadistes et empêcher le retour des personnes parties combattre à l’étranger.
Nous traitons la guerre et le génocide comme de simples erreurs commises par nos services de renseignement.
Nous considérons l’Islam radical comme une « maladie mentale » qui affecterait quelques personnes perturbées. Pendant ce temps, chaque semaine, deux nouvelles mosquées salafistes ouvrent leurs portes en France, et l’islam radical est prêché dans plus de 2 300 mosquées françaises. Des milliers de musulmans européens sont partis faire le djihad en Syrie et en Irak, et les fondamentalistes prennent le contrôle des mosquées et des centres islamiques. A Bruxelles, toutes les mosquées sont contrôlées par des salafistes qui endoctrinent les masses musulmanes.
La triste vérité est que l’Europe n’a jamais eu la volonté politique de mener une guerre totale contre l’Etat islamique et les autres groupes djihadistes. Sinon, Raqqa et Mossoul auraient été neutralisés depuis longtemps. Au lieu de cela, les islamistes ont repris Molenbeek en Belgique et occupent les banlieues françaises ainsi que de vastes portions de territoire en Grande-Bretagne. Nous devrions être en train de célébrer la libération de Mossoul et le retour des chrétiens dans leurs foyers. Au lieu de cela, nous sommes en deuil de 22 personnes assassinées et 64 autres blessées par un kamikaze islamiste à Manchester et de 29 chrétiens assassinés en Egypte cette semaine.
Des combats sérieux nécessiteraient des bombardements massifs pour éliminer autant d’islamistes que possible. Mais nous ne sommes apparemment pas prêts à abandonner nos règles masochistes qui accordent la préférence à nos ennemis plutôt qu’à notre propre peuple. L’Europe n’a jamais exigé de ses communautés musulmanes qu’elles désavouent le djihadisme et la charia. Ce silence aide les islamistes à faire taire les dissidents musulmans courageux. Pendant ce temps, les budgets militaires se réduisent, comme si l’affaire était bouclée.
Après chaque attaque, les leaders européens ressortent les mêmes slogans creux : « continuons » ; « nous sommes plus forts » ; « la vie continue ». Le maire musulman de Londres, Sadiq Khan, affirme qu’il faut s’habituer au carnage quotidien ! A l’en croire, le risque terroriste est « partie intégrante de la vie d’une grande ville », et les grandes villes du monde entier « doivent se préparer à ce genre de choses ». Indique-t-il ainsi que nous devons nous habituer au massacre de nos propres enfants comme au Manchester Aréna ? La terreur islamique fait maintenant partie du paysage de tant de grandes villes européennes : Paris, Copenhague, Nice, Toulouse, Berlin …
Au lieu de se concentrer sur le djihad et l’islam radical, les leaders européens continuent de brandir la « menace russe ». Il ne faut pas négliger l’expansionnisme russe. Mais les troupes de Vladimir Poutine ont-elles attaqué Westminster ? Les agents russes se sont-ils fait exploser emportant avec eux la vie de nos enfants lors d’un concert de Manchester ? Est-ce qu’un repenti des services secrets soviétiques a assassiné des Suédois à Stockholm ? Poutine offre à nos dirigeants européens une formidable diversion.
L’écrivain français Philippe Muray a écrit dans son livre, Chers Jihadistes :
« Chers jihadistes ! Craignez le courroux de l’homme en bermuda. Craignez la colère du consommateur, du voyageur, du touriste, du vacancier descendant de son camping-car ! Vous nous imaginez vautrés dans des plaisirs et des loisirs qui nous ont ramollis. »
L’Europe se conduit comme si le terrorisme islamique n’avait rien de réel, comme s’il n’était qu’une interruption momentanée de nos routines. Nous luttons contre le réchauffement climatique, le paludisme et la faim en Afrique. Mais aurions-nous oublié de défendre notre civilisation ? Ou avons-nous simplement renoncé ?
Giulio Meotti, journaliste culturel à Il Foglio, est un journaliste et auteur italien.
Intervention de Frédérique Ries (connue pour ses positions plutôt pro-israélienne) du 1er Juin 2017 lors du débat au Parlement européen sur la lutte contre l’antisémitisme.
Elle s’interroge sur la lenteur de la justice française à dénoncer et reconnaître ce crime antisémite.
Elle critique au passage les interventions de certains députés « mécontents » de la nouvelle définition de l’antisémitisme qui inclut dorénavant toute idée niant le droit à l’existence de l’état d’Israël.
La terroriste a tenté de poignarder des soldats à l’entrée de Mevo Dotan en Samarie blessant très légèrement l’un d’entre eux.
Les soldats lui ont tiré dessus la blessant grièvement.
Elle a été évacuée dans un état critique.
Quelles similitudes dans la barbarie et l’horreur avec l’attentat de Manchester !!!
Que de temps perdu par les politiciens du monde entier qui ont préféré penser qu’il s’agissait d’un problème israélien et qui n’ont pas pris les mesures pour faire face au terrorisme et l’éradiquer quand c’était possible.
La discothèque Dolphinarium a été victime d’une attaque terroriste par les Palestiniens du groupe Hamas le 1 Juin 2001, dans laquelle un kamikaze (Saeed Hotari) s’est fait exploser à l’extérieur d’une discothèque sur le front de mer de Tel Aviv , Israël , tuant 21 adolescents et en blessant 132
L’attaque
Le Kamikaze Saeed Hotari faisais la queue un vendredi soir devant le Delphinarium, la zone était remplie de jeunes en attente d’admission. Les survivants de l’attaque plus tard ont décrit comment le kamikaze palestiniens semblait narguer ses victimes avant l’explosion, errant entre eux vêtus de vêtements qui conduit certains à le prendre pour un Juif orthodoxe de l’Asie, et frapper sur un tambour emballés avec des explosifs et des roulements à billes, tout en répétant les mots en hébreu : Quelque chose va se passer « . » À 20:30 heures, il s’est fait exploser. C’était la deuxième attaque en cinq mois sur la même cible. Des témoins ont affirmé que les pièces de corps gisait dans toute la zone, et que les corps étaient empilés au-dessus l’un sur l’autre sur le trottoir avant d’être recueilli. De nombreux civils dans le voisinage de l’attentat se sont précipités pour aider les services d’urgence.
Le Jihad islamique et un groupe se faisant appeler le Hezbollah-Palestine à l’origine ont revendiqué la responsabilité de l’attentat-suicide, pour plus tard rétracter les revendications. Les responsables israéliens ont qualifié l’attaque de « massacre », et de nombreux Israéliens ont appelé à une riposte massive . Le gouvernement n’a pas, toutefois, pris des mesures immédiates de rétorsion. et d’autres gouvernements.
Les États-Unis ont appliqué beaucoup de pression diplomatique sur Israël pour s’abstenir de toute action.
Yasser Arafat , alors chef de l’Autorité palestinienne, a condamné l’attentat et a appelé à un cessez-le-feu ; Toutefois, la deuxième Intifada a continué sans relâche pour encore quatre ans. L’attaque a été l’une des raisons invoquées par le gouvernement israélien pour la construction de la barrière israélienne en Cisjordanie .
Hier soir, j’ai hésité hier entre les 2 matchs qu’il y avait à la télé.
Juventus – Monaco et LEPEN – MACRON.
En fin de compte j’ai opté pour le match LEPEN – MACRON.
Le terrain était boueux et l’orage menaçait. LEPEN qui après tirage au sort avait le ballon a tenté dès le début du match une attaque brutale en attaquant violemment espérant probablement enfoncer la défense adverse et déstabiliser l’adversaire.
L’attaque n’ayant pas réussi l’équipe LEPEN a tenté d’autres attaques en attaquant sur les points faibles de son adversaire.
