Deschamps est aussi antisémite : il n’y aucun Juif chez les Bleus

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Benzema a mille fois raison : ce gros-jean de Deschamps est un affreux raciste, un sélectionneur du terroir, un colon aux pieds carrés qui se soucie plus de choisir ses joueurs sur leur identité nationale que sur leur réelle valeur.

C’est le Robert Ménard du football hexagonal.

Dès qu’on lui suggère d’enrôler un joueur aux origines maghrébines, il entrevoit déjà le spectre d’une guerre civile au sein de son effectif, il craint la subversion venue de petites frappes allaitées au sein du FLN, il redoute de voir débarquer dans son pré carré des fellaga prompts à couper quelques têtes pour asseoir leur autorité.

Mais ce n’est pas tout : Didier Deschamps est aussi un infâme antisémite.

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J’ai eu beau examiner sous toutes les coutures le patronyme des vingt-trois joueurs convoqués pour disputer l’Euro, je n’en ai trouvé aucun pouvant de près ou de loin se réclamer d’une quelconque ascendance juive.

Aucun.

Étrange, non ?

Alors que les Juifs sont partout, dans les conseils d’administration de nos plus grandes banques, à la manœuvre dans nos ministères, aux commandes des médias de tout bord, étrangement, ils restent à la porte de l’Équipe de France de football.

Et qu’on ne vienne pas m’expliquer ce sectarisme par le simple fait que les Juifs sont nuls, archi-nuls en foot et dans le sport en général, foutaises, balivernes, sottises, quand on cherche on trouve : il suffit de traîner ses guêtres dans n’importe quel Maccabi de Sarcelles pour trouver la perle rare, un petit Benhamou à même de s’illustrer au sommet du football français.

Il est vrai aussi que Deschamps dès qu’il aperçoit un nom commençant par Ben s’enferme à double-tour chez lui, appelle le numéro de la Kommandantur ou de l’OAS pour demander le renfort d’un quarteron de généraux afin de procéder à une ratonnade ou un pogrom en bonne et due forme.

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Je rappellerai à Monsieur Deschamps que si les Juifs représentent un seul pour cent de la population française, leur sphère d’influence est sans limite, que rien dans ce pays aux racines pourtant furieusement catholiques ne peut exister sans qu’à un moment ou un autre, un acteur de la communauté juive ne vienne y fourrer son nez et exige au nom des prétendues souffrances endurées pendant la Shoah, une énième compensation.

Mais cela, Monsieur Deschamps feint de l’ignorer.

Et ce faisant, en refusant systématiquement l’introduction de joueurs sémites au sein de l’équipe nationale, à l’image de tous ses prédécesseurs, il fait montre là d’un antisémitisme féroce et farouche.

Il est à noter que cet état d’esprit est largement répandu au sein des instances sportives françaises où, peu importe le sport concerné, handball, water-polo ou curling, le Juif, dans une belle et rare unanimité, n’est pas le bienvenu.

Un avocat juif, un expert-comptable juif, un dentiste juif, oui, un véliplanchiste ou un patineur juif, non.

Voilà le triste état de la France en ce début de vingt-et-unième siècle.

Tout à la fois raciste et antisémite.

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Une France blanche teintée ici et là de quelques tâches noires afin de s’assurer les bonnes grâces des populations exilées en Outremer.

Mais d’Arabes ou de Juifs, point.

Ben Arfa, Benzema, Goldstein (excellent ailier de l’association des arrières-petits-fils de la rafle du Vél d’Hiv et chirurgien esthétique à ses heures perdues) sont priés de rester à l’intérieur de leurs mosquées ou de leurs synagogues, de bouffer leurs merguez sans porc et d’obliger leurs épouses à cacher leur chevelure.

Ceci dit, Antoine Griezmann (Aaron Groszmann en fait) hein…eh oui… (non, respire Didier, c’est une blague)

             Précisions de l’auteur de l’article :
« Ceci posé, la plupart du temps, mes articles seront à prendre au deuxième ou au troisième degré.
De grâce, nul besoin d’aller embêter la standardiste de la Licra, de menacer de convoquer le conseil d’administration de la Mrap, de m’admonester de présenter des excuses sur le champ, sans quoi, vous irez tout rapporter au commissaire général de S.O.S racisme, à l’inspecteur en chef de la SPA, au rapporteur de la Ligue des Droits de l’Homme.
Je ne suis pas sérieux. Je suis un bouffon. Un pitre. Un petit con hargneux. Un individu sans intérêt qui aime jouer à l’intéressant. « 

             Source