L’équipe Macron a eu beaucoup de mal à se défendre sur l’UOIF, sur l’attitude par rapport aux étrangers fichés S et par rapport à l’immigration.
En revanche l’équipe LEPEN s’est trouvée embourbée dans ses explications plus que fluctuantes sur la sortie de l’Euro, ses explications fantaisistes sur la monnaie commune, sur les résultats du Brexit et ses changements de dernière minute sur les conditions de départ à la retraite qu’elle devait changer dès son arrivée et qui maintenant étaient annoncées (peut-être) pour la fin du mandat.
Durant tout le match l’équipe LEPEN a fait preuve d’agressivité frisant parfois la vulgarité. Son jeux était approximatif, confus et inefficace. Il ne correspondait pas à ce qu’elle avait montré à l’entrainement.
Les arbitres, quant -à eux étaient complètement largués et leurs interventions étaient sans effet. L’équipe MACRON a largement dominé le match grâce à une maîtrise du jeu et des dossiers.
69 ans, pour certains c’est l’âge de la retraite alors que toi, tu n’as jamais été aussi puissante au point de faire des envieux qui sont prêts à tout pour tenter de te détruire.
Ca fait du mal à certains mais c’est ainsi. Ils peuvent continuer avec leurs balivernes, Israël est plus puissante qu’elle ne l’a jamais été alors qu’elle a retrouvé sa terre aride depuis moins de 70 ans.
Aujourd’hui ISRAEL est une puissance ECONOMIQUE.
Il suffit de voir la valeur du Shékels par rapport au dollar et à l’euro.
La transaction de la vente de Mobileye pour plus de 15 milliards de dollars à Intel n’est qu’une des illustrations de cette réussite.
Aujourd’hui ISRAEL est une puissance ENERGETIQUE
Avec les gisements de gaz, Levyatan, Itamar et autre avec des accords de fourniture de plusieurs milliards de dollars même avec la Jordanie.
Aujourd’hui ISRAEL est une puissance TECHNOLOGIQUE
Avec des dizaines de startups en plus l’implantation sur son territoire des centres de recherche des plus grands groupes internationaux, Facebook, Google, Intel etc…
Aujourd’hui Israël est une puissance MILITAIRE
et un des plus gros exportateurs de matériel militaire grâce à ses technologies innovantes et performantes.
Dome de Fer, Baguette magique et Flêche.
Aujourd’hui Israel est une puissance SECURITAIRE
et de nombreux pays viennent (qui officiellement et qui en cachette) s’inspirer des méthodes israéliennes pour faire face aux embryons de terrorisme qui commence à sévir chez eux.
On pourrait rajouter d’autres domaines comme la Cyber sécurité et le nucléaire, le renouveau des relations diplomatiques avec de nombreux pays africains et sud américains. Les relations non officielles avec certains pays sunnites. Le développement des relations avec l’Inde et la Chine et bien d’autres qui ouvrent d’énormes perspectives.
Tout ça peut énerver certains, surtout quand la situation de leur pays dans tous ces domaines n’est pas brillante.
Peu importe. Laissons les jaser et continuons à avancer.
AM ISRAEL HAI
ISRAEL JE T’AIME ET JE SUIS FIER DE PARTAGER TON DESTIN, TA REUSSITE ET TON DEVELOPPEMENT A VENIR.
Les films, les livres et les histoires sont tous poignants mais la visite accompagnée par un guide qui commente les atrocités sur chaque endroit dépasse tout ce qu’un esprit sain peut imaginer.
Le fait d’exterminer les juifs ne suffisait pas aux nazis, il voulaient les faire souffrir et les humilier à mort avant de les achever.
Personne n’est capable de comprendre comment (presque) tout un peuple composé en grande partie de gens « normaux » et intelligents a pu se transformer en bêtes sauvages cruelles sans la moindre étincelle d’humanité.
Chaque juif devrait visiter (pèleriner) une fois dans sa vie un de ces lieux. Chaque être humain devrait s’y rendre.
Si aujourd’hui une telle atrocité ne peut pas se reproduire, ce n’est pas dû à un changement de la nature humaine ni à la disparition de l’antisémitisme. C’est tout simplement qu’aujourd’hui celui qui voudrait tenter l’expérience trouverait rapidement à qui parler.
Ce texte magnifique qu’on peut presque écouter en boucle en vibrant à chaque fois avec la même intensité date de plus de 40 ans.
Certains pensaient que c’était de l’histoire ancienne mais force est de constater aujourd’hui à quel point il est criant de vérité et plus que jamais d’actualité.
1 – Les gouvernants expliquent qu’au nom de la démocratie on ne peut pas empêcher les prêcheurs.
2 – Quand l’un d’entre eux va un peu trop loin on le « fiche » et on le suit un certain temps.
3 – Un jour il sort de l’ombre et à l’aide d’un véhicule ou d’un couteau il tue n’importe qui et n’importe quoi. Homme, femme, enfant, vieillard.
Mais quelle haine faut-il ressentir pour foncer sur quelqu’un et l’écraser alors qu’on ne le connaît même pas ou tuer un policier en plantant un couteau dans son corps.
4 – Les autorités informent que le terroriste était connu des services de police. Ah bon
5 – La police perquisitionne en masse. Pourquoi elles ne l’ont pas fait avant ?
6 – La police procède à des arrestations multiples. Pourquoi elles ne l’ont pas fait avant
7 – Personne ne parle du rapport de force et de la disproportion entre la menace des terroristes et la défense organisée par les états. D’un côté 1 homme + 1 véhicule + 1 couteau De l’autre côté des dizaines de milliers de policiers, soldats et autres forces de l’ordre
qui font de leur mieux mais qui ne pourront en aucun cas éviter les attentats qui malheureusement risquent fort de se multiplier au regard du nombre de candidats, du nombre de ceux qui s’infiltrent dans le flot des migrants et du nombre des revenants prévus suite à la défaite de Daesh.
8 – Les autorités affirment « nous serons impitoyable dans notre réaction. Nous n’avons pas peur etc…
9 – On continue à critiquer Israël qui se défend contre ce genre de menaces depuis toujours et qui avait prévenu qu’un jour les mêmes attentats toucheraient les occidentaux.
En conclusion on citera la réaction du maire de Londres, qui ressemble un peu à celle de Valls et Hollande au temps des attentats en France. « Il va falloir s’habituer à vivre avec ces menaces » !!! Encourageant ! non ?
Interrogé sur ce qui le passionne actuellement, le chanteur de 64 ans a déclaré cultiver un véritable intérêt pour la culture juive et par la même répondre à la question que tant de fans se posaient : pourquoi porte-il une étoile de David autour du cou ?
Il y a bientôt un an les fans de Renaud se voyaient quelque peu déboussolés en apprenant que leur idole soutenait François Fillon. Et si le candidat des Républicains a été mise à mal depuis par le PenelopeGate, occasionnant par la même la colère de l’interprète deMistral Gagnant, les fidèles de l’artiste restent en proie à une question jusque là restée sans réponse : pourquoi après avoir été des années durant un fervent défenseur de la cause palestinienne, le chanteur porte-t-il a présent une étoile de David autour du cou ?
La réponse vient d’être apportée par l’artiste lui-même dans les colonnes de Paris Match. Et s’il fut un temps où Renaud voulait « libérer la Palestine occupée » allant jusqu’à proposer de « gommer Israël pour sauver la Palestine »– une déclaration qui lui vaudra même d’être confronté à Guy Bedos, choqué par ses propos, lors de l’émission de Thierry Ardisson sur France 2 le 26 octobre 2002 – il est peu de dire que son regard a changé sur la question.
En effet, l’artiste de 64 ans vient de faire une véritable déclaration d’amour à Israël et à la culture juive. Interrogé sur ce qui le fait rêver, Renaud a expliqué : « J’ai des passions fulgurantes mais éphémères. La pêche à la ligne par exemple, je m’y suis mis, j’ai adoré ça pendant des années, puis j’ai laissé tomber. Tout comme les voyages. La Californie, ça m’a plus pendant les années 1980 mais je n’y vais plus. Pareil pour l’Irlande que j’ai adorée. Il n’y a qu’Israël qui m’intéresse en ce moment parce que je n’y suis encore jamais allé. Je vais m’y rendre en octobre pour donner un concert à Tel-Aviv. Je prendrai le temps de visiter Jérusalem, ne pas le faire serait une hérésie. Je ne suis pas religieux mais j’ai plein de copains juifs qui m’ont parlé d’Israël, de l’histoire du judaïsme et c’est pour ça que je porte une étoile de David autour du cou. J’ai découvert trop tard la religion et la culture juives, mais elles me fascinent.Je trouve ça gai, plein de bon-sens, moi qui étais pro-palestoche à mort ». Et de conclure en répondant « je pourrais, ouais », à la question « Pourrais-tu partir y vivre ?»
On voit que tous les « amateurs » de suicide sont beaucoup plus intéressés par les 72 vierges qui les « attendent au paradis » que par la progression de la cause palestinienne ou islamiste dont ils ne parlent même pas.
La violence de ce juif israélien pro BDS, Ronnie Barkan empétré dans sa mauvaise foi et ses mensonges face aux arguments de ce journaliste courageux qui parle avec ses tripes tant il est écoeuré.
Ce prêcheur commence par constater que tous les musulmans auxquels il s’adresse ne se considèrent pas comme des extrémistes. Toutes les positions qui sont décrites comme extrêmes sont en fait communes à tous les musulmans.
Combien d’entre vous sont des musulmans normaux ?
non extrémistes ? Levez la main !! Toute la salle lève la main.
Combien d’entre vous sont d’accord avec le fait que les hommes et les femmes doivent être assis séparément ? Levez la main !! Toute la salle lève la main.
Combien d’entre vous sont d’accord avec le fait que les chatiments décrits dans le Coran, qu’il s’agisse de mise à mort ou de lapidation pour une femme adultère si ça vient d’Allah ou de son messager constitue le meilleur châtiment possible et c’est ce que nous devons appliquer dans le monde ?
Qui est d’accord avec ça ? Toute la salle lève la main.
Etes vous des extrémistes ??? ou appartenez vous à une secte spéciale de l’Islam ??? Non ???
Alors que veut-on dire ??? que nous sommes tous extrémistes ??? Qu’il faut tous nous expulser ???
LA DEMONSTRATION EST FAITE :
L’ISLAM EXTREMISTE N’EXISTE PAS. CQFD.
AU PASSAGE LA DEMONSTRATION EST FAITE QUE LA NOTION D’EXTREMISTE ISLAMIQUE EST UNE NOTION TOUTE RELATIVE.
Une question subsiste : Quand on comprend ce qu’est « l’Islam modéré » pour ce prêcheur on se demande quelle est la définition de « l’Islamisme extrême »
Cette courte vidéo, réalisée par le Rav Zamir Cohen, montre toutes les lettres de l’alphabet hébraïque cachées dans le Magen David, l’Etoile de David.
Tout simplement incroyable !
Cela fait plus de 3000 ans que l’hébreu est la langue du peuple Juif, mais ce n’est pas n’importe quelle langue.
Ceux qui ont étudié un minimum d’hébreu savent que chaque mot a un sens, veut dire quelque chose, tout comme ses lettres, tout comme la valeur numériques des lettres,…
SodaStream, qui opère dans 45 pays à travers le monde, va incorporer le drapeau israélien sur l’emballage de ses produits, ainsi que l’inscription:
«Ce produit est fabriqué par les Juifs et les Arabes travaillant côte à côte dans la coexistence et de la paix »
Le PDG de SodaStream International, Daniel Birnbaum a déclaré:
«l’industrie israélienne est un symbole de l’esprit d’entreprise, l’innovation et la technologie. En Israël nous sommes fiers de notre identité et du profil israélien, même si cela signifie que nous devons combattre sur le front intérieur de l’UE et le terrorisme économique du BDS.
Nous, Israéliens, ne sommes peut-être pas parfait, mais nous avons de nombreuses raisons à être fiers et nous avons décidé de le montrer au monde entier ».
Birnbaum: «Je vais mettre mon drapeau sur 50 millions de produits »
Birnbaum a ajouté: «Je suis fier d’être israélien, et je mets mon drapeau sur 50 millions de produits fabriqués en Israël qui constituent une ligne d’innovation extraordinaire intégrant la responsabilité sociale.
Je souhaite que chaque entreprise exportatrice israélienne incorpore le drapeau israélien sur ses produits que ce soit les tomates, les puces d’ordinateur ou l’irrigation de pipe. et je souhaite chacun de nous qui va à l’étranger, se sente en sécurité et soit un fier ambassadeur de l’Etat d’Israël « .
SodaStream a été largement médiatisée en raison des luttes réussies contre les tentatives de boycott permanent des militants de BDS. Parmi les événements marquants mémorable affaire du boycott d’Oxfam contre l’actrice Scarlett Johansson en 2014, quand il a servi de porte-parole de la société internationale. Qui s’est finalement retourné contre Oxfam qui a dû le reconnaître piteusement.
Les Palestiniens redoutent les menaces US, et doivent discuter de la question dans les prochains jours
L’administration américaine a mis en garde les dirigeants palestiniens contre le projet de traduire Israël devant les tribunaux internationaux, indiquant qu’une telle action entraînerait de sévères mesures, notamment la fermeture des bureaux de l’OLP à Washington et la fin de l’aide économique à l’Autorité palestinienne, selon des sources diplomatiques occidentales et arabes.
Les dirigeants palestiniens ont indiqué craindre de telles représailles, qui pourraient inclure la réinscription de l’OLP sur la liste des organisations terroristes des Etats-Unis.
« Malgré cette résolution du Congrès, les dirigeants palestiniens comptent sur la pétition adressée au tribunal pour arrêter les implantations. Mais les messages arrivés de Washington ces derniers jours ont clairement montré que toute démarche de ce genre mènerait à une réaction sévère américaine (…) certains évoquent même le retour de l’OLP sur la liste des organisations terroristes », a déclaré une source palestinienne, citée par Haaretz.
Ammar Awad (Pool/AFP/Archives)
« Le président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas (c) à Bethléem le 25 décembre 2014 »
Selon le quotidien israélien, les dirigeants palestiniens dénoncent en privé l’avertissement de Washington qu’ils qualifient de « sabotage » à l’égard de la stratégie développée par Ramallah ces dernières années, consistant notamment à lutter sur le terrain diplomatique, au détriment de la violence sur le terrain.
« Toute décision prise depuis la reconnaissance de la Palestine par l’Assemblée générale des Nations-Unies en 2011, jusqu’à la dernière résolution du Conseil de sécurité en décembre 2016, visait à sauver la solution des deux États », s’est défendu une source palestinienne.
« La politique de Netanyahou, notamment celle de ces derniers jours, consistant à accélérer la construction de milliers d’unités de logement pendant que Washington reste silencieux, signifie la destruction de toute chance d’une future solution diplomatique », a déclaré la source.
De son côté, le ministère palestinien des Affaires étrangères a vigoureusement condamné l’annonce de la construction de milliers de logements en Cisjordanie, estimant que la solution à deux États est désormais une illusion. De hauts responsables palestiniens, dont le secrétaire général du Fatah, Saeb Erekat, ont appelé la communauté internationale à intervenir sans délai.
Aucune décision définitive pour l’instant
Par ailleurs, des sources palestiniennes à Ramallah admettent qu’aucune décision définitive quant à la poursuite d’Israël devant les tribunaux internationaux n’a été prise, en raison de la menace américaine.
Les dirigeants palestiniens doivent discuter de cette question au cours des prochains jours, a appris Haaretz.
« La menace américaine est significative, mais les Américains et l’administration Trump ont parlé de la mise en œuvre d’une solution à deux États, et en parallèle, ils laissent Netanyahou persister dans sa politique destructrice, et l’ont soutenu, ce qui est impensable », a ajouté la source du journal.
« Nous, Palestiniens, continuerons d’agir sur tous les fronts internationaux pour sauver la solution à deux États et attendons de la communauté internationale qu’elle fasse de même », a déclaré un bureaucrate palestinien qui connaît les détails et les messages transmis par Washington à Ramallah.
Vincent JANNINK (AFP/Archives)
« La Cour pénale internationale (CPI), le 5 septembre 2011, à La Haye (Pays-Bas) »
Depuis plusieurs années, l’Autorité palestinienne cherche à traduire Israël devant la Cour pénale internationale à La Haye pour des crimes de guerre présumés et pour contester la légalité des implantations juives en Cisjordanie.
L’éventualité d’un arrêt de l’aide américaine dans le cas d’une action en justice des Palestiniens contre Israël n’est pas nouvelle, puisqu’elle a fait partie de l’arsenal législatif du droit américain depuis 2015.
Selon le droit américain, toute démarche palestinienne devant la Cour internationale pourrait conduire à la fermeture des bureaux de l’Organisation de libération de la Palestine à Washington. Les appels des Palestiniens devant la Cour en 2014 et 2015 et le transfert continu de leurs informations aux procureurs ont retardé et gelé certains aides des États-Unis, qui ne les ont pas complètement stoppées.
Reportage de France 2 sur les écoles coraniques clandestines qui existent dans notre pays.
Les écoles que vous allez découvrir n’ont rien à voir avec l’école publique. Elles sont hors contrat, parfois illégales, et même clandestines.
On y enseigne à des enfants un islam souvent radical.
Pendant plusieurs semaines, nous avons enquêté sur ces établissements qui échappent au contrôle de l’Etat. A Toulouse, dans le quartier du Mirail, cette école hors contrat a ouvert il y a 3 ans. Elle accueille une cinquantaine d’enfants en classe de primaire.
Alors que nous sommes devant l’école, un parent d’élève nous interpelle. Il a inscrit son enfant ici. Il rejette l’école publique. Pour lui, « dans les écoles publiques, le niveau est désastreux, il y a des professeurs qui ne sont pas compétents, c’est la jungle, on laisse les élèves parler mal devant les professeurs sans qu’aucun professeur ne réagisse, c’est désastreux. »
Est-ce la seule raison qui incite ce parent d’élève à scolariser son enfant ici ? Nous avons sollicité Abdelfattah Rahhaoui, le directeur de l’école. Il a accepté de nous la faire visiter.
Pendant la visite, voilà ce qu’il déclare : « nous ce qu’on recherche, c’est que ces musulmans stigmatisés et mis sur la marge qu’ils puissent être meilleurs et très bons intellectuels ».
Une mixité feinte
Un enseignement classique, le directeur nous le répétera plusieurs fois. Au détour d’un couloir, nous découvrons un autre aspect de cette école. Une assistante, entièrement voilée.
Dans cette classe de CM1, à 9 ans, les fillettes elles aussi sont voilées. La religion prend beaucoup de place et les réponses semblent apprises par cœur.
Nous interrogeons un élève : « Pourquoi vous êtes dans cette école ? parce c’est une école musulmane, et nous on est des musulmans et pour apprendre le Coran, le français, les maths et tout et tout et l’arabe aussi… »
Sur l’emploi du temps affiché en classe, huit heures et demi d’arabe, de Coran et d’éducation islamique par semaine, le matin et l’après-midi. Pour l’inspection académique de Toulouse qui a contrôlé l’école en avril dernier, cette répartition pose problème. Dans son rapport, elle écrit :
« Pas d’enseignement des sciences, de l’histoire et de la géographie », « Enseignement moral et civique réduit à l’éducation islamique », « L’étude quotidienne du Coran oblitère le temps de façon importante et réduit les séances consacrées aux connaissances et compétences minimales à faire acquérir. »
Abdelfattah Rahhaoui conteste ces conclusions. Un autre point aurait attiré l’attention de l’administration : la mixité. Pendant notre visite, nous avons vu des garçons et des filles jouer ensemble. Pourtant, nous avons recueilli le témoignage d’une ancienne enseignante. Pour la protéger nous avons reconstitué cet entretien. A l’entendre, le directeur de l’école ferait tout pour limiter la mixité. Voici ce qu’elle nous raconte : « La récréation tout le monde sort mais toujours un coin pour les filles, un coin pour les garçons. Même quand ils mangent, les garçons dans un coin, les filles dans l’autre. Non pour la mixité, il est dur dur… »
L’inspection académique a décidé d’engager des poursuites. Abdelfattah Rahhaoui est aussi connu des services de police pour sa radicalité. Le 15 décembre, le tribunal a ordonné la fermeture immédiate de l’école après 3 ans d’activité. Abdelfattah Rahaoui a été condamné à de la prison avec sursis pour enseignement non conforme, ouverture illégale d’un établissement scolaire et violences sur mineur. Il a décidé de faire appel. Mais la semaine dernière, l’école accueillait toujours des enfants.
A Toulouse, l’éducation nationale connaissait l’existence de l’établissement. Mais d’autre écoles se rendent indétectables. Elles sont clandestines.
Des écoles indétectables par les autorités
A Saint-Denis, au nord de Paris, au pied de cet immeuble, rien n’indique la présence d’une école. Et pourtant, chaque matin, des parents y déposent leurs enfants. Une trentaine de garçons et de filles de 2 à 10 ans. Les fenêtres sont obstruées. Le portail est cadenassé. Pas de récréation, les enfants restent à l’intérieur toute la journée.
Nous nous faisons passer pour des parents qui cherchent à inscrire leur enfant. Nous abordons une enseignante. Elle nous explique la répartition des cours: « Le matin c’est les ateliers. Et l’après midi c’est tout ce qui est langue, arabe coran anglais. »
Le directeur s’occupe du primaire. Il est débordé. « Franchement je n’ai pas le temps j’ai ma classe. J’ai ma classe, il faut que je m’en charge, je peux pas les laisser tout seuls. »
Quant aux parents, leurs motivations sont religieuses. Un parent nous dit : “tu vois, ta fille elle rentre, elle récite une petite sourate, des invocations, elle parle un peu arabe, c’est d’la bombe. C’est bien le père noël ? non c’est pas bien ».
Cette école n’est déclarée auprès d’aucune administration. Elles est clandestine. Comment des enfants peuvent-ils se retrouver dans ces établissements hors-la-loi ? Le mode d’emploi se trouve sur internet. Sur certains forums, des centaines de mères musulmanes tiennent des propos radicaux contre l’école publique. On peut y lire. « Il est interdit au musulman d’étudier dans ces écoles. Ces écoles sont devenues une corruption pour les jeunes et une nuisance pour l’enseignement. »
Pour retirer leurs enfants de l’école publique, ces mères utilisent un moyen légal : prétendre faire l’école à la maison. Un simple courrier envoyé à la mairie suffit.
Dans le Val d’Oise, ces déscolarisations auraient augmenté de 40 % en un an. A Sarcelles, 90 enfants sont sortis de l’école chaque année. Certains d’entre eux se retrouvent dans ces écoles hors-la-loi. Le maire, François Pupponi, a signalé aux autorités une école clandestine sur sa commune. Sans effet jusqu’à présent. Il s’inquiète des risques pour la société.
A Saint-Denis par exemple. L’école est inconnue des services de l’état. Officiellement, elle est gérée par une association dont l’activité déclarée à la préfecture est assez vague: « l’éducation, la formation et l’enseignement des enfants, des jeunes et des adultes”
Quand on pose la question au directeur, il répond : “On n’est pas une école. Arrêtez s’il vous plaît. On fait du soutien scolaire. Arrêtez, commencez pas à nous embêter. C’est pas bien ce que vous faites monsieur. On a rien fait de mal !”
Pourtant accueillir des enfants toute la journée, ce n’est plus du soutien scolaire.
Nous avons sollicité la préfecture, l’éducation nationale. Personne n’a souhaité nous accorder d’interview. Nous avons pu joindre la mairie. Au téléphone, elle déclare : “On a diligenté beaucoup d’interrogations en interne. Personne, absolument personne, n’avait connaissance de cette école. Tout le monde a tout à fait pris conscience de la gravité de la chose.”
Depuis nos appels, les policiers sont intervenus. Voici ce qu’ils ont constaté dans l’école : « la présence de rats, l’absence de chauffage et de prises de courant aux normes, la dispense d’un enseignement manifestement religieux”.
Fin décembre, les policiers ont fait évacuer les lieux. Selon l’éducation nationale, les descolarisations ont augmenté de 36 % en 3 ans. Impossible de savoir combien le sont pour raison religieuse.
la vidéo est longue mais il faut absolument la regarder ET partager…..
Comme le dit si bien le maire de Sarcelles ça promet pour le vivre ensemble en France dans dix ans.
Gilbert Collard (Avocat et Député RBM/FN du Gard) s’est exprimé sur le décret anti-immigration de Donald Trump le 30 janvier 2017 à 15h50 sur LCI :
« Je m’étonne qu’on s’émeuve de la décision de Trump alors que 17 pays, peut-être même plus, interdisent aux Israéliens de rentrer chez eux.
Personne ne s’en est indigné.
Personne n’a manifesté, et c’est objectivement scandaleux. Le seul reproche que je ferais à Trump sur la mesure qu’il a prise, c’est la rétroactivité (…) Mais qu’il ait pris la liste des pays signalés par Obama comme très dangereux, et qu’il ait décidé d’organiser des mesures d’interdiction, il tire les conséquences logiques du constat fait par Obama. »
(Sur l’absence de pays comme l’Arabie Saoudite) : « Il peut les rajouter, si vous voulez. »
(Sur la question de la discrimination) : « Comme disait Aragon, à quoi bon ouvrir les yeux si c’est pour qu’après je les ferme ? On va mourir. Y’a du terrorisme. Il ne s’agit pas d’être méchant, il s’agit de protéger son pays.
Si on était dans une situation pacifiée, mais moi je suis pour que tout le monde vienne. Mais après tout ce qu’on a vécu, vous voulez que nous par exemple qu’on fasse encore courir des risques ? Vous voulez que l’Amérique, alors que des pays sont signalés comme dangereux, prennent le risque de faire rentrer des gens potentiellement dangereux ?
Peut-être qu’il aurait pu amoindrir son décret en soumettant l’interdiction à des conditions. Je pense que c’est ce que j’aurais fait pour qu’il n’y ait pas une application générale, parce que ça aussi, en tant que juriste, ça ne me plaît pas trop. »
Après tous les mensonges des médias sur l’interdiction d’entrée de musulmans aux USA, voici la vérité.
Les médias, les artistes, les dirigeants d’entreprise qui se réveillent aujourd’hui en « humanistes » n’hésitent pas à mentir pour continuer leurs tentatives de délégitimation de Trump
Ils font croire que la mesure touche tous les musulmans de la terre ce qui est faux.
Ils se positionnent en défenseur de l’immigration aux USA en prenant comme exemple un de leurs proches ou une figure célèbre des USA feignant de ne pas voir la différence avec une personne originaire d’un état terroriste.
Après tous les mensonges des médias voici la vérité.
La politique de TRUMP est strictement identique à celle d’OBAMA en 2011 quand il a interdit les visas pour les réfugiés irakiens.
Les sept pays cités dans le décret de TRUMP sont exactement les mêmes qui avaient été déclarés par l’administration OBAMA comme des états terroristes.
Il y a plus de 40 pays avec des majorités musulmanes qui ne sont pas concernés par ce décret et dont les ressortissants peuvent se rendre aux USA.
Le décret a été édicté pour une période de 90 jours à l’issue desquels les visas seront rétablis pour tous. Le but est d’étudier les procédures de sécurité et de les améliorer.
TRUMP a déclaré
« Les USA sont une nation fière de ses immigrants et nous continuerons à montrer de la compassion pour les opprimés. Nous le ferons en garantissant la sécurité à nos ressortissants et en protégeant nos frontières. »
« L’Amérique a toujours été une terre de libertés et un refuge pour les gens courageux.
« Nous allons la garder libre et sûre ….
….comme les médias le savent mais ne le disent pas. »
18 pays musulmans interdisent l’accès aux juifs depuis plus de 50 ans et le monde se focalise sur l’interdiction préventive de TRUMP qui a décidé de refuser pendant seulement 3 mois l’accès aux USA des ressortissants de 7 pays reconnus comme des foyers ou même des états terroristes.
Curieusement les 7 pays se retrouvent presque tous dans la liste de ceux qui interdisent l’accès aux juifs.
Voilà les 18 pays à voir sur la carte: Syrie, Iran, Irak, Arabie Saoudite, Liban Qatar, Afghanistan, Algérie, Koweit, Lybie, Soudan, Pakistan, Bengladesh, Bruneï, Djibouti, Malaisie, Somalie Yemen
Personne ne pose la question de savoir pourquoi les réfugiés veulent absolument rejoindre des pays chrétiens et pourquoi leurs frères arabes ne veulent pas d’eux.
צביעות עולמית! 18 מדינות מוסלמיות אוסרות על כניסה ליהודים והעולם מדבר רק על איסור כניסה למוסלמים, מדוע התקשורת השמאלנית לא מדווחת שהמדינות שארה »ב לא מאפשרת להם כניסה אלו אותן מדינות שלא מאפשרות כניסה לישראלים ויהודים. בושה!
C’est le plus beau, le plus émouvant et le plus fort des symboles sur la victoire et la relève du peuple juif.
Les anciens nazis ont disparu (même si il y en a d’un nouveau genre).
Tsahal, le bras armé qui empêchera un tel événement de se reproduire avec la puissance majestueuse de ses pilotes de chasse survole en formation ce qui représentait le territoire Nazi, le camp d’extermination d’Auschwitz, faisant au passage un signe à tous les juifs torturés, brûlés, et exécutés.
L’incroyable survol du camp d’Auschwitz par les avions de chasse Israéliens. Comme pour dire :
« Non seulement vous, nos bourreaux, vous avez disparu, mais nous, nous sommes debout.
Nous avons un état puissant dans lequel nous avons rassemblé la majorité de notre peuple.
Nous continuerons à nous développer et à renforcer notre défense pour faire face à vos « successeurs » qui tentent à leur tour de nous exterminer dans un environnement mondial hostile qui n’a décidément rien compris ni rien retenu. »
Comme pour dire à toutes les victimes : Nous ne vous oublierons jamais HAM ISRAEL HAI
Le Secrétaire général de l’OLP a appellé l’administration du président Donald Trump pour clarifier sa politique à l’égard des «colonies» israéliennes.
Le Secrétaire général Saeb Erekat, a déclaré mercredi qu’il était « choqué » par le silence de la Maison Blanche sur la construction par Israël en Judée, en Samarie et Jérusalem-Est, et a appelé l’administration du président Donald Trump pour clarifier sa politique.
Mardi, le Premier ministre Binyamin Netanyahu et le ministre de la Défense , Avigdor Liberman ont annoncé l’approbation de 2.500 unités de logement dans les communautés juives en Judée et en Samarie, pour répondre aux besoins de logement des résidents.
L’annonce fait suite à l’approbation plus tôt cette semaine de 566 nouvelles unités de logement dans les quartiers de Ramat Shlomo, Ramot et Pisgat Ze’ev à Jérusalem.
Alors que l’Organisation des Nations Unies et l’Union européenne ont été prompts à condamner la nouvelle construction, le porte parole de la Maison Blanche Sean Spicer mardi a refusé d’exprimer une position sur la construction israélienne lorsqu’on lui a demandé dans son point de presse quotidien.
«Israël continue d’être un grand allié des Etats-Unis, » a dit Spicer, interrogé sur la réaction de Trump sur le plan israélien de mettre en œuvre ses plans de construction.
«Il veut se rapprocher d’Israël pour s’ assurer qu’il obtienne le respect total au Moyen-Orient »,
at-il poursuivi. « Nous allons avoir une conversation avec le Premier ministre. »
Répondant mercredi au refus de la Maison Blanche de faire des commentaires, Erekat a déclaré à l’ AFP , « Nous avions l’ habitude d’entendre des condamnations, nous avions l’habitude d’entendre la position américaine disant ‘qu’Israël devrait cesser les activités de colonisation, qui constitue un obstacle à la paix. »
«Pas de commentaires, est-ce que cela signifie que le président Trump encourage … les activités de colonisation? Nous avons besoin d’une réponse de l’administration américaine, » at-il ajouté.
Erekat a dit qu’il a été «choqué» du fait que la Maison Blanche n’a fait aucun commentaire sur les annonces de construction alors que l’administration Obama a fait à plusieurs reprises .
Mardi, peu après l’annonce d’Israël, Erekat a appelé la communauté internationale à punir l’Etat juif pour la nouvelle construction.
« La communauté internationale doit tenir Israël responsable immédiatement pour ce qu’il fait, » at-il dit, ajoutant que Israël avait été enhardi par «ce qu’ils considèrent comme un encouragement par le président américain Donald Trump. »
Selon le « New York Times »: les membres du cabinet du président américain formulent un décret qui réduira considérablement la participation des États-Unis à l’ONU.
Cette décision permettra de réduire d’au moins 40% ses dons à l’organisation.
et mettra fin aux transférts de fonds aux organismes des Nations Unies qui ont accepté l’Autorité palestinienne et l’OLP en tant que membre à part entière comme un pays et non pas comme observateur. Il est également possible de couper les subventions aux forces « de maintien de la paix » comme la FINUL au Sud-Liban.
La nouvelle administration du président américain Donald Trump a commencé à travailler sur le décret qui va ouvrir la voie à une réduction significative du rôle des USA dans l’Organisation des Nations Unies et d’ autres organisations internationales.
Cela a été rapporté hier (mercredi) par le « New York Times ». Trump a récemment attaqué sévèrement l’ONU », en particulier après la résolution contre Israël et les colonies au sein du Conseil de sécurité, lui et les dirigeants des républicains ont alors menacé de réduire la contribution des États – Unis à l’Organisation des Nations Unies.
Selon ces critères des fonds américains ne seront pas transférés pour les organisations qui fournissent une pleine adhésion à l’Autorité palestinienne ou l’ OLP (le statut actuel de l’Autorité palestinienne est maintenant «Etat observateur» à l’ONU), des organisations et des programmes qui financent les organisations d’avortement ont des activités qui violent les sanctions sur l’ Iran et la Corée du Nord . En outre, les fonds ne seront pas transférés à une organisation « contrôlée par des sponsors de de terrorisme ou accusés de persécution des groupes marginalisés ou d’ autres violations systématiques des droits de l’ homme ».
Le New York Times « a noté que si Trump signe ce décret cela nuira gravement aux organismes des Nations Unies qui opèrent grâce aux États-Unis qui leur versent chaque année des milliards de dollars.
Les États – Unis contribuent à environ un quart de tous les fonds alloués aux forces de maintien de la paix de l’ONU dans le monde entier.
« Finkielkraut, maintenant que Trump a été élu, est-ce que vous retirez « gros con » ? demande Elisabeth Levy. – » non ! »
Je me répète donc, moi aussi, quel gros con, décidément, ce Finkielkraut.
Mais si ce n’était que cela…
La séance de l‘Esprit de l’escalier de dimanche dernier, c’est « bas les masques ».
L’arrogance de Finkielkraut, son mépris pour le peuple, pour les pauvres, son snobisme intellectuel, ses certitudes assénées depuis son douillet et confortable appartement du XVIème, c’est à vomir.
Merci à Donald Trump de permettre ainsi la révélation : Finkielkraut est un usurpateur qui, depuis des années, en faisant semblant d’être contre le système, en est le plus farouche défenseur.
Ecoutez-le, celui qui ose renvoyer dos à dos communisme, fascisme et Donald Trump. De quel totalitarisme ce dernier est-il coupable selon l’agent du système ? Il soutient la théorie du conflit de civilisation. « Trump est huntingtonien, il défend les civilisations occidentales et c’est là que le bât blesse. Certes nous avons des ennemis redoutables mais je ne peux pas me reconnaître dans ce Rambo gonflé à la testostérone. Quel rapport entre l’occidentalité définie par Kundera et Donald Trump ? Il n’assume ni ne résume notre civilisation, il lui fait honte. «
Et c’est ainsi pendant vingt minutes, entreprise de démolition en règle. Il en tremble de rage, Finkielkraut, pourquoi tant de haine ? Allo, Freud ? Que possède Trump que n’a pas Finkie pour le mettre dans un tel état ?
Parce que tout ce qu’il raconte… c’est du pipi de chat. L’important – et le caché – est forcément ailleurs.
Certes, Trump est riche, il a des goûts qui ne sont pas ceux de Finkielkraut, il aime les robinets dorés et les appartements somptueux ( il semble que Obama et la Clinton aussi d’ailleurs, mais eux ont le droit, ils sont sortis de la cuisse de Jupiter et n’ont pas eu à se salir les mains pour tout cela). Trump, par sa réussite sociale et ses goûts personnels a donc toutes les tares.
Elisabeth Lévy joue parfaitement la Béotienne de service, pour contrer le philosophe. Etes-vous sûr que la politique de Donald TRump sera calamiteuse ?
Est-ce que le retour aux nations n’est pas aussi quelque chose que vous avez souhaité ?
Finkielkraut reconnaît qu’il ignore quelle politique fera Trump, mais comme il le considère comme parfaitement incompétent il espère qu’il sera bien conseillé… Quand on sait que le philosophe a pour Valls les yeux de Chimène, on peut sérieusement mettre en doute ses compétences, sa lucidité et son expertise politique…
Trump a un autre tort, suprême également aux yeux du philosophe, il nie le changement climatique et il veut, pour redonner du travail et de la puissance aux Américains relancer les mines de charbon et l’exploitation du pétrole.. Bel humanisme de Finkielkraut….Connards d’Américains, crevez tous la bouche ouverte sans travail, mis sous tutelle de la Chine et de l’Arabie saoudite dans un univers parfaitement oxygéné…
Le meilleur moment ? C’est quand il dit que Trump ne connaît pas la réalité… Tandis que Finkielkraut, le nez dans les livres des philosophes et sociologues qu’il cite à foison, il la connaît, la réalité, le sinistre bonhomme…
Il la connaît notamment à travers le prisme des écrits de Hannah Arendt, et il cite un incroyable passage de son ouvrage sur la révolution américaine :
L’effort de vaincre la misère apparemment éternelle de l’humanité constitue certainement l’un des plus grands exploits de l’Occident et de l’histoire de l’humanité. L’ennui, c’est que sous l’impact d’un flux migratoire massif et ininterrompu venu d’Europe la lutte pour l’abolition de la pauvreté tomba de plus en plus sous la coupe des pauvres eux-mêmes et finit ainsi sous la gouverne des idéaux issus de la pauvreté, distincts des principes qui avaient inspiré la fondation de la liberté, car, l’abondance et la consommation sans fin, sont l’ideal dont rêvent les pauvres, et sont le mirage dans le désert de la misère, en ce sens, opulence et détresse ne sont que les deux phases d’une même médaille, les chaînes de la nécessite n’ont nul besoin d’être d’airain, elles peuvent être de soie.
Finkielkraut tire de la citation de Hannah Arendt une conclusion fort intéressante : « Ce qu’elle dit peut nous aider à mieux comprendre le phénomène Trump, il n’est pas le continuateur de la révolution américaine, il est l’incarnation du rêve américain dans sa forme la plus sommaire et la plus vile. Le rêve américain aura-t-il raison de la révolution américaine et même de la civilisation américaine, telle est la question qui se pose aujourd’hui avec une acuité absolument dramatique. » Trump a le tort de se présenter aux Américains comme un modèle et il leur dit voilà le rêve américain, voilà à quoi on peut arriver en Amérique ».
Toute la haine de Finkielkraut est là. Haine pour l’esprit protestant qui fait de la réussite sociale un objectif admirable. Or, c’est depuis le début de l’Amérique, depuis le May Flower, l’esprit des colons qui ont traversé les mers pour obtenir ce qu’ils ne pouvaient acquérir dans leur pays : l’abondance, pour échapper aux famines et la liberté, notamment la liberté de culte. Le rêve américain c’est celui-ci et voici que Finkielkraut se réveille et le découvre parce que Donald Trump a été élu ! Et qu’il ne supporte pas, pas du tout, ce bonhomme qui transforme en or tout ce qu’il touche.
Il lui reproche son appartement doré, son penthouse …Sans doute Finkielkraut préfère-t-il le « vagin de la reine » ou le « plug anal » chers à Hidalgo, Hollande et ceux qui, comme les Obama-Clinton, leur ressemblent.
Quelle arrogance, quel mépris de Finkielkraut ! Et quelle manipulation… Parce que, quand même, les Clinton, pour ne parler que d’eux, la campagne fastueuse de Hillary, les millions de dollars avec lesquels joue le couple depuis des décennies, cela n’est rien ? Et cet enfoiré de Finkielkraut martelle que Hillary aurait eu 3 millions de voix de plus que Trump, ce qui est faux, et a été démontré par le recomptage partiel des voix… Et le con de répéter que l’affection de Donald Trump pour Israël serait en fait une mauvaise nouvelle pour ceux qui, comme Kinkielkraut, rêvent de deux Etats. Bref, la totale…
Finkielkraut, la taupe du système infiltrée depuis des années chez les authentiques républicains qui croyaient qu’il pensait et parlait d’or est démasquée.
Israël a gagné la guerre, grâce à des victoires sur quatre fronts
Diplomatique, en faisant échouer toutes les initiatives prises à son encontre
et en enregistrant l’emménagement de Donald Trump à la Maison Blanche. Technologique , en développant des armements qui lui garantissent une supériorité absolue sur les théâtres d’opérations,
ainsi que des alliances avec les Etats arabes face à leurs ennemis communs.
Le spectacle de l’affaissement de la conférence de Paris sur le Moyen-Orient, convoquée à Paris le 15 janvier dernier, était particulièrement suave.
L’ambition initiale, partagée par le Quai d’Orsay et par l’ancien président Obama, était de pousser encore plus loin les effets de la résolution 2334 du 23 décembre 2016 du Conseil de Sécurité de l’ONU. Cette résolution avait, entre autres infamies, déclaré « territoires occupés » plusieurs quartiers juifs de Jérusalem, prétendu décider des frontières d’un futur Etat palestinien sans passer par la moindre négociation avec Israël, et réussi l’exploit de condamner toute présence juive au-delà de la ligne imaginaire du cessez-le-feu de 1949, sans voir rien à redire à l’incitation constante à la violence de l’Autorité Palestinienne et du Hamas.
Dans les jours qui précédaient la conférence de Paris, des diplomates tout émoustillés expliquaient que cette conférence allait conduire à aller encore plus loin, à demander la création d’un Etat palestinien sur tout le territoire placé derrière la ligne imaginaire, et à faire entériner cette demande par le Conseil de Sécurité. Un créneau avait même été réservé pour cela, avec une convocation du Conseil le 17 janvier à New York.
Or, en moins de 24 heures, tout cela s’est effondré. Les mêmes gouvernants qui avaient encouragé leurs diplomates à faire passer la résolution 2334 trois semaines plus tôt, les ont pris par le col pour leur faire entendre raison.
Le Royaume-Uni avait voté la 2334. Trois semaines plus tard, il a insulté les organisateurs de la conférence en envoyant un chef de bureau pour discuter avec les chefs d’Etat et ministres des Affaires Etrangères, en refusant de signer les conclusions de la conférence, et en annonçant qu’il mettrait son veto à toute tentative de faire endosser ces conclusions par l’Union Européenne.
Le Président Hollande – qui avait, lui aussi, fait voter la 2334 – a prononcé une déclaration introductive, qui réduisait à néant l’objet même de la conférence, annonçant que le conflit ne pourrait être réglé que par la négociation directe entre Israël et les Palestiniens.
Pour les Etats-Unis, John Kerry, encore secrétaire d’Etat, a déclaré qu’il n’avait fait le voyage de Paris « que pour éviter que la résolution ne soit trop déséquilibrée en faveur d’Israël ». Il semblait soudain très préoccupé, notamment, qu’elle ne condamne que la colonisation et non l’incitation palestinienne – comme l’avait fait, par exemple, le 28 décembre précédent, un long discours d’un certain John Kerry.
Devant ce retournement politique généralisé qu’ils n’avaient pas vu venir, les diplomates n’ont pas insisté.
Il ne leur restait plus qu’à rédiger un texte aussi incompréhensible que possible, à engloutir quelques petits fours et à rentrer chez eux.
On ne connaît pas encore tous les motifs qui ont conduit les sphères politiques occidentales à freiner ainsi l’ardeur de leurs fonctionnaires, mais nos sources diplomatiques mentionnent deux thèmes principaux :
d’abord, l’élection de Donald Trump ;
ensuite, la situation stratégique plus favorable que jamais à Israël.
L’élection de Donald Trump rend vaine, pour quatre ou huit ans, toute tentative de modifier l’ordre diplomatique international en défaveur d’Israël. Le président Trump ne s’est pas contenté d’annoncer qu’il rétablirait le veto américain contre tout projet de résolution déséquilibré. Il a ajouté à cette annonce (qui ne faisait que revenir à la pratique américaine constante des 40 dernières années, seulement abandonnée par Obama dans ses dernières semaines de présidence) deux nouvelles orientations politiques.
Tout d’abord, les Etats-Unis de Trump se sont déclarés ouverts à une coupure totale ou partielle des fonds qu’ils versent aux Nations-Unies si celles-ci se montrent trop agressives à l’encontre de l’allié hébreu. Or, l’Amérique finance à elle seule 22% du budget des Nations Unies ; et les fonctionnaires internationaux tiennent à leur confort. Venant d’un homme qui a passé une grande partie de sa carrière à imposer des réductions de coûts à des entreprises rétives, la menace est assez crédible pour calmer l’anti-israélisme des diplomates.
Ensuite et surtout, Trump a d’ores et déjà exposé les grandes lignes de la solution qu’il espère donner au conflit : une séparation entre deux entités, mais offrant aux Palestiniens bien moins que les promesses actuelles de l’Occident – qui, parce qu’elles sont trop dangereuses pour Israël, n’ont de toute manière aucune chance de voir le jour.
Les lignes d’un partage futur devront correspondre à la réalité démographique, et non à la ligne imaginaire de 1949. Partout où les Juifs détiennent une majorité démographique sur des territoires suffisants et contigus avec l’Israël d’avant 1967, Israël devra en garder le contrôle. C’est le cas pour ce qu’on appelle les « blocs », soit Givat Zeev, les Maalot, Gush Etzion, Ariel, Maale Shomron / Emmanuel ; peut-être aussi pour la plus grande partie de la vallée du Jourdain. Le reste du territoire – après, sans doute, l’évacuation de petites implantations indéfendables et très idéologiques qui le parsèment – pourra être transféré à une entité qui aura ou non, selon le progrès des négociations, le statut d’un Etat.
Cette politique, qui devrait être celle que poursuivront les Etats-Unis dans les années à venir, est une nette rupture avec les déclarations diplomatiques des cinquante dernières années ; mais elle a l’intérêt, contrairement à ces déclarations, de permettre un partage de la terre à la fois techniquement réalisable (on ne doit évacuer que quelques milliers de personnes et non plusieurs centaines de milliers) et sans danger existentiel pour Israël. Cela ne suffit pas pour dire qu’elle réussira : pour cela, il faudrait que les Palestiniens acceptent d’obtenir quelque chose plutôt que rien. Mais il est absolument certain que les demandes actuelles de l’Occident ne peuvent pas réussir. Le changement de paradigme que Trump veut introduire a, au moins, l’avantage d’obliger les diplomates à raisonner dans un cadre moins fantasmagorique.
Au-delà de Trump, l’épuisement des tentatives diplomatiques d’isoler Israël a une autre raison, plus structurelle : l’ancienne guerre israélo-arabe, qui semblait définir le Moyen-Orient depuis la création de l’Etat hébreu, est aujourd’hui terminée – et Israël a gagné. Il n’y a plus aujourd’hui de menace existentielle sur l’Etat. Au contraire, Israël est devenu, pour la plus grande partie des puissances du monde, un Etat indispensable dont elles ne peuvent pas se permettre de se passer.
L’illustration la plus frappante de la victoire d’Israël réside dans la supériorité absolue que le pays a obtenue sur ses ennemis en matière d’armements.
Les Hébreux sont désormais en mesure de frapper toutes les cibles qu’ils souhaitent dans la région, en se jouant à la fois des missiles sol-air et des systèmes de brouillage, grâce à la gamme de missiles Spike (Tamuz).
Ils sont en train d’apporter la dernière main à la mise en place d’une superposition de systèmes anti-missiles (Flèche 3, Fronde de David et Dôme de Fer) qui rend entièrement vain l’investissement de dizaines de milliards d’euros effectué par l’Iran et ses alliés pour multiplier les missiles menaçant les Juifs.
Les drones israéliens améliorent chaque jour leurs capacités et le type de missions qu’ils peuvent accomplir. Les avions du Khe’l Avir sont équipés de diverses innovations qui améliorent systématiquement les modèles américains d’origine. En matière de renseignement militaire, Israël a acquis sur ses ennemis, en quelques décennies, une supériorité technologique équivalente à plusieurs siècles de développement. En matière de ressources humaines, le système israélien de conscription permet aux meilleurs talents de servir l’Armée au meilleur endroit possible.
Enfin, l’Armée israélienne peut désormais compter sur une véritable alliance stratégique avec l’Arabie Saoudite, engagée avec Israël dans une coopération de sécurité si étroite que toute guerre entre les deux Etats est devenue techniquement impossible. C’est à se demander si le développement impressionnant des systèmes d’armements hébreux, qui a certainement exigé des budgets gigantesques, ne doit pas une partie de ses succès à de discrets financements issus du pétrole de la péninsule.
Quoi qu’il en soit, la supériorité israélienne en matière d’armements et d’équipements militaire est désormais si écrasante qu’elle a des effets non seulement pour les ennemis d’Israël – dont les chances de victoire sont désormais réduites à zéro – mais aussi pour ses alliés et pour les puissances rivales.
Il n’y a presque plus une seule puissance qui compte sur la planète et qui n’ait pas besoin, pour sa propre sécurité, d’une compétence israélienne. La Russie, qui a déjà acquis des drones israéliens, espère profiter d’éléments de technologie anti-missile. L’Amérique a besoin d’informations sur la situation au Moyen-Orient, et d’ingénierie israélienne pour développer les modèles qu’elle vend aux Hébreux. L’Europe a un urgent besoin d’aide israélienne pour la lutte contre le terrorisme.
Hier dans On n’est pas couché, la fille de Nathalie Sarraute a raconté un moment fort de son enfance.
Sur le plateau d’On n’est pas couché, hier soir, Claude Sarraute s’est attardée sur un moment important de son enfance. Le jour où elle a appris qu’elle était Juive.
« Personne au monde ne m’avait dit que j’étais Juive»
a-t-elle expliqué aux téléspectateurs, avant de raconter son émouvante histoire. Chez elle, personne ne parlait de cela mais lorsqu’elle allait à l’école, la jeune Claude Sarraute entendait beaucoup d’insultes antisémites.
Un jour elle raconte à son grand-père en revenant de l’école que la cantine n’est vraiment pas bonne, avant d’ajouter : « Normal, parce que l’intendant est juif ».
Son grand-père lui demande alors : » qu’est ce que c’est pour toi un juif ? « ce à quoi elle répond » Un monstre », en énumérant tout ce qu’elle avait entendu. Là, le vieil homme lui dit : « Ma petite fille, il faut que tu saches, je suis juif, tu es juive et Jésus Christ était juif »
Pour Claude Sarraute, c’était impensable, mais le lendemain arrivée à l’école lorsqu’elle a entendu de nouveau les insultes antisémites, elle s’est permise rétorquer : « Ah non vous ne pouvez plus dire ce genre de chose devant moi, parce que je suis juive ».
«J’étais juive et je le suis restée » a-t-elle conclu.
Vous qui MARCHEZ sans même pouvoir justifier la raison de votre marche autrement que par la « rage » devant le résultat des élections présidentielles américaines.
Combien avez vous marché
quand le Président démocrate élu des Etats Unis, BILL CLINTON utilisait le bureau ovale de la maison blanche pour se faire faire des petites gâteries par une certaine Monika.
Combien avez vous marché
Pour défendre la « dignité des femmes », alors qu’une des céléèbres manifestatntes, MADONA, proposait des fellations en échange de votes pour Clinton.
Combien avez vous marché
Quand des jeunes filles Yézidis étaient torturées, brûlées vives, violées et vendues comme esclaves sexuelles.
Combien avez vous marché
pour dénoncer les mariages forcés entre des petites filles et des vieillards organisés dans certains pays.
et combien avez vous marché
pour dénoncer les 500 000 morts en Syrie.
RIEN
Et pour cause !
Après avoir tout tenté pour empêcher l’élection démocratique de TRUMP vous vous êtes réveillés sonnés avec la gueule de bois. Vous tentez de contester son élection par les manifestations et la violence verbale et physique